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00:00C'est la loi d'amnistie.
00:02L'erreur de l'amnistie, c'est le fait que tout le monde s'est battu pour l'amnistie.
00:07C'est ce que j'espère de ce qui se passera à l'avenir.
00:14Je ne peux pas vous en dire plus.
00:17Tout ce que nous avons dit, il faut qu'il s'agisse de ce qui s'est passé.
00:21Je pense que notre grand-mère nous a dit que tout le monde doit s'y rendre.
00:28C'est ce que nous devons faire.
00:32C'est ce que nous devons faire à l'Assemblée Nationale.
00:36C'est ce que nous voulons.
00:40C'est ce que nous devons abroger.
00:43Même si je dois répondre.
00:46Je pense que le courage que j'ai pour l'Assemblée,
00:49il doit avoir ce même courage dans dire à ses députés
00:52de voter, d'abroger cette loi.
00:55C'est ce que j'espère.
00:57Parce qu'il ne faudrait pas qu'aujourd'hui,
01:00nous prenions la discrédibilité de notre force de défense.
01:04Quand on parle de crime de sang,
01:10on doit être très attentif.
01:13Qui va juger ce crime de sang?
01:15Comment on va définir ce crime de sang?
01:17Est-ce que les gens vont retourner en arrière tout de suite?
01:22Est-ce qu'on va arrêter le crime de sang?
01:25Est-ce qu'on va arrêter le crime de sang?
01:28Est-ce qu'on va arrêter le discours à la N-EU?
01:32Est-ce qu'on va arrêter le crime de sang?
01:34On va arrêter le crime de sang.
01:36C'est ce que nous devons faire.
01:38Parce que Ousmane Senghor,
01:41il n'y a qu'une seule personne qui peut le faire.
01:43Ou deux personnes.
01:47Général Moussa Fall,
01:50Bokar Yadde,
01:53Mansour Fay,
01:55et Maham Diallo.
01:57Ils sont tous des magistrats.
02:00Donc pour moi,
02:02ils sont en train de faire une autre phase.
02:05Après la chasse aux politiques,
02:07c'est la chasse aux forces de défense et sécurité.
02:09Et c'est un président dangereux.
02:13Ces forces sont censées nous protéger,
02:16nous défendre.
02:19Si on veut jeter de la discrédit sur eux,
02:22est-ce qu'ils sont en train de nous protéger?
02:24Mais ils n'ont pas dit où ils allaient.
02:26Je vous l'ai dit, ils n'ont pas dit où ils allaient.
02:30Il ne faut pas qu'ils oublient, en 2021,
02:32il y avait eu 14 morts.
02:34C'est Jean Baptiste Sine qui était au commandant de la GEMER.
02:38Qui est le ministre de l'Intérieur.
02:40Il ne faut pas qu'ils oublient le ministre des Forces Armées, Birame.
02:43Il était le chef d'état-major des Forces Armées.
02:47Est-ce que vous comprenez?
02:49Pour moi, il vise directement Moussa Afar.
02:52Mais on ne peut pas laisser ça se passer.
02:55Si on veut aujourd'hui,
02:57on va prendre tous ceux qui l'ont menacé.
03:01Et si on les a menacés,
03:03on va les aborger.
03:05Si on les aborge,
03:07Ousmane Sonko va retourner en prison.
03:09Maintenant, Basile Dioumaé,
03:11ça va être un point d'interrogation.
03:13Nos textes n'avaient pas prévu ça.
03:15C'est la vacance de pouvoir.
03:17Parce que Moussa Afar va retourner en prison.
03:20Pour remplacer Basile Dioumaé,
03:22c'est le patron de l'OMS.
03:26Il va retourner en prison.
03:31Basile Dioumaé va retourner en prison.
03:33Tous les deux.
03:35C'est la vacance de pouvoir.
03:37Mais qui va prendre la réunion?
03:39C'est à vous de le demander.
03:42Peut-être qu'ils vont discuter de la loi.
03:50Si on veut amnestier,
03:52on va les aborger.
03:54On va tous les aborger.
03:56Si on ne les aborde pas,
03:58on annule la loi.
04:02Si on veut compliquer la loi...
04:04Il y a trois activités de la loi.
04:08Si on veut interpréter,
04:10on va les interpréter.
04:12La loi n'est pas rétroactive.
04:14Si on interprète la loi,
04:16on va se concentrer sur ça.
04:20Il y a 30.000 personnes en chômage.
04:24Comment résolver le problème du chômage?
04:30Où es-tu?
04:32J'habite à Isekaimour.
04:34Tu es bébé?
04:36Oui.
04:38Sais-tu ce que c'est le chômage?
04:40C'est un chômage.
04:44Un paysan
04:46prend 2 kilos de poisson
04:48pour 1 kilo de poisson.
04:50Sais-tu ce que c'est?
04:52C'est un chômage.
04:54Sais-tu ce que c'est?
04:56Tu es en train de le savoir.
04:58Non, non.
05:00Tu es en train de le savoir.
05:02Tu es en train de le faire.
05:04Oui, parce que c'est le chômage.
05:06Je sais ce que c'est le chômage.
05:08Mais il n'y a rien.
05:10Tu comprends?
05:12Sais-tu ce que c'est le chômage?
05:14C'est un problème.
05:16L'État est incontournable.
05:18Les familles ont des problèmes.
05:22Les enfants ont des problèmes.
05:24Pour les enfants,
05:26il faut avoir des soins hygiéniques.
05:28Les soins hygiéniques.
05:30Je suis venu en Paris.
05:32Je suis venu en Paris.
05:34Depuis le mois d'octobre.
05:36Depuis le mois d'octobre.
05:38Parce qu'il y a des problèmes.
05:40Des problèmes de santé et de santé.
05:42Il n'y a pas d'aliments.
05:44L'État nous a donné des aliments.
05:46Mais il n'y en a pas encore.
05:48C'est une question sérieuse.
05:50On peut en parler.
05:52Tu comprends?
05:54Le problème de l'emploi,
05:56de la précarité, de l'achat de villes.
05:58Aujourd'hui, un bidon de douleur coûte 24.000 francs.
06:00C'est plus cher que ça.
06:02Ils veulent nous distraire.
06:04Je veux juste que
06:06nous partagions l'amnistie avec eux.
06:08Je ne crois pas à l'amnistie.
06:10Je ne suis pas d'accord avec l'amnistie.
06:12Mais on a fait ça.
06:14Si on distraite les Sénégalais,
06:16il y a que des Sénégalais.
06:18Qui a interprété?
06:20Vous ne savez pas ?
06:22Qu'est-ce qu'ils ont interprété ?
06:24Qu'est-ce qu'ils veulent faire ?
06:26Ils veulent que nous accordsions Moussa Fale,
06:28un bloc oriade,
06:30La vengeance, la justice des vainqueurs.
06:32Mais ça... Mais...
06:34Vous voulez prendre les forces de défense, sécurité,
06:36Djetel et Médouzki, c'est leur politique.
06:38Ils sont des héros.
06:40Ils donnent le temps, ils prennent 5 milliards, ils en donnent déjà.
06:42Ils ne savent pas sur quelle base.
06:44Pendant ce temps, le B4 est en train de souffrir.
06:46Pendant ce temps, ils sont là pour la sécurité familiale,
06:48ils attendent qu'on les paye.
06:50Et pourtant, 5 milliards, deux familles peuvent le payer.
06:52Et d'autres questions.
06:54Ne regardez pas que je suis au pouvoir.
06:56Regardez où je suis allé pour réussir.
06:58C'est ça.
07:00Parce qu'il ne faut pas qu'on oublie
07:02que Macky Sall n'a pas été sanctionnée.
07:04Elle ne faisait pas partie
07:06de ces élections.
07:08C'est son bilan qui a été sanctionné.
07:10Non, non.
07:12Son bilan a été porté par Amoudouba.
07:14Mais il n'a jamais soutenu Amoudouba.
07:16C'est lui qui l'a soutenu.
07:18Oui, mais il n'a pas soutenu Amoudouba.
07:20Non, non.
07:22Vous savez,
07:24le meilleur gagne.
07:26Il n'a pas été dans ces élections.
07:28Il n'a pas bâti campagne.
07:30Il n'a pas aidé Amoudouba.
07:32C'est lui qui l'a soutenu.
07:34C'est lui qui l'a soutenu.
07:36C'est lui qui l'a soutenu.
07:38C'est lui qui l'a soutenu.
07:40Vous comprenez?
07:42Je vais vous dire quelque chose.
07:44Les priorités sont ailleurs.
07:46Il ne faut pas qu'on distraie
07:48les Sénégalais encore une fois de plus.
07:50Soit on abroge ou on n'abroge pas.
07:52Totalement.
07:54On ne peut pas abroger.
07:56C'est normal.
07:58Il faut qu'on le fasse.
08:00Si je fais ce que j'ai fait,
08:02c'est pour le Sénégal.
08:04Le Sénégal doit être dans ma tête.
08:06Si je me suis tué, on doit le soutenir.
08:08Vous comprenez?
08:10Les familles...
08:12Quand on a tué des enfants
08:14dans un bus,
08:16c'est ce qu'on a fait.
08:18En principe, c'est 10 millions.
08:20C'est ce qu'on a fait.
08:22C'est ce qu'on a fait.
08:24C'est à vérifier.
08:26C'est bon de faire des dommages.
08:28Mais avant de faire des dommages,
08:30il faut savoir situer les responsabilités
08:32de quelque part que ce soit.
08:34Si on laisse les Sénégalais
08:36distraire les députés,
08:38ils ont autre chose à faire
08:40que d'être là à enclacher des combats politiques.
08:42Pour moi, c'est un débat politique
08:44qu'on va amener sur l'espace public
08:46pour les distraire.
08:48Pendant que les Sénégalais
08:50ont envie de l'emploi,
08:52ont envie d'avoir le doigt et à l'aide,
08:54ont envie qu'ils puissent faire
08:56des réformes financières
08:58donc qu'ils peuvent s'apporter 5 millions.
09:00Pendant que les Sénégalais
09:02ont envie d'avoir des emplois
09:04pendant que les Sénégalais
09:06ne veulent pas faire de la paix,
09:08avant qu'on ne se croie
09:10comme un il est.
09:12Pendant qu'on se croit
09:14qu'on peut accepter
09:16qu'on peut déclarer
09:18C'est ce qu'on voit aujourd'hui, il y en a d'autres et d'autres.
09:21Et d'ailleurs, dans le cadre de ce qu'on a vu, j'ai reçu une information.
09:27Il y a une dame qui était, si je ne me trompe pas, elle était asapex.
09:33D'après l'information que j'ai reçue, la femme était, si je ne me trompe pas, asapex elle était.
09:40Si je ne me trompe pas, asapex, oui.
09:42Oui, si je ne me trompe pas, asapex elle était.
09:47Mme Tangia, vous me rappelez de ce problème?
09:52Qu'est-ce qui s'est passé?
09:54Il n'y a pas de trafic de visa, ils l'ont arrêté, ils l'ont arrêté, vous êtes dans l'article, vous êtes dans l'article?
09:59Vous êtes dans l'article?
10:01La libération est dans l'article? L'article est dans l'article?
10:04La femme a été arrêtée, l'enquête a été faite, c'est ce que je vous ai dit tout à l'heure.
10:08La femme a été arrêtée, d'après l'article que vous êtes dans,
10:13la femme, elle a reconnu les faits, elle était directrice juridique d'asapex avec trafic de passeport, trafic de visa.
10:21Mais il paraît que là, ils l'ont arrêtée, elle a recommandé, d'après mes informations,
10:26ils l'ont arrêtée sur recommandation d'Ousmane Sonko pour la nommer conseil spécial avec des avantages, avec tout.
10:33Mais ces informations-là, vous pouvez les vérifier, est-ce que c'est vrai?
10:36Si c'est vrai, est-ce que la femme a été arrêtée aujourd'hui?
10:39C'est ce que vous savez aujourd'hui, parce qu'il paraît qu'elle a recommandé à Ousmane Sonko,
10:43la femme a été arrêtée, elle a été arrêtée, d'après ce que j'ai dit à Ousmane Sonko,
10:48la femme, je ne voulais pas la faire ministre d'affaires étrangères, je ne voulais pas la faire ministre d'affaires étrangères mais la femme m'a refusé.
10:52Mais parce que je ne sais pas qui l'a fait, parce que je sais qu'il y a des biochimiques là-bas,
10:55mais est-ce que quelqu'un est venu ou quelqu'un a fait ce qu'il est venu dans l'état pour qu'on arrête tout ça?
11:00C'est des informations qu'il y a aujourd'hui, les journalistes, Libération,
11:03que j'ai rencontré avec mon ami Thien Ba, qui est là aujourd'hui chaque jour pour nous défendre,
11:08et pourtant il était avec nous chaque jour, matin, midi, soir,
11:10qu'est-ce qu'il a dans sa tête que je ne peux pas comprendre?
11:13Non, ne l'attaquez pas, non, ne l'attaquez pas, ne l'attaquez pas,
11:17les informations que j'ai reçues, j'ai demandé à Ousmane Sonko de les faire vérifier,
11:21parce qu'en ce moment, Mme Tania, il paraît qu'elle a voulu qu'on arrête tout ça,
11:26c'est le recommandation d'Ousmane Sonko, on va voir pourquoi.
11:29Non, non, on va voir, est-ce qu'il y a un problème?
11:34Mais ce que j'ai appris, Ousmane Sonko, il n'est pas venu avec des femmes,
11:36ce sont des femmes qui sont enceintes, qui sont enceintes, qui sont bien,
11:40mais on les a tuées, c'est ce qu'il a dit.
11:43Mais Ousmane Sonko, je l'ai dit, le docteur qui est là aujourd'hui,
11:46le beau-beau, il est innocent, Jean-Michel,
11:50il n'a pas fait de travail,
11:52il a dit qu'il n'y a pas de justice, il n'a pas fait de passé,
11:55il a dit qu'il est bien, qu'on l'a tué, avec tous les avantages.
11:58Mais est-ce que tu as oublié l'autre dossier?
12:02Non, attends, attends.
12:03C'est celui-là qui est enceinté, mais ce que tu dis...
12:05Mais le scandale, je me rappelle,
12:08le scandale, je sais,
12:09mais il n'y a pas de débat.
12:11Si on regarde ce qui est écrit ici,
12:13c'est ce qui est écrit là.
12:14C'est une recommandation d'Ousmane Sonko.
12:16Mais on doit voir ça.
12:17Non, attends, attends, je ne t'ai pas entendu, tu sais,
12:19tu sais, il y a des informations qui sont enceintes,
12:23mais il y a des infos qui ne sont pas enceintes.
12:56C'est la justice, on a le droit de faire ce que l'on veut, c'est à voir.
13:03On ne peut pas s'arrêter là-dessus.
13:06On ne peut pas s'arrêter là-dessus, même s'il n'y a pas d'approche.