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00:00C'est un événement qui a scandalisé une partie des Français, c'est la rêve partie illégale dans le Lot, par exemple.
00:04Vous n'avez pas réussi à l'interdire.
00:06Il y a eu des champs saccagés, des routes qui ont été détruites, des comportements à risque.
00:11Est-ce qu'on est impuissant face à un tel désordre ?
00:14Non, parce que ce que je veux dire quand même, à votre micro, c'est qu'à partir des beaux jours,
00:19ce sont des dizaines de rêves parties qu'on arrive à déjouer.
00:23Est-ce que vous en parlez ? Non.
00:25Et là, évidemment, il y avait un trou dans la raquette.
00:28Pas suffisamment de renseignements et surtout dans un lieu qui était beaucoup plus difficile à contrôler.
00:35Mais croyez-moi, il vend son souvenir.
00:38J'ai demandé, j'ai ordonné au préfet de faire à la préfète plus exactement que je veux saluer pour son engagement.
00:45J'ai aussi eu le maire de cette petite commune de moins de 400 habitants qui était très choqué,
00:51je l'assure, là encore, vraiment de mon soutien.
00:54J'ai ordonné, j'ai donné des instructions pour que précisément, on ne fasse pas partir ces gens-là sans contrôler toutes les camionnettes, tous les camions.
01:02Au moment où je vous parle, on a confisqué cinq véhicules, camions, fourgons.
01:09On a distribué des infractions par centaines.
01:12On a confisqué justement les baffes, les platines, etc.
01:17On a retrouvé de la drogue, ils paieront.
01:20Il y en a 18 qui sont gardés à vue.
01:22C'est un signal que j'adresse à celles et à ceux qui voudront recommencer.
01:26Il y en aura sans doute.
01:27Eh bien, soit nous arriverons à les déjouer, voilà, mais c'est souvent des courses poursuites.
01:32Et si nous n'y arrivons pas, ils ne s'en tireront pas comme ça.
01:36On confisquera le matériel.
01:37Alors évidemment, tout ça, c'est sous l'autorité judiciaire et j'espère que la justice saura mettre des peines lourdes.
01:45Voilà, c'est comme ça qu'on arrêtera.
01:47Parce qu'on peut, moi, qui suis responsable des policiers, des gendarmes, etc., demander d'arrêter.
01:54Mais si, quand on arrête les gens, les policiers, les gendarmes, les retrouvent plusieurs jours après, dans la rue, avec un sourire au coin, l'air goguenard, ça décourage tout le monde.
02:03C'est pour ça que je parle de politique pénale.
02:05C'est pas aujourd'hui qu'on le fera, parce qu'on n'a pas de majorité pour faire une vraie rupture.
02:10Mais la politique que, moi, demain, je souhaite que nous menions, nous, la droite, voilà, eh bien, pour 2027, c'est une politique de rupture, notamment sur la politique pénale.