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Driss Ghali, essayiste : «On a l'impression que l'Algérie contrôle le tempo et l'agenda [...] La relation franco-algérienne n'est pas d'égal à égal».

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Transcription
00:00Malheureusement, je n'y crois pas, parce qu'à lire les déclarations de M. Barrault et ce qu'il a filtré d'Alger,
00:06on remet la balle au centre et on recommence la même histoire, l'histoire de violences conjugales, on va dire.
00:13Il y a des violences conjugales qui se poursuivent.
00:16On redonne une chance à nouveau à Alger, qui ne nous donne aucun gage de sa bonne volonté.
00:20Il n'y a pas d'excuses, il n'y a pas de « Boalem s'installe toujours en prison »,
00:23il n'y a pas un seul OQTF qui a été repris.
00:27On évoque vaguement une réunion entre les préfets et les consuls, pourquoi pas,
00:33ils auraient pu échanger des faxes et libérer les victimes françaises de ces OQTF dangereux.
00:41On a l'impression que l'Algérie contrôle le tempo et l'agenda.
00:47Elle nous a puni, elle a puni la France, pour utiliser un langage un peu bancal,
00:51elle l'a mis au coin, comme on disait à l'époque avec les maîtresses,
00:54et maintenant elle nous a ressorti de la punition,
00:56elle a sifflé la fin de la punition et on redevient à un fonctionnement normal,
01:00mais qui n'est pas un jeu d'égal à égal.
01:02Le ministre parlait d'une relation d'égal à égal, c'est précisément l'enjeu.
01:05Elle n'est pas d'égal à égal, l'Algérie est au-dessus.

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