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C'est une notion récente qui permet à une victime d'un fait criminel ou délictuel d'être également indemnisée pour la souffrance subie en raison des acteurs du système de justice qui ont traité son affaire. À ce titre-là, les deux plaignantes de Gérard Depardieu ont réclamé 10.000 euros, chacune.

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Transcription
00:00C'est sûr, il y aura une résonance, c'est sûr que c'est un gros marqueur.
00:05Et puis Gérard Depardieu, c'est le premier grand acteur qui tombe.
00:10Alors on a mis des années à s'y mettre si je puis dire, mais là je suis assez d'accord avec vous, on a une date pivot.
00:15Moi ce que je voulais juste rajouter c'est que le président est en train d'arriver sur ce dont on parlait, la victimisation secondaire.
00:21Et il explique que l'avocat, en tout cas il souligne la stratégie de défense de Gérard Depardieu.
00:27Vous savez, qui avait été très critiquée, qui avait été très offensive.
00:30Le président dit ça, les parties civiles elles ont été confrontées à une défense offensive, manifestement pas nécessaire au droit de la défense.
00:38Et donc le tribunal à l'instant retient la victimisation secondaire. Je vois le sourire sur votre visage.
00:43Alors attendez, expliquons ce que c'est que la victimisation secondaire, c'est donc une indemnisation qu'on donne aux victimes à cause d'une défense trop offensive ?
00:52C'est une notion récente qui permet à la victime d'un fait criminel ou délictuel d'être indemnisée pour la souffrance subie en raison des acteurs du système de justice qui ont traité son affaire.
01:02L'avocat de la défense par exemple, Jérémy Assou en l'occurrence, qui a traité les avocates, je ne redirai pas les mots, mais globalement d'hystérique.
01:09C'était le choix.
01:10Monteuse, vénale, hystérique.
01:12C'était le choix.

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