[#Journal] Le 19H30 du 08 Mai 2025
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00:00...
00:00Désigner 30 représentants pour débattre face à l'exécutif sur la réforme des partis politiques,
00:22c'était la mission du Conseil national de la démocratie réunie ce jour.
00:26Mesdames et messieurs, bonsoir, c'était le titre de votre journal.
00:30On parle politique donc, le CND, entendez, Conseil national de la démocratie,
00:35a tenu une rencontre avec les 104 partis politiques légalement reconnus.
00:41L'objectif était de s'accorder sur la désignation de 30 représentants
00:45devant composer la commission de révision de la loi sur les partis politiques
00:49et celle sur le découpage électoral.
00:52Les détails dans cet élément.
00:53C'était une réunion cruciale pour la survie des partis politiques.
00:57Au terme de leur rencontre avec le chef de l'État mercredi,
01:01les représentants des 104 formations politiques légalement reconnues
01:05se sont donnés rendez-vous ce 8 mai 2025 à l'auditorium de l'immeuble à Rambo
01:09afin de se mettre d'accord sur les 30 formations politiques
01:13qui défendront leurs intérêts lors des travaux des commissions sur la réforme des partis politiques.
01:18Il faut dire que cette rencontre de ce matin fait suite à la séance de travail
01:24et la communication du président de la République tenue hier au palais de la présidence.
01:30Nous informons de la mise en place des comités
01:33devant réfléchir sur d'un côté la répartition des sièges
01:39et de l'autre côté sur la loi sur les partis politiques.
01:42L'objectif à terme, c'est la reconfiguration du paysage politique de notre pays.
01:48Comme on pouvait s'y attendre, les débats étaient particulièrement vifs,
01:52les formations politiques peinant à se mettre d'accord
01:54sur les critères de désignation de leurs représentants
01:57au sein des deux commissions qui seront créées
02:00et qui auront face à eux des représentants de l'État.
02:03Il faut une expérience.
02:13Si vous avez le sacristère général de la présidence de la République
02:17qui vient en face de vous parler des partis politiques,
02:24il faut quelqu'un pour lui dire de se taire.
02:26Ce qui est dangereux, c'est ce que le président Zouba a dit.
02:30Ce qui est dangereux, c'est ce que Mme Mounsar a dit.
02:33On veut liquider les partis politiques
02:35et revenir au parti unique, parti État,
02:39avec quelques succursales plus ou moins maquillées.
02:45Nous défendrons la démocratie dans ce pays.
02:48Ce sont les partis qui font la politique.
02:52Ce sont les partis qui jouent la carte de la politique.
02:54Donc, on ne peut pas mettre n'importe qui.
02:58Et puis là, on n'a même pas mis quelqu'un.
03:00On a essayé de désigner les gens.
03:03On a demandé le fait d'être là
03:05parce qu'il y a une certaine expérience dans ce pays.
03:08Au terme de ce vif débat,
03:10le critère qui a prévalu pour le choix des membres
03:12qui composeront l'épineuse commission sur les partis politiques
03:15a finalement été celui de l'expérience.
03:19104 partis pour seulement 15,
03:22on va dire 20 places pour cette première commission
03:25en charge de l'analyse de la loi sur les partis politiques.
03:31Vous comprenez qu'ici, il faut établir des critères objectifs.
03:34Des critères qui fâchent, mais des critères objectifs.
03:36Notamment la durée, l'expérience
03:39et le nombre d'élus au niveau du Parlement et des conseils.
03:43Mais elle a été longue.
03:46Mais finalement, nous avons pu sortir les deux listes.
03:51Une première liste pour la commission sur les partis politiques, je veux dire.
03:56Et une deuxième commission pour les découpages.
03:59Donc on a laissé au président de présenter les deux listes
04:04à la présidence de la République
04:07pour que les travaux puissent commencer.
04:09Notons que la réforme de la loi sur les partis politiques
04:12ainsi que le redécoupage électoral
04:14constituent les ultimes étapes
04:16avant la tenue des élections législatives,
04:18sénatoriales et locales
04:20dont les dates ont été fixées par le chef de l'État.
04:23Le nouveau directeur général du groupe
04:25Eramet Polokasteari
04:28a été reçu
04:29par Gilles Nembe,
04:30ministre des Mines et des Ressources Géologiques,
04:33occasion pour les deux hommes
04:34de faire connaissance
04:35et d'échanger sur ce secteur.
04:37José Bilogué pour le commentaire.
05:07Sous-titrage Société Radio-Canada
05:37Merci.
05:38Merci.
06:07Dans la suite de ce journal,
06:21l'État gabonais a décidé de reprendre les choses en main
06:23en sécurisant son activité maritime,
06:27une démarche qui vient renforcer sa position internationale.
06:30On regarde.
06:30Sous-titrage Société Radio-Canada
06:37Merci.
07:07Merci.
07:08Merci.
07:37Merci.
07:38Merci.
08:07Dans le conflit entre Israël et l'Iran,
08:26l'État hébreu est en quête de soutien en Afrique.
08:29C'est tout le sens de la visite de la vice-ministre israélienne
08:32des Affaires étrangères le week-end écoulé à Libreville.
08:35En visite de travail à Libreville le week-end écoulé,
08:38la vice-ministre israélienne des Affaires étrangères
08:40Sharon Askel a mis de pied à l'étrier
08:42pour la campagne diplomatique d'Israël en Afrique.
08:45En effet, cette visite s'est inscrite dans un effort stratégique
08:48pour renforcer la position d'Israël sur la scène internationale
08:52face à l'influence croissante de l'Iran sur le continent.
08:55Au cours de son séjour de deux jours,
08:56Sharon Askel a rencontré des figures clés du gouvernement gabonais,
09:00dont le nouveau vice-président du gouvernement Hugues-Alexandre Barraud-Chambrier
09:04et le premier ministre sortant Raymond Donsima.
09:07À ces derniers s'ajoute l'archevêque adjoint,
09:09soulignant l'importance de la diplomatie religieuse
09:11dans un pays à majorité chrétienne.
09:14L'offensive d'Israël en Afrique passe par le Gabon.
09:17C'est en tout cas ce qu'a assuré la vice-ministre israélienne
09:19des Affaires étrangères sur l'importance de la coopération avec l'Afrique.
09:23Les relations d'Israël avec les pays africains sont un atout stratégique,
09:26essentiel pour contrôler les défis posés par l'Iran
09:28et les organisations terroristes.
09:30Sharon Askel a notre confrère,
09:32Jewish News Syndicate.
09:34Il est à noter qu'avec 600 millions de chrétiens en Afrique
09:36et 54 voix aux Nations Unies,
09:38le continent est un terrain crucial pour la diplomatie israélienne.
09:41Le Gabon, riche en pétrole mais confronté à une pauvreté persistante,
09:45représente donc un partenaire stratégique dans cette dynamique.
09:48Sharon Askel a souligné les ambitions iraniennes en Afrique,
09:51une base d'opportunités où Téhéran exploite les ressources minières
09:53pour blanchir des fonds, menaçant la stabilité régionale.
09:56Cette visite s'inscrit dans une série d'initiatives diplomatiques israéliennes en Afrique.
10:01Avant le Gabon, en mars,
10:02Sharon Askel a signé un accord bilatéral avec le Malawi
10:05pour l'envoi de travailleurs
10:06et s'est rendue au Ghana et en Éthiopie
10:08pour consolider les partenariats.
10:10L'Afrique est une priorité stratégique pour Israël, a conclu.
10:14En santé, le SAMU social gabonais
10:16vient de dresser son bilan de la transition.
10:18Ce sont donc plus de 650 000 personnes
10:22qui ont été prises en charge par la structure sur le plan national.
10:26Iris Obanga.
10:27S'il est une des satisfactions évidentes des 19 mois de transition
10:30sous le régime militaire, c'est assurément
10:32le service d'aide médicale urgente sociale gabonais.
10:35La structure coordonnée par le docteur Wenceslasiaba
10:37a accompli une prouesse médico-humanitaire sans précédent
10:41en offrant des soins gratuits à 656 367 personnes
10:45à travers le pays.
10:47Sous l'impulsion de son excellence Brice Clottero-Léguignema,
10:50président de la République chef de l'État,
10:52le SAMU social gabonais a vu son réseau s'étoffer
10:54avec la création de 11 nouvelles antennes
10:56en seulement 19 mois.
10:58Avec désormais 17 centres opérationnels,
11:00l'accès aux soins gratuits s'est considérablement renforcé,
11:03améliorant les conditions de vie des populations
11:05les plus vulnérables.
11:06656 367, c'est le nombre de personnes de toute nationalité
11:10et de tout genre prises en charge gratuitement
11:12par le SAMU social gabonais durant la période de transition.
11:15Cela représente une moyenne de 34 545 patients
11:28pris en charge chaque mois,
11:29soit 1 151 personnes par jour,
11:32de jour comme de nuit sur l'ensemble du territoire.
11:34Un véritable dispositif devenu un pilier de la lutte
11:37contre l'exclusion, la pauvreté et la maladie.
11:40D'ailleurs, le SAMU social gabonais s'est imposé
11:42comme un modèle unique en Afrique et un outil majeur
11:45de veille sanitaire et sociale.
11:47Ces actions, menées 24 heures sur 24,
11:49s'inscrivent dans une dynamique d'urgence médico-humanitaire,
11:53répondant aux besoins immédiates
11:54en consolidant une vision de solidarité nationale.
11:57Ce bilan exceptionnel témoigne de l'engagement
11:59des autorités gabonaises à promouvoir
12:01l'inclusion et la justice sociale.
12:05Le chiffre de ce soir est donc 656 367,
12:11c'est le nombre de personnes prises en charge gratuitement
12:13par le SAMU social gabonais durant la transition.
12:17Le verbatim de ce soir est de Pierre Claver Maganga Moussavou,
12:21président du PSD,
12:23qui s'exprimait ce jour à l'auditorium de l'immeuble Arambo
12:27dans le cadre de la séance de travail
12:30convoquée par le Conseil national de la démocratie.
12:33Les représentants des formations politiques
12:35au sein de la commission devant réviser la loi
12:37sur les partis politiques doivent être des personnes d'expérience.
12:40Si vous avez face à vous un secrétaire général de la présidence
12:43qui vient parler des partis politiques,
12:45il faut qu'il y ait en face quelqu'un pour lui dire de se taire
12:49parce qu'il n'a jamais été sur le terrain
12:51et n'a jamais connu la politique.
12:53Voilà qui m'a fin à votre journal.
12:55Merci de nous avoir suivis.
12:57Bonne soirée à tous.
12:57Retrouvez GNT TV sur vos différents réseaux sociaux.