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00:00Tu vois c'est terrible, franchement, dans l'histoire de notre football, parler du titre et on met Anderlecht en dessous du tapis, on n'en parle même plus quoi.
00:06Mais quel play-off pour Anderlecht maintenant ? On sait qu'il y a la finale de la Coupe, mais il n'y a pas de play-off.
00:11La quatrième place quand même ?
00:13Oui la quatrième place, ça c'est le minimum. Là c'est, on l'a dit, on l'a répété, c'est la Coupe de Belgique.
00:19Punt d'Anderlecht, il n'y a que ça qui les intéresse.
00:21Mais est-ce qu'on peut préparer une Coupe de Belgique en jouant comme ça ?
00:24Déjà, maintenant tu sais bien que tu ne dois plus mettre un goulot ou un dosi sur un flanc de percussion parce que là tu vas te faire avoir avec les flèches brujoises.
00:32Donc en fait, tu t'attonnes pour arriver, on l'espère.
00:35Et pour l'instant, Besnikazi t'attonne, après les deux matchs.
00:38Complètement. Mais oui, il dit on a vu un léger mieux au niveau de la mentalité, mais on se contente de quoi ?
00:43Je rappelle la devise d'Anderlecht, la nouvelle, noblesse oblige.
00:47Alors là, il faut quand même être à la hauteur de cette devise-là. Là pour l'instant, ils n'y sont pas du tout.
00:51Pendant 20 minutes, ils ont rivalisé avec le premier pendant 20 minutes.
00:56Ils ont fait du power foot, comme l'expression dit.
00:58Antwerp a rivalisé avec Bruges pendant deux minutes ou trois minutes.
01:02Et puis quand Bruges s'est laissé aller, tu vois clairement le fossé entre le premier et le troisième.
01:08Entre le troisième et le quatrième, et entre le quatrième, le cinquième et le sixième.
01:12C'est l'effet de tuche tantôt.
01:15À ce niveau-là, on ne peut pas les faire descendre en play-off deux les trois derniers.
01:20C'est plus sexy à play-off à trois.