Plusieurs centaines de personnes, des femmes jeunes en majorité, se sont rassemblées, cette nuit, devant la gare de l’Est, à Paris, pour participer à une marche « féministe radicale de nuit », dont l’interdiction a été suspendue au dernier moment. Cette interdiction était la « première » pour cette manifestation organisée depuis plusieurs années par l’Assemblée féministe Paris-Banlieue et d’autres collectifs pour dénoncer les discours « anti-LGBTQI », « racistes » ou « colonialistes », selon les organisateurs.
Mais dès les premiers instants de la marche, des slogans à forte charge politique ont été scandés par les manifestantes en tête de cortège, selon le journaliste Jules Laurens de Frontières. « Intifada ! Intifada ! », ont crié les militantes issues des collectifs Urgence Palestine et Samidoun, appelant à un soulèvement en soutien à la cause palestinienne.
Autre slogan répété tout au long du parcours : « De la mer au Jourdain, Palestine aux Palestiniens ! », une formule qui suscite la polémique en raison de son interprétation comme un appel à la disparition d'Israël.
« On est là, même si Laurent Nuñez le préfet de police de Paris ne veut pas. On est là, contre le fascisme rampant au sein du gouvernement », ont également scandé des manifestants. Le cortège, dont les deux banderoles de tête clamaient « une autodétermination totale des corps, des identités, des peuples », pour la première, et « gloire aux résistantes palestiniennes » pour la seconde, a commencé sa marche vers 19 h 30 en direction de l’Hôtel de ville.
Mais dès les premiers instants de la marche, des slogans à forte charge politique ont été scandés par les manifestantes en tête de cortège, selon le journaliste Jules Laurens de Frontières. « Intifada ! Intifada ! », ont crié les militantes issues des collectifs Urgence Palestine et Samidoun, appelant à un soulèvement en soutien à la cause palestinienne.
Autre slogan répété tout au long du parcours : « De la mer au Jourdain, Palestine aux Palestiniens ! », une formule qui suscite la polémique en raison de son interprétation comme un appel à la disparition d'Israël.
« On est là, même si Laurent Nuñez le préfet de police de Paris ne veut pas. On est là, contre le fascisme rampant au sein du gouvernement », ont également scandé des manifestants. Le cortège, dont les deux banderoles de tête clamaient « une autodétermination totale des corps, des identités, des peuples », pour la première, et « gloire aux résistantes palestiniennes » pour la seconde, a commencé sa marche vers 19 h 30 en direction de l’Hôtel de ville.
Catégorie
📺
TVTranscription
00:00Utipanda, Utipanda !
00:11A la première, à la deuxième et à la troisième Utipanda !
00:15Nous sommes tous les participants !
00:19A la première, à la deuxième et à la troisième Utipanda !
00:23Nous sommes tous les participants !
00:26à la deuxième, à la troisième et à la quatrième d'Ile-de-Casas.
00:30Nous sommes tous, à la deuxième.
00:34SAUVE !