• la semaine dernière
Retrouvez le replay de l'après course du relais messieurs des championnats du monde de ski de fond de Trondheim du 06/03/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Allez, la victoire de Johannes Cleve pour l'équipe de Norvège encore sur ce relais cross-country qu'on a vécu ensemble
00:09avec une quatrième place encore pour l'équipe de France.
00:12Quatrième comme la place de Jules Chapal, c'était en individuel la semaine dernière.
00:16Et cinquième encore, on le rappelle hier aussi, sur le team sprint qu'on a vécu aussi.
00:21Ça veut dire qu'on n'est pas loin du côté de l'équipe de France, mais on n'y est pas encore totalement.
00:26On aperçoit Hugo Lapalulle qui est en larmes sur les images de Tom Trichereau.
00:29C'est dur, c'est vraiment dur. Alors Alban, je ne vais pas vous relancer sur ce que vous venez de dire.
00:33C'est vrai que Théo, finalement, sur ce bilan, je commençais un petit peu à le faire, mais c'est vraiment ça.
00:37On sait, les championnats du monde, c'est la vitrine, bien sûr, pour un sport comme le ski de fond.
00:41Et là, on sent qu'on n'est pas loin d'y aller et en même temps, on n'y est pas.
00:44Donc, il y a beaucoup de frustration et beaucoup de déceptions qui sont mêlées.
00:48Je pense que frustration, c'est le mot. Ils étaient tous là.
00:51On a perçu Flora Dolci, on a perçu Richard Jouve qui est venu voir les copains.
00:55Malheureusement, frustration, c'est le maître mot.
00:59Pour faire la différence dans la fin, là, ça ne fait que ça.
01:03En vrai, je suis sûr, même s'il y avait eu un Norvégien dans le truc, ça n'aurait rien changé.
01:08Ça aurait tenu, tu vois.
01:10C'est bien.
01:11Mais oui, au premier tour, j'ai fait tout mon effort.
01:14Et puis, le deuxième tour, ils me passaient tous dans les descentes.
01:19Du coup, toi, tu te prends un peu à être devant.
01:22Et derrière, c'est chaud.
01:26Les premiers mots de Matisse Desloges.
01:29Et puis, du coup, les mecs comme...
01:31C'était Julien Pierre qui parlait.
01:33Les mecs comme Valério, tout ça.
01:35C'est cet ennemi. Moi, je t'ai dit, cet ennemi, c'est pas...
01:38C'est Clément Paris. Voilà, c'est ce qu'on voit l'image.
01:41C'est Clément Paris qui parlait avec Julien Pierre. C'est Julien Pierre qui parlait.
01:44En coupe du monde, ça fait toujours ça.
01:47Ça fait exactement ça.
01:50Et ça fait que des trucs.
01:52C'était ça qui était bien sur les mondiaux. C'était un 10, quoi.
01:55Oui.
01:57Victor le verra.
01:58C'est que c'était des 10 et que ça...
02:10De toute façon, c'était un truc de puncher.
02:12Tu vois, et à la fin, tu mets tout, quand même.
02:16Il en reste quand même bien dans le sac.
02:18Mais après, moi, j'ai pas le... J'ai pas le choix.
02:21C'est beau.
02:23Il est monté, quoi.
02:25Même celle-ci, qui est la plus longue montée, elle est pas...
02:28Ouais, elle est trop flat, quoi.
02:30Ouais, ben...
02:31Mais il boit bien, hein.
02:33C'est vrai que ce qu'est en train de dire Julien Pierre, c'est de parler de la glisse.
02:38Mais la piste est pas assez dure pour eux.
02:40Pour les Français, clairement, c'est ce qu'il est en train de dire.
02:42C'est qu'ils arrivent pas à faire de différence.
02:44C'est une piste faite pour les punchers.
02:46C'est ce que dit Jules, c'est que...
02:48Peut-être que vous avez raison, Théo.
02:50Elle était peut-être pas assez dure, cette piste, pour les Français.
02:54C'est ce qui ressort, en tout cas, du premier débriefing de Jules Lapierre.
02:58Ouais.
02:59C'était trop paniquant.
03:01Ouais.
03:02Ouais, ouais.
03:04Le podium, en même temps, à côté, avec cette nouvelle victoire, encore, de Johannes Klebe.
03:09Vous pouvez redonner le compteur, Théo, sur ces mondiaux,
03:12qui sont maintenant un record.
03:14Ouais.
03:15Johannes Klebe qui vient chercher sa cinquième médaille d'or.
03:18Il restera le 50 kilomètres, ce samedi, pour Johannes Klebe,
03:22pour aller accrocher un grand chelem qui serait historique.
03:25Ce serait du jamais vu dans l'histoire du ski de fond international
03:28qu'un athlète prenne part à six courses en individuel et en équipe
03:33et qu'il remporte l'or à chacune de ses tentatives.
03:37Ce sera notre fil rouge samedi.
03:39Et puis, l'équipe de France, qu'on a aperçue, Victor Lovera,
03:42qui a fait son arrivée ici à Trondheim pour disputer spécialement le 50 kilomètres.
03:49Ce sera le dernier espoir pour cette équipe de France.
03:52On aura également Flora Dolci sur le 50 kilomètres féminin.
03:56Mais là, ce serait de l'ordre de l'exploit, peut-être,
03:58de voir Flora sur le podium sans trahir de secrets.
04:02En revanche, il va falloir évacuer, si on peut évacuer.
04:08Je pense que là, ça commence à peser.
04:11Ça commence à peser sur tout le monde.
04:13On le voit, il y a un peu de fatalisme, je dirais, maintenant dans cette équipe
04:18parce qu'ils ne trouvent pas la solution.
04:20Ils n'arrivent pas à trouver la clé, la porte de sortie vers la grande porte, je dirais.
04:25Et c'est vrai que le 50, il va être assez difficile.
04:29On voit Victor Lovera qui essaie de vraiment rassurer.
04:33Alban, je vais vous la poser comme ça, la question.
04:35Mais s'il n'y avait aucune médaille du côté de l'équipe de France,
04:37ce serait un énorme échec ?
04:40Il faudra juste rappeler que l'équipe de France a eu ses premières médailles
04:46en grand championnat au début des années 2000.
04:50Il existe quelques coups d'éclat d'Hervé Balland dans les années 80.
04:53Mais au début des années 2000, on a eu quelques podiums.
04:58On a pris l'habitude depuis à peine 10 ans maintenant d'avoir des podiums réguliers,
05:03que ce soit en relais sur des grands championnats ou aux Jeux Olympiques.
05:06Ça reste assez nouveau, on a déjà connu ça par le passé.
05:10Oui, clairement, on attendait beaucoup mieux.
05:13C'est un échec de la part de l'équipe de France.
05:15On attendait bien deux ou trois médailles.
05:17Alban, on va aller du côté de Tom Trichereau pour analyser cette contre-performance,
05:23en tout cas cette place au Quai du podium.
05:29Alexandre, juste un mot.
05:31Cette course vient de se terminer, malheureusement.
05:33Une quatrième place pour cette équipe de France.
05:35C'est quoi ? C'est de la déception, de la frustration ?
05:38Comment on tire déjà un petit bilan de cette course ?
05:41Oui, bien sûr, un peu de frustration.
05:43On retrouve un peu notre résultat de Planica.
05:45En fait, il nous manque vraiment le finish pour aller chercher ce podium.
05:49On a des gars qui se sont bien battus sur la piste.
05:51Ils ont lutté, lutté.
05:53On était vraiment au combat pour cette deuxième place tout le long de la course.
05:57On sentait quand même cette petite chanson qui arrivait sur la fin de course
05:59avec deux gros finisseurs qui sont avec les Suisses et les Suédois.
06:03Voilà, c'est comme ça.
06:05Il faut qu'on travaille encore, il y a encore beaucoup de travail à effectuer
06:07à tous les points pour pouvoir aller chercher des médailles au jeu dans un an maintenant.
06:11On sait qu'on a la capacité, on est tout proche,
06:14mais il y a encore des petits paliers qu'il faut qu'on monte pour y arriver, tout simplement.
06:18C'est ça, on parlait de cette chanson qu'on connaissait.
06:21On voyait un Matisse, il fallait qu'il fasse la différence dans cette dernière bosse
06:24et même dans les bosses avant.
06:26Qu'est-ce qu'il y a pu manquer peut-être ?
06:28Est-ce qu'il y a déjà peut-être des premiers éléments ?
06:31De toute façon, en effet, la boucle de skating avec la météo du jour qui a compacté la piste,
06:36ça a fait une piste de skating qui était pour des punchers, même des sprinters.
06:41La boucle n'est pas dure, il n'y a pas de grosses montées.
06:44C'était très rapide.
06:46Il a essayé un peu, mais ça ne suffisait pas pour avoir vraiment le punch qu'il faut pour s'en sortir.
06:52On va travailler ça.
06:54C'est une équipe de belles qualités, il va encore travailler avec les coachs,
06:57avec les préparateurs physiques.
06:59On a une équipe qui a les capacités de faire mieux.
07:02Il faut encore progresser dans le sprint.
07:05Merci beaucoup Alexandre.
07:06Merci Tom Trichereau également.
07:08Je vous rappelle bien sûr l'équipe de choc à suivre.
07:10France va venir vous faire le programme dans quelques instants.
07:13Le biathlon aussi avec la reprise de la Coupe du Monde.
07:15C'est du côté de Nové Miesto en Tchéquie avec le sprint Homme
07:18tout autour de l'équipe de Messaou de Ben Perki.
07:21Ce sera à 17h30 très exactement.
07:23D'abord, on va continuer à débriefer ça pour suivre encore ces championnats du monde
07:26jusqu'à dimanche sur la chaîne d'équipe.
07:29Alban, on a parlé du négatif.
07:31Évidemment, c'est normal sous le coup de la déception aussi.
07:34Mais il le répétait un petit peu.
07:36Alexandre, justement, il y a aussi du positif à emmener.
07:39Qu'est-ce qu'on emmène finalement de ces mondiaux, de ces échecs de l'équipe de France ?
07:43On est déjà toujours placé jusque là.
07:45On est toujours placé dans le top 10, dans ces places d'honneur.
07:48Mine de rien, on a envie de plus parce qu'on sait qu'ils sont capables de plus.
07:51En plus, ils arrivent avec des ambitions presque affichées.
07:54Ils l'ont montré sur toutes les Coupes du Monde.
07:56Ils le montrent souvent tout l'hiver.
07:58Ils sont capables de jouer devant.
08:00Ils le sont de plus en plus avec des très jeunes.
08:02Mathis Deloge, Rémi Bourdin, c'est des garçons qui ont zéro expérience à ce niveau international.
08:07On leur en demande beaucoup.
08:09Nous-mêmes, on est très exigeants.
08:10On a envie que ça claque parce qu'on sait qu'ils en sont capables.
08:13Je retiens d'abord que je pense qu'ils vont repartir avec ça en tête.
08:18Il ne nous manque rien du tout pour que ça bascule de notre côté.
08:21Continuons de travailler. On est sur la bonne voie.
08:24On attend un Mathis Deloge, Jules Lapierre au micro, peut-être de Tom Trichereau.
08:28Tom qui est à l'affût pour récupérer ses réactions.
08:30Une équipe de France qui est déjà dans l'analyse mais qui est aussi déjà très émue.
08:34Bien sûr, on l'a dit.
08:36Théo, qu'est-ce que vous avez envie de retenir de cette course ?
08:40Est-ce qu'il y a un moment où vous y avez cru à ce podium, à cette médaille ?
08:45Très honnêtement, en fonction du scénario de course,
08:48on voyait que ce groupe n'arrivait pas à se morceler, à se diviser.
08:52On a vu Jules Lapierre tenter de durcir un peu le ton.
08:55Mais les Suédois étaient toujours là.
08:59Ça voulait dire que les sprinters étaient avantagés en quatrième relayeur.
09:04On a amputé de 2,5 km ce relais par rapport à Planinsa il y a deux ans.
09:10Certes, le résultat brut avait été le même.
09:13Mais on avait encore moins de kilomètres.
09:15Donc, ça favorisait encore plus les sprinters.
09:18Maintenant, l'enjeu pour toute cette équipe de France,
09:20c'est de transformer cette frustration, cette déception, cette rage en envie de gagner.
09:25Ce qu'on va faire, Théo et Alban, c'est qu'on va réécouter avec le cœur un peu gros
09:31ce qui vient de se passer avec vos commentaires dans les conditions du direct,
09:35cette fin de course pour ce relais Paris.
09:38Klebe qui s'empare du drapeau norvégien, qui flotte sur Trondheim.
09:42Allez Mathis !
09:44Komoski-Atlon ! Komoski-Atlon ! Un gros finish !
09:47Allez mon gars, t'es fort ! Tu peux le faire ! Allez !
09:50Allez, c'est parti ! Valéry Ogron, le sprinter qui met en route.
09:53Allez, tout de suite !
09:54Mathis déloge plein cadre avec cette combinaison bleue.
09:57Essayer d'aller suivre Edwin Anger et Valéry Ogron.
09:59J'ai l'impression que les deux hommes sont en train de s'envoler.
10:01Devant Johannes Klebe, il est en train d'aller chercher la médaille d'or pour la Norvège.
10:05Où est Mathis ? Est-ce qu'il est arrivé à suivre les deux locomotives suisses et suédoises ?
10:10Ils sont sur la médaille. Les Suisses, s'ils ont raison, ils sont sur la médaille.
10:13Il faut faire comme ça. Peu importe si on se fait pouer au sprint par Edwin Anger.
10:17Il faut y aller maintenant.
10:19Allez Mathis ! Tenter de relancer dans ce dernier virage. Se lancer dans cette descente.
10:25Cette course, elle va être encore amère à mon avis pour l'équipe de France.
10:28Devant c'est Johannes Klebe qui va aller chercher un cinquième titre mondial.
10:32Et encore, encore ajouter une médaille d'or à son palmarès.
10:35Il devance Peter Nortug. C'est le plus titré désormais en individuel.
10:39Mais Mathis Deloge joue le podium derrière. Est-ce qu'on peut s'y attarder messieurs ?
10:44La joie des Norvégiens n'est pas revenue malheureusement.
10:47Et c'est la Suisse qui va faire la médaille d'argent peut-être avec Edwin Anger.
10:51Qui ne peut répondre à l'accélération de Valérie Augron.
10:55La Suisse qui marque l'histoire. Premier podium de l'équipe suisse sur un relais.
10:59Derrière la Suède va faire troisième l'équipe de France. Où est-elle ?
11:02Mathis Deloge qui s'est fait déloger justement dans la dernière bosse.
11:06Et qui va prendre la quatrième place. Encore une place au pied du podium pour cette équipe de France.
11:12On n'en peut plus de ces mondiaux de trondheim. Ça ne sourit pas pour l'équipe de France.
11:17Mathis Deloge un quatrième relayeur donc.
11:20Et Jules Lapierre avait été le troisième. Il est au micro de Tom Trichot en direct.
11:27Oui, Jules, quatrième sur cette course. C'est quoi le sentiment là ?
11:32C'est de la déception, de la frustration de se dire qu'il y avait la place d'aller chercher ce podium.
11:37Et malheureusement on n'a pas cette médaille.
11:40Oui, grosse déception, grosse frustration. Il y avait vraiment de quoi faire.
11:48Mais ça ne fait pas. C'est un petit peu l'image de tous les championnats.
11:54On est présent mais il manque la petite étincelle pour aller chercher une bonne perf et une médaille.
12:02On espérait, on a tout fait pour. Je pense que tout le monde était à 100%.
12:09Mais il n'y a pas le petit grain de réussite qui fait que ça marche.
12:14C'est une déception de plus. Un peu dur à digérer pour tout le monde.
12:21On a senti vraiment toute l'équipe. On était huit gars à pouvoir courir dans le relais aujourd'hui.
12:28Tout le monde était là. Les quatre qui ne couraient pas étaient vraiment en supporter.
12:32Ils étaient avec nous. Du coup ça c'était vraiment fort.
12:35Mais voilà, on vit cette défaite. C'est dur. On enchaîne un petit peu les déceptions.
12:45Ça pèse un petit peu sur l'équipe. Mais voilà, c'est comme ça.
12:51On a senti, on voyait Clément Paris qui était là aussi, qui faisait partie de ces gars remplaçants qui étaient avec vous,
12:57qui avaient les larmes aux yeux. On sent qu'il y a tout un collectif France.
13:01Ce n'était pas juste vous quatre sur le relais. C'est vraiment un groupe France qui vit la déception ensemble.
13:08Oui, c'est exactement ça. Les quatre remplaçants qui sont là et qui lâchent une larme à la fin avec nous.
13:18Parce qu'ils font partie du relais. Ils sont là si jamais il y en a un qui ne va pas bien.
13:24Ils auraient pu être dans le relais. C'est ça la force de notre équipe.
13:28On est un collectif solidaire. Heureusement qu'on les a.
13:33On gagne ensemble, on perd ensemble. Ça tourne du mauvais côté malheureusement.
13:39On va aller pleurer un petit coup et repartir pour la fin de saison et surtout le 50 pour ceux qui courent samedi.
13:51Merci beaucoup Jules.
13:53Merci à Jules Lapierre de s'être arrêté. On sent le coeur au bord des larmes.
13:59C'est vrai que c'est difficile de digérer ça. On l'a dit, il y aura le 50 km.
14:04Ce sera samedi pour les garçons et dimanche pour les filles également.
14:08Théo, on va revenir sur cette performance extra de Johannes Klebe.
14:12On va d'abord l'écouter et ensuite je vous demanderai de rappeler ces chiffres assez impressionnants.
14:22Johannes, on vous a vu le sourire aux lèvres dans la dernière boucle.
14:25Oui, c'est incroyable. J'ai essayé de savourer chaque mètre.
14:32J'ai eu un départ en mamie sur orbite parfaitement. J'avais 50 secondes d'avance et j'ai pu savourer le dernier tour.
14:43J'ai l'impression que ça ne suffit pas de seulement gagner. Il faut finir ce travail sur le 50.
14:51C'est peut-être la course la plus importante. Ce relais, ça fait au moins 20 ans qu'on gagne ce relais.
14:58On ne voulait rien détruire. J'ai un peu ressenti cette pression aujourd'hui mais finalement ça l'a fait.
15:05Le sourire très détente de Johannes Klebe et il peut l'être bien sûr.
15:09Théo, ce qu'on va faire, c'est qu'on a des stats qu'on sort depuis une semaine maintenant quasiment.
15:13On les réactualise tous les jours. C'est ça avec Johannes Klebe.
15:18C'est le 5ème titre sur ces mondiaux. 5 courses, 5 titres pour Klebe.
15:24Et surtout, il devient seul désormais plus titré, plus de médaille d'or de l'histoire des mondiaux du ski de fond.
15:32Il a passé la légende, l'autre légende, Norwegian Peter Nortug.
15:3614 à 13 pour ce face-à-face entre Klebe et Nortug.
15:40Là, il est seul et surtout, il peut aller donc samedi, je le disais, aller chercher un grand chelem totalement inédit
15:46dans l'histoire des championnats du monde pour aller chercher un 6ème titre mondial chez lui.
15:50Je rappelle que Johannes Klebe habite à 8-10 minutes du stade à peine.
15:54Oui, je rappelle ce que ça veut dire également.
15:57Il est tout simplement à Trondheim et pas seulement parce qu'on est en Norvège mais parce qu'il est né à Trondheim également.
16:03Avec son public qui le porte totalement, il est en train de réussir quelque chose d'historique qui marque l'histoire des sports d'hiver.
16:10On suit ça toujours avec grand plaisir.
16:13Alban, il reste des compétitions, il reste l'équipe de France, on ne va pas se laisser marcher dessus comme ça ?
16:21Non, j'espère pas.
16:23Nous, on subit et on est simples spectateurs de tout ce travail.
16:29J'imagine que pour eux, il faut arriver à faire passer la pilule.
16:34Comme je le disais tout à l'heure, ça commence à être très difficile.
16:37Il y a quand même ce 50 kilomètres avec de beaux espoirs.
16:41Il y a Victor Levera qui apporte encore de la fraîcheur, qui vient, qui débarque et qui s'est préparé spécifiquement pour ça.
16:47On se rappelle du côté de Planitsa, on avait un Théochéli qui avait fait la même préparation,
16:51qui était venu et qui vient chercher un top 10 au milieu de tous ces Norvégiens.
16:56C'était assez incroyable.
16:57Il faut y croire, il faut retourner au travail.
17:00Il va rester deux jours où les techniciens vont pouvoir essayer de trouver le bon fartage,
17:08en espérant que les conditions météo se stabilisent un petit peu.
17:11C'est surtout ça.
17:12Il y a des conditions météo qui changent beaucoup.
17:14Il y a encore plein de paramètres à prendre en compte.
17:17Je pense qu'il y en a certains qui doivent avoir des nuits très courtes du côté de Trondheim,
17:21que ce soit le staff technicien ou entraîneur.
17:24On compte sur eux, ils sont capables de faire de belles choses encore.
17:28Avant de laisser la parole à France, avec l'équipe de choc qui va remettre un peu peps,
17:33parce que nous on a un peu mal dans tout ça.
17:35Ce n'est pas loin, ne vous inquiétez pas pour ça.
17:37Le tableau des médailles, la Norvège qui creuse encore.
17:3922e médaille pour la Norvège, une médaille pour les quatre évidemment.
17:44On compte comme ça.
17:45La Suède qui est toujours deuxième de ce classement avec huit médailles devant la Slovénie,
17:50grâce à ses bons résultats en saut.
17:52L'équipe d'Allemagne qui n'est toujours pas titrée sur ces championnats du monde.
17:55On rappelle le programme bien sûr avec samedi, le 50 km, immanquable pour les hommes.
18:00Je reprends l'horaire très exact.
18:03Ce sera à midi 55 pour samedi.
18:06N'oubliez pas également tout à l'heure la reprise de la coupe du monde de Biathlon,
18:09c'est à 17h30 du côté de Nové-Mesto.
18:11Et maintenant tout de suite, Frans Piron qui arrive.
18:13Alors France, je compte sur ta pêche légendaire pour remettre un peu d'énergie.
18:17Ce n'est plus la pelle le tableau des médailles.
18:19Vous êtes dans le déni, ça ne va pas beaucoup monter.
18:22C'est les mondiaux de la dépression comment ça se passe ?
18:24C'est un peu dur.
18:25Est-ce qu'un jour je vais arriver avec une marseillaise, la bamboche, les confettis ?
18:28Non.
18:30On l'espère.
18:31Il n'est pas là Ishanova, vos consultants ? Ils ne viennent même plus.
18:34Non, je suis toute seule.
18:36Bon, ce n'est pas grave.
18:37On va essayer de vous remonter le moral avec la défaite du PSG.
18:39Oui, mais peut-être le meilleur match de la saison du PSG.
18:42Une défaite encourageante, une défaite optimiste pour le match retour.
18:44Et on va vous expliquer pourquoi.
18:46On reviendra également sur l'énorme sanction écopée par Fonseca,
18:49le coach de Lyon après son front contre front contre l'arbitre.
18:52Son club le soutient à 100%.
18:53C'est un peu ça qui nous sidère ce matin.
18:55C'est peut-être logique.
18:56Vous l'écouterez en plateau.
18:57Et puis, tiens, le 15 de France.
18:58Ah, là, on va se réconcilier parce que les Bleus,
19:00ils vont aller taper l'Irlande ce week-end.
19:02On va gagner le tournoi destination.
19:03Et c'est Hugo Bonneval qui est remonté comme jamais,
19:05qui va vous expliquer pourquoi.
19:06Ça vous intéresse ou pas ?
19:07Il est en bon programme ou pas ?
19:08Oui, il est génial.
19:09J'aime surtout beaucoup votre énergie.
19:10On va tout gagner.
19:11On va tout essayer.
19:12Il faut qu'on pense.
19:13Oui, j'ai un peu peur de vous tirer vers le bas, ma chère France.
19:16Midi 25 pour les championnats du monde juniors de Biathlon.
19:19Et bien sûr, après 13h55 pour la suite de ces championnats du monde
19:22de sprint nordique du côté de Trondheim.
19:23Mais d'abord, il y aura 17h30, juste après vous,
19:25la coupe du monde de Biathlon qui revient.
19:26Avec peut-être des victoires.

Recommandations