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02:00demain, le matin, le soir,
02:03demain, le matin, le soir,
02:03demain, le matin, le soir, 30 minutes, une heure de temps pour
02:0430 minutes, une heure de temps pour
02:0430 minutes, une heure de temps pour le premier ministre, d'abord
02:07le premier ministre, d'abord
02:07le premier ministre, d'abord m'a fait exposer, mais
02:10m'a fait exposer, mais
02:10m'a fait exposer, mais tant qu'à temps les siègeurs
02:13tant qu'à temps les siègeurs
02:13tant qu'à temps les siègeurs m'ont peut-être
02:17m'a peut-être
02:17m'a peut-être peut-être vingt-heures pour ne pas dire
02:19vingt-heures pour ne pas dire
02:19vingt-heures pour ne pas dire l'octobre. Mais
03:22le premier ministre
03:25poser
03:28surtout parce que
03:31surtout parce que
03:31surtout parce que bonne
03:34bonne groupe parlementaire
03:35groupe parlementaire
03:35groupe parlementaire l'ombre
03:38l'ombre l'ombre l'ombre
03:40l'ombre l'ombre l'ombre
03:40l'ombre l'ombre l'ombre l'ombre
03:45le premier ministre
03:51par les partenaires sociaux,
03:53par les partenaires sociaux,
03:53par les partenaires sociaux, il y en a que c'est très suivi par
03:55il y en a que c'est très suivi par
03:55il y en a que c'est très suivi par les travailleurs, par le
03:57les travailleurs, par le
03:57les travailleurs, par le secteur privé, parce que
04:01parce que les déclarations du
04:02secteur privé, parce que les déclarations du
04:02secteur privé, parce que les déclarations du premier ministre
04:07parce que
04:12les entreprises
04:15les investisseurs
04:18les investisseurs
04:19pour moi c'est dépassé.
04:25pour moi c'est dépassé.
04:25pour moi c'est dépassé. Parce que
04:28Parce que
04:28Parce que pendant une semaine.
04:31pendant une semaine.
04:31pendant une semaine. Pour moi le premier ministre doit
04:32Pour moi le premier ministre doit
04:32Pour moi le premier ministre doit apporter un discours d'espoir.
04:35apporter un discours d'espoir.
04:35apporter un discours d'espoir. Un discours de solution.
04:38Un discours de solution.
04:38Un discours de solution. Elle m'a dit
04:41Elle m'a dit
04:41Elle m'a dit qu'il y a des solutions.
04:44qu'il y a des solutions.
04:44qu'il y a des solutions. Donc
04:47Donc demain il y a des
04:48Donc demain il y a des solutions.
04:53parce que
04:56la stabilité elle est toujours
04:57la stabilité elle est toujours
04:57la stabilité elle est toujours là.
05:00opportunité
05:03budgetaire et financière
05:08budgetaire et financière
05:08budgetaire et financière quasi-inexistante.
05:11quasi-inexistante.
05:11quasi-inexistante. Donc
05:14des jeunes
05:17des jeunes
05:17des jeunes
05:21brochard
05:31Donc solutions,
05:32Donc solutions,
05:32Donc solutions, solutions, solutions, je pense
05:35solutions, solutions, je pense
05:35solutions, solutions, solutions, je pense extrêmement
05:37extrêmement important.
05:44Pour momentos
05:47C'est ce qu'a fait Amal et c'est ce qu'a fait l'attente de l'Association des partenaires.
05:54Mais cette fois-ci, c'est une situation inédite pour tout le Sénégal.
06:00Tout le monde s'est fasciné par Mme Diakar pour qu'elle fasse face à Indi Abdante.
06:08Pourquoi est-ce qu'elle a l'attente de l'Association des partenaires?
06:11Si c'est pour une situation, elle a la responsabilité.
06:14Au-delà de savoir ce qui lui est arrivé, il faut savoir pourquoi il est venu.
06:21Pour trouver une solution.
06:23J'ai discuté avec l'ancien député Abambaye et il m'a donné une réponse.
06:29Il m'a dit qu'il ne l'imposait pas et que c'était la meilleure occasion pour lui.
06:38C'est la meilleure opportunité au niveau de l'Assemblée Nationale.
06:42Et quelle que soit la répartition, c'est le groupe parlementaire qui a le plus d'importance.
06:47Donc, c'est l'occasion pour lui de profiter de l'occasion pour se poser des questions.
06:57Pour savoir s'ils ont l'accès ou non.
07:00Mais aussi pour s'expliquer vis-à-vis de la situation.
07:08C'est l'occasion pour lui de gouverner et d'avoir des charges.
07:14Mais aussi pour les Sénégalais pour qu'ils comprennent ce qui leur est arrivé.
07:22Si on est dans un pays comme l'Italie, c'est comme si tu n'étais pas prêt pour trouver une solution.
07:32Par contre, si tu es prêt pour aller dans des orientations US
07:36les partenaires et les Sénégalais comprendront que le temps a changé.
07:42Parce que le discours n'a pas d'importance, il faut juste avoir le temps.
07:45Dans son ensemble, on peut l'évoquer dans de nombreuses situations.
07:52Par exemple, la fiscalité et d'autres réformes dont on a parlé plus tôt.
07:59Pour vous faire un petit rappel sur la situation vis-à-vis de ces solutions proposées par vous.
08:07Est-ce qu'il y en a d'autres?
08:09Il y a d'autres états mais la situation est la plus importante actuellement.
08:15Il n'y a pas d'autre solution.
08:17C'est à ce point qu'il faut réfléchir.
08:22J'ai parlé avec Birame Oloba.
08:29Il m'a dit qu'il y a pas mal de projets qui sont sur place.
08:33Il y a des agences et des structures qui sont en train de démarrer des ministères.
08:42Il y a des projets qui peuvent générer un emploi
08:48mais il peut y avoir des avancées pour lesquelles les ministères ne sont pas disponibles.
08:52Il m'a dit que la question du financement est très souvent sur le point.
08:59Donc, il faut réaménager les choses.
09:03Je ne peux pas vous parler des projets qui sont en train de s'accélérer.
09:07J'ai un défi pour les agences et les structures.
09:12Quelque soit le projet, tant qu'il n'est pas démarré
09:17et qu'il y a beaucoup de salaires dans ces structures, il n'y a pas de solution.
09:22On ne peut pas dire qu'il n'y a pas d'avancées pour les investisseurs.
09:27Si l'investissement n'existe pas, il n'y a pas d'emploi.
09:30On ne peut pas dire qu'il y a des salaires dans les ministères et les agences.
09:36Si on ne fait pas ça, on ne peut pas payer les salaires.
09:39Personne ne sait ce qu'il fait pour payer les salaires.
09:43J'ai entendu l'exemple de l'exemple de Bava Karmouk.
09:47Il était avec un ministre de la Réforme et il a dit qu'il était en colère.
09:50Il ne pouvait pas payer les salaires des employés.
09:54Si on ne fait pas ça, on ne peut pas payer les salaires.
10:00Si on ne fait pas ça, on ne peut pas payer les salaires.
10:05On ne peut pas payer les salaires des employés.
10:0930 véhicules, 40 chauffeurs et des CD.
10:15Qu'est-ce qu'on peut faire avec ça?
10:17Il y a un problème que nous ne pouvons pas comprendre.
10:23C'est l'enjeu de l'investissement.
10:25C'est ce qu'il faut dire à nos amis.
10:31Comment pouvons-nous le résoudre pour avancer?
10:35Pour moi, ça ne peut pas continuer.
10:37Il nous faut obligatoirement des investissements.
10:40C'est la relation entre les partenaires et le Sénégal.
10:44C'est un problème que nous ne pouvons pas résoudre.
10:47C'est pour ça qu'on ne peut pas attendre le cours des comptes.
10:52C'est pour ça qu'on ne peut pas attendre le cours des comptes.
10:57C'est l'occasion pour le premier ministre d'avoir des cadres.
11:03Le cours des comptes peut être confirmé et nous permettra d'être dans la continuité.
11:09Le Sénégal a une bonne signature, une bonne démocratie et une bonne image.
11:16Les propos des gouvernants permettront d'assurer la situation dans laquelle nous vivons.
11:25Si nous pouvons avoir des cadres, nous pourrions ouvrir une fenêtre pour les Sénégalais.
11:39Je pense qu'il faudrait qu'il y ait un décalage.
11:43Je pense que c'est ce qu'il faut faire parce qu'il y a des discours qu'on ne peut pas oublier.
11:49On sait que la situation est difficile mais il y a des choses qu'on ne peut pas oublier.
11:58Il y a des choses qu'on ne peut pas oublier parce qu'ils ont été élus pour ça.
12:08Ils savent que la situation est difficile mais ils sont dépositaires de la confiance des Sénégalais.
12:20Ils n'ont pas le choix de trouver des solutions pour les difficultés.
12:25Il y a des choses qu'on ne peut pas oublier mais il y a des choses qu'on ne peut pas oublier.
12:40Je veux remercier les partenaires sociaux et techniques qui ont aidé à faire cette matérialisation.
12:55Je pense que le gouvernement est en train de le faire mais le temps n'est pas politique.
13:01Il faudrait qu'il y ait un discours fort et qu'il soit politisé.
13:08L'opposition peut faire ce qu'elle veut mais il faut être fort.
13:15L'opposition peut faire ce qu'elle veut mais il faudrait qu'il y ait un discours fort.
13:22Il y a peut-être des questions qui sont choquantes.
13:28On choisit les inscrits pour qu'ils soient prêts à faire ce qu'ils veulent.
13:37Je l'ai vu, il y a beaucoup de temps qu'ils sont opposés.
13:42Mais ce sera dérisoire par rapport à ce temps.
13:49Le premier ministre n'est pas obligé de répondre à toutes les questions.
13:53Il y a des comptes de mille milliards qui sont en train de s'étendre.
13:57Il y a des comptes de mille milliards qui sont en train de s'étendre parce qu'il y a des situations.
14:05Mais il ne faut pas s'inquiéter, il y a des dénonciations qui sont en train de se produire.
14:12Je pense qu'il y a beaucoup de ruptures.
14:15Nous devons participer à fragiliser les institutions.
14:27Pour moi, il n'y a pas de rupture.
14:30Il y a eu des ruptures contre le premier ministre.
14:33C'est très simple, je n'y crois pas.
14:40Il faudrait qu'on recentre le premier ministre de la République du Sénégal.
14:49Il faudrait qu'on donne la place à l'opposition.
14:58Mais il ne faut pas s'inquiéter.
15:05Nous devons nous concentrer sur les institutions parce qu'il y a beaucoup d'inquiétude.
15:09Le premier ministre l'a dit, tout le monde a le droit de faire des commentaires.
15:12Tout le monde a le droit de faire des commentaires, il y a une honneur.
15:15Mais il y a des institutions dont on ne peut pas s'inquiéter.
15:19Nous devons nous concentrer sur les institutions.
15:24Mais il y a de l'inquiétude.
15:26Nous attendons l'éclatissement de demain.
15:28Je suis sûr que le premier ministre sera là demain.
15:31Nous l'avons annoncé à l'Assemblée Nationale.
15:36Le premier ministre devait avoir un rapport à l'Assemblée Nationale.
15:39Il a le droit d'en parler.
15:42Le rapport n'est pas sorti à l'Assemblée Nationale mais c'était prévu depuis lors.
15:49Le fait qu'à la conférence de presse du gouvernement, le premier ministre n'ait pas signé
15:56après la sortie du secrétaire général du gouvernement.
15:59Il semble qu'il y a un échelonnement et après,
16:02nous laisserons au premier ministre la charge de tenir le discours officiel.
16:13C'est ce que nous devons faire par rapport à l'orientation.
16:16Si on voit que c'est un échelonnement, on ne peut pas s'inquiéter.
16:20C'est à 9h, on verra ce qu'on va faire.
16:23Même si nous répatrions les questions,
16:26nous pourrions avoir un rapport à l'opposition par rapport à l'orientation.
16:33Même s'il s'agit d'une politique.
16:36Pour moi, la politique est un point.
16:40C'est une politique qui ne s'arrête pas.
16:44Comme je le dis souvent, il peut y avoir des occasions pour des questions
16:49mais souvent, il faut attendre.
16:53Sauf ce qui peut changer un peu,
16:57c'est que cette fois-ci, avant la sortie du premier ministre,
17:00Mme Dépimouki n'a pas fait une déclaration,
17:03elle ne s'est pas intéressée à la politique depuis le début.
17:06Sauf si c'est le cas actuel du gouvernement.
17:10Mais je crois que les députés de Pintou Mdouroui
17:15Il y a des situations où il faut poser des questions de partisanerie politique.
17:20Pour moi, il faut aller vers la citoyenneté.
17:22Mme Dépimouki peut-être qu'il y a un problème,
17:25vous pouvez l'exposer comme une question.
17:28Peut-être qu'il y a du temps pour le faire en commentaire ou en discussion.
17:35Mais aujourd'hui, il y a pas mal de problèmes dans ce pays.
17:38Si vous êtes un député, si le premier ministre est à l'Assemblée Nationale,
17:43vous avez 3 ou 1 minute, il peut y avoir une occasion pour vous.
17:47Vous pouvez pas oublier ce qui se passe là-bas ou là-bas
17:51comme un problème pour l'exposer au premier ministre.
17:54Pour moi, il y a du temps mais c'est une obligation pour eux.
17:59Depuis 1960 jusqu'à maintenant, les partis au pouvoir et l'opposition sont là.
18:05Il n'y a pas de changement.
18:08C'est ce qui fait la continuité aussi.
18:10Dialo me dit qu'il y a une solution à attendre.
18:16Est-ce que le rapport au cours des comptes,
18:20c'est vrai qu'on en a parlé mais la réponse dépend aussi des questions.
18:25Il y a peut-être un temps, même si la question est dans ce sens-là,
18:30le premier ministre est dans l'obligation de s'expliquer là-dessus.
18:33C'est une occasion.
18:35C'est vrai que Cheikh Diba a parlé de solutions et de nouvelles orientations.
18:40Mais au lieu des partenaires, le plus rassurant dans tout ça, c'est bien lui.
18:45L'absence du point de presse du gouvernement
18:48explique-t-il sur cette décision de l'Assemblée Nationale?
18:51C'est pour ça que si on devait déjà sortir du gouvernement,
18:56on ne serait pas là aujourd'hui.
18:58Je sais que tu as oublié la conférence de presse
19:01mais c'est pour rassurer un côté.
19:03Pour moi, le Sénégal est dans une phase décisive.
19:06Il est normal que le gouvernement donne des gages pour garantir ou donner plus d'espoir
19:11non seulement au peuple sénégalais
19:14mais si on ne s'en occupe pas avec le gouvernement,
19:17le peuple sénégalais peut avoir des problèmes avec ses partenaires sociaux.
19:21Donc, on a besoin d'assurance.
19:23Même si la question est dans ce sens-là, il faut qu'il explique sur ça.
19:27Il faut qu'il donne des explications au-delà de ses discours sur les lacs.
19:33Je sais bien qu'il n'a pas parlé de l'iceberg
19:38mais c'est au premier ministre d'approfondir les mesures
19:41pour savoir comment les prendre et ce qu'il va faire.
19:46J'ai eu l'occasion d'y répondre à toutes ces questions.
19:51Mais il va répondre sur ces questions aussi.
19:55Tu veux que je t'apporte quelque chose?
19:58Non, je vais m'attendre à l'iceberg.
20:01Je vais être à l'iceberg.
20:03En tout cas, tout le monde s'attend au Sénégal.
20:06Il faut trouver des solutions pour qu'on sache
20:12ce qu'on a réservé pour le Sénégal.
20:15On va aller sur un autre point et on va parler des lois réunies.
20:20Le ministre de l'Intérieur a dit que Jean-Baptiste
20:27a vu qu'il y avait des problèmes et qu'il a proposé des solutions.

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