jmako
@jmako
Nés à Douala au Cameroun dans les années 70, les J MAKO ont la chance de grandir autour d’une grande famille dont le seul soucis de leurs parents était alors de leur apporter, épanouissement et leur apprendre les bonnes mœurs à travers une parfaite éducation. C’est ainsi qu’ils grandiront bercés par de grandes cuvées artistiques camerounaises (Le Makossa)et internationales à l’instar de Salle John, Toto Guillaume, Ngalle Jojo, Eko Roosevelt, Eboa Lotin, Sam Mangwana, Manu Dibango Georges Brassens, et bien d’autres. L’éveil et la passion de cet art très noble qu’est la musique commence donc très tôt, d’abord au sein de la famille, et en suite tout va s’accélérer après leur 2ème communion (confirmation) où ils intégreront pour l’amour du Christ la chorale des jeunes (L’UCJG) révélant ainsi leur passion et leur talent pour le chant et l’ écriture des chansons. Chemin faisant, ils passèrent donc quelques années dans des chorales gospels avec un incontestable soutien à domicile de leur grand frère KWIN DAVID lui-même maitre de chorale dont au passage ils n’arrêteront de saluer l’initiative car non seulement il est leur conseiller artistique, co-auteur-compositeur, mais c’est aussi lui qui a eu le mérite de comprendre qu’en chacun de ses deux frères jumeaux dormait un talent artistique qui ne demandait qu’à mettre en éveil. Chose d’ailleurs qu’il a toujours su faire à travers des encouragements et un profond investissement personnel. Après le primaire et un début de secondaire passé ensemble les jumeaux fusionnels seront séparés pour diverses raisons, l’un restant à Douala et l’autre se retrouve au Nord Cameroun. Richard, resté à Douala continu leur passion en se produisant désormais dans des concerts scolaires, au centre culturel français et les concerts religieux. Et François, parti au Nord, perturbé par le climat inhabituel, un environnement complètement inconnu et soufrant de leur brusque et longue séparation, peine à se remettre. Malgré la distance, les J MAKO restent tout même inséparables au travers des lettres qu’ils s’envoyaient toutes les semaines et dans lesquelles les premières bribes de chansons commençaient à voir le jour. A la fin de leurs études sanctionnées par un BAC pro pour Richard et un BAC+2, pour François, l’avenir est un peu incertain.
C’ est en 2001 ils sont donc appelés en France par leur tonton MICHEL NYOUNGUE et c’est Richard qui est le premier à partir rejoint quelques mois plus tard par son jumeau. Le destin est de nouveau scellé. Et en France ils ont la chance de côtoyer plusieurs artistes parmi lesquels on peu citer : Henri Jooh ; hoïguen Ekwala ; Amerca Mbimbe ; Wes Madiko ;Dina Bell et surtout Epée et Koum qui les ont d’ailleurs très souvent conseillés et dont ils portent une profonde admiration. Toutes les conditions sont désormais réunies pour que l’envie de vivre de leur passion devienne une obsession. C’est ainsi qu’en 2005 après une longue période d’écriture et composition assistés par leur grand frère KWIN DAVID, les J MAKO vont contacter celui qui reste pour eux l’un des rares symboles des arrangements du Makossa pur et dur. Et pour ne pas le citer, ALADJI TOURE après écoute, sans contester a entièrement adhéré au progrès d’arrangement de cet œuvre que nous vous donnons donc aujourd’hui à déguster sans modération.
Dans l’espoir que comme nous, vous partageriez avec beaucoup de plaisir cette musique que tous pensions disparu, Le Makossa !!!
nous vous souhaitons
une très bonne écoute
http://www.afromontreal.com/pages/musique/artistes/artiste_page.asp?search=Les%20J%20Mako
C’ est en 2001 ils sont donc appelés en France par leur tonton MICHEL NYOUNGUE et c’est Richard qui est le premier à partir rejoint quelques mois plus tard par son jumeau. Le destin est de nouveau scellé. Et en France ils ont la chance de côtoyer plusieurs artistes parmi lesquels on peu citer : Henri Jooh ; hoïguen Ekwala ; Amerca Mbimbe ; Wes Madiko ;Dina Bell et surtout Epée et Koum qui les ont d’ailleurs très souvent conseillés et dont ils portent une profonde admiration. Toutes les conditions sont désormais réunies pour que l’envie de vivre de leur passion devienne une obsession. C’est ainsi qu’en 2005 après une longue période d’écriture et composition assistés par leur grand frère KWIN DAVID, les J MAKO vont contacter celui qui reste pour eux l’un des rares symboles des arrangements du Makossa pur et dur. Et pour ne pas le citer, ALADJI TOURE après écoute, sans contester a entièrement adhéré au progrès d’arrangement de cet œuvre que nous vous donnons donc aujourd’hui à déguster sans modération.
Dans l’espoir que comme nous, vous partageriez avec beaucoup de plaisir cette musique que tous pensions disparu, Le Makossa !!!
nous vous souhaitons
une très bonne écoute
http://www.afromontreal.com/pages/musique/artistes/artiste_page.asp?search=Les%20J%20Mako