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00:00Pas le droit, pas le droit de parler aux gens.
00:01Il est 16h12 sur Europe 1, on est en direct bien entendu
00:03et toute l'équipe est là.
00:06C'est vrai que, on va parler de François Bayrou dans un instant,
00:09Premier ministre face à la commission d'enquête
00:10et à la gauche, peut-il démissionner ?
00:13Vous allez nous dire ce que vous en pensez, moi je crois pas un instant.
00:15Et il l'a dit d'ailleurs, 0, 1, 81, 20, 39, 21,
00:17c'est une question, voilà, cette question est vite répondue comme on dit.
00:21Non mais c'est vrai.
00:22Victoire pour l'ancien président et mon ami Nicolas Sarkozy,
00:25le bracelet électronique de Nicolas Sarkozy retiré.
00:27Qu'est-ce que je suis heureux ?
00:28Je vous dis franchement, je suis heureux.
00:30Je suis heureux pour lui parce que, vous savez,
00:33comme je l'apprécie, comme je l'aime et vous ne savez pas.
00:35Et moi j'ai la chance de le connaître.
00:38Et je peux vous dire que même quand il a des problèmes comme ça,
00:41il n'en parle jamais, je vous jure que c'est vrai.
00:43Et vous pouvez l'appeler à n'importe quelle heure,
00:45il est toujours là pour ses amis, vraiment.
00:47N'importe quoi, lui demander un conseil, lui demander un truc.
00:49Vraiment j'aime cet homme et je suis heureux pour lui aujourd'hui.
00:52D'ailleurs, je l'appellerai après.
00:54Voilà, quand je ne serai plus avec vous puisqu'il n'a pas envie de vous parler.
00:57Merci.
00:57On va parler également de Sébastien Delogu.
01:02Le domicile et la permanence palomentaire de Sébastien Delogu
01:05ont été perquisitionnés ce matin.
01:06Et je vais vous dire, moi, il y a plein de gens qui m'ont dit
01:08« Ouais, ce soir, cet après-midi, il va fracasser Delogu. »
01:11Et c'est mal me connaître, en fait.
01:13Non mais c'est vrai, moi j'attends de voir.
01:15Moi je déteste, voilà, parce que j'aimerais pas,
01:17moi je déteste les mecs.
01:18Pas de chasser à l'homme a priori.
01:19Voilà, voilà, moi je ne suis pas là-dedans.
01:21Voilà, je vous dis franchement, voilà, donc j'attends de voir.
01:25On va expliquer ce qui s'est passé, mais j'attends de voir et on parlera après.
01:29Moi je ne suis pas comme Aurélien Saint-Toule qui tweet à tout va,
01:33même quand il ne sait pas, quand il ne sait rien, quand il ne comprend rien,
01:36comme d'habitude.
01:36Donc on ne va pas rentrer dans le même jeu qu'eux.
01:38Ça serait vraiment idiot, je pense.
01:40Voilà, 0 à 80 à 20, 39 à 21.
01:43Vous voulez me parler, Olivier d'Artigol, qu'est-ce qui se passe ?
01:45Si vous regardez votre téléphone, qu'est-ce qui se passe ?
01:47Qu'est-ce qui se passe ?
01:48Là, rien.
01:48Qu'est-ce qui se passe ?
01:49Qu'est-ce qui se passe ?
01:50J'ai un message d'un auditeur.
01:52Mais ça va vous sinon ?
01:53Non mais il est fou ce mec.
01:55Moi ça va bien.
01:55Mais vous le déstabilisez aussi, vous l'appelez,
01:57puis après vous ne lui parlez plus et tout,
01:58il ne sait plus où il en est.
01:59Dites-nous.
02:00Qu'est-ce que vous voulez l'auditeur ?
02:01C'est le...
02:02L'auditeur.
02:04Lucas, oui.
02:05Vous faites comme ça, j'ai tout de suite trouvé qui c'était.
02:07Oui, c'est Lucas avec qui je reste en contact.
02:09Par contre, vous, vous avez le SMS avec le nom dessus,
02:11vous n'arrivez pas à le sortir.
02:12C'est quand même un problème.
02:13Si, c'est Lucas.
02:15Toujours un plaisir de t'entendre, pertinent, drôle et excellent, bravo.
02:20Mais ça y est, vous savez que c'est le mieux.
02:23On est en train de le perdre.
02:23L'expression « lâcher la rampe » n'a jamais été aussi bien incarnée.
02:27Je suis dispo entre deux plateaux, ça me ferait plaisir.
02:29On a eu une belle rencontre avec Lucas.
02:32Moi je ne peux plus, je vais arrêter avec lui.
02:34Je vais arrêter avec lui.
02:36Vous allez arrêter.
02:36Je vais arrêter avec lui.
02:38C'est incroyable ce mec.
02:420 à 80 20 39 21, réagissez à tout ça sur Nicolas Sarkozy.
02:46Si vous êtes heureux, le président ait perdu son brasse électronique.
02:50Enfin, n'ait plus son brasse électronique.
02:52Vous savez que j'ai...
02:52Il n'a pas perdu.
02:53Il n'a pas perdu, oui.
02:54Vous savez que...
02:55Merde.
02:56Merde.
02:57On va vous le ramener, dis donc.
02:59Je ne peux plus de...
03:00Lui, on l'a perdu en tout cas.
03:03Lui, on l'a perdu en tout cas, on va te la remmener.
03:05Oui, oui, oui, c'est ça.
03:05Vous savez que j'ai appris qu'il y a des centaines de délinquants sur fonds de trafic de drogue
03:11qui attendent qu'on leur pose un brasse électronique.
03:14Et ils attendent parce qu'il n'y a pas de brasse électronique disponible.
03:16Mais pour Nicolas Sarkozy, on en a trouvé un tout de suite.
03:19J'ai appris notamment qu'il y avait énormément d'attentes autour de Marseille, de sources judiciaires.
03:24Donc évidemment, ce n'est pas le territoire qui concerne Nicolas Sarkozy.
03:28Mais c'est pour vous dire.
03:29C'est-à-dire qu'on a des délinquants dangereux et on va mettre le brasse électronique en priorité au président de la République.
03:35Donc il l'a porté trois mois, ça n'a pas duré très longtemps, il en est débarrassé.
03:39Mais enfin, c'est quand même l'esprit.
03:40Et quand dans un autre dossier, les juges qui ont fait les réquisitions contre lui veulent l'envoyer en prison pendant sept ans,
03:47je trouve ça invraisemblable.
03:49Invraisemblable qu'on puisse se dire qu'on va mettre un ancien président de la République en prison pendant sept ans.
03:52Il doit être exemplaire un président de la République.
03:54Il n'y a pas de justice.
03:55Je te parle de la prison, je te parle de l'incarcération.
03:57Mais si tu as un financement, par exemple libyen en l'occurrence...
03:59Oui, alors ils n'ont pas trouvé un euro, ils n'ont pas trouvé un copec.
04:03En tout cas, le PNF a demandé sept ans.
04:05Oui, effectivement, les réquisitions ont demandé sept ans.
04:10Je trouve ça incroyable de se dire qu'on va envoyer un ancien président potentiellement en prison.
04:16Non seulement alors qu'on n'a pas trouvé l'argent.
04:19C'est-à-dire qu'ils n'ont pas la preuve par A plus B que l'argent libyen a servi à la campagne de Nicolas Sarkozy.
04:24Mais en plus, dans le message, la prison c'est quoi ?
04:26C'est fait pour quoi ?
04:27C'est fait pour mettre hors d'état de nuire les dangers pour la société.
04:30À quel moment Nicolas Sarkozy est un danger pour la société ?
04:33Aucun.
04:33Non mais si le parquet décide et s'il y a une décision de justice qui décide qu'il y a eu délit,
04:39qu'il soit président ou qu'il ne soit pas tous les justiciables lui répondent de la même justice.
04:44Donc il n'est ni plus ni moins.
04:47Oui mais je pensais que les prisons étaient surchargées.
04:49Je pensais qu'on n'avait pas de place de prison pour tout le monde.
04:53Je pensais qu'on avait une surpopulation carcérale.
04:55Donc on va trouver de la place pour un ancien président de la République.
04:57Pour l'instant non, je parle des réquisitions.
05:02Je trouve que 7 ans c'est incroyable.
05:04Surtout quand on n'a pas, il faut prouver par A plus B, que l'argent a servi à sa campagne.
05:08C'est quand même la base.
05:10En tout cas il a plusieurs affaires judiciaires malgré tout.
05:13Oui on les voit, ça c'est public.
05:15Géraldine Maillet.
05:16Bah non mais c'est contraire.
05:18Moi qui étais pro-Sarkozy, effectivement ça m'embête.
05:21Mais pour l'instant, ce qu'on disait avec Gauthier, c'est que c'est quand même très sévère.
05:25Et puis on veut lui retirer l'autorité parentale sur sa fille.
05:27C'est n'importe quoi.
05:28C'est ce qu'en a l'autorité parentale sur sa fille.
05:29Non mais ça c'est une connerie.
05:33C'est dans les réquisitions ?
05:34Non mais c'est dans les réquisitions.
05:35Oui mais bon ça y est, ça c'est vraiment une bêtise incroyable.
05:38Si franchement, s'ils connaissaient le quart de ce que fait Nicolas Sarkozy pour sa fille,
05:44je peux vous dire qu'ils s'en occupent bien plus que beaucoup de mon avis qui ont essayé de le juger.
05:48C'est pour montrer l'acharnement.
05:49Pour vous dire où on en est.
05:51On va aller jusque là.
05:52C'est n'importe quoi.
05:52C'est n'importe quoi.
05:53Si vous voulez que je vous dise.
05:54Non mais comme vous dites, on a l'impression que les vrais voyous ont une impunité totale.
06:01Mais excusez-moi, mais quand je suis en tant que les policiers, ils arrêtent dix fois le même dealer
06:05et ils le retrouvent onze fois sur le même point de deal.
06:08Ça, ça me dérange beaucoup plus.
06:09Ah bah voilà, qu'à Saint-Ouen, dans la ville de Karim Bouamran, on est obligé de faire une votation pour déplacer l'école.
06:14Karim Bouamran, s'il vous plaît.
06:15Mais ce n'est pas de sa faute, ce n'est pas tant de sa faute.
06:17Mais dans cette ville, on a déplacé l'école plutôt que les dealers.
06:22Oui, je sais, je sais.
06:23Mais bon, ce n'est pas de sa faute.
06:23Il est le premier à le regretter.
06:24Bien sûr.
06:25Mais il faut l'aider, sûrement.
06:26Mais si un président fait un trafic d'influence et fait du lobbying auprès par exemple de la Russie...
06:30Qu'est-ce que vous en savez ?
06:31Non mais si jamais...
06:32Est-ce que tu trouves que c'est grave ou pas grave ?
06:34Si un président trahit son pays au point d'aller livrer des...
06:38S'il vous plaît, pour l'instant, ce dont on parle, ce qui a été jugé, c'est franchement...
06:44D'ailleurs, ça n'avait même pas lieu d'être.
06:45Puisque ça part d'une chose qui n'aura pas dû être faite.
06:51On est d'accord, Gauthier.
06:52Vous parlez de l'affaire des écoutes.
06:54Sur le bracelet électronique, évidemment, 100% d'accord avec Cyril, ça part d'une écoute avec son avocat.
07:01Et on l'a condamné sur une intention qu'il n'a pas réalisée.
07:04C'est quand même ahurissant.
07:06Et là, tous les avocats sont montés au créneau, sur les plateaux télé.
07:09Des avocats de gauche, des avocats de droite, en disant c'est impossible, on n'écoute pas un client avec son avocat.
07:14Donc il n'y a pas d'écoute, il n'y a pas de condamnation.
07:15De toute façon, la Cour européenne, je pense, des droits de l'homme va être saisie.
07:17Elle est saisie, elle est saisie.
07:18Et va donner raison, j'imagine, à Nicolas Sarkozy.
07:20On espère, en tout cas, on espère.
07:22Moi, je l'espère pour lui.
07:24Mais oui, on lui a mis un bracelet électronique pendant trois mois suite à une écoute avec son avocat.
07:27Sur une intention.
07:29Exactement.
07:29C'est exactement ça.
07:31Et c'est pour Vian Cassation aussi, pour l'affaire Big Malion.
07:34Il avait été encore plus fort en appel pour lui.
07:36Big Malion.
07:38Big Malion.
07:39Oui.
07:39Big Malion.
07:40Vous avez dit Big Malion, je ne sais pas.
07:41Oui, j'ai dit Big Malion.
07:42Vous avez dit Big Malion.
07:43Vous avez dit Big Malion.
07:44Big Malion.
07:45Le G était un peu...
07:46Oui, c'est ça.
07:47Voilà, merci.
07:48Gautier, voilà.
07:49Pourquoi Gautier entend les mêmes choses que moi, alors que les autres sont sourds ?
07:52Non, mais c'est fou, voilà, Gautier.
07:53C'est incroyable, Gautier.
07:55Voilà, bah oui, voilà.
07:56Tiens, j'allais parler de Pascal Praud en plus, et je le vois dans le Hublot.
08:01Non, parce qu'on va revenir sur son édito de ce matin, après l'affaire Bayrou.
08:05On a un auditeur.
08:08On a Eric du Pays Basque.
08:10Ah, le Pays Basque.
08:10Eric.
08:12Le Pays Basque.
08:14Il est flippant, là.
08:16Bonjour, Eric.
08:16On est surveillé par Pascal Praud, là.
08:19En direct, là, sur Europe 1.
08:20Comment ça va, Eric ?
08:22Eric ?
08:24Très content, déjà, de repasser à l'antenne.
08:26Ah bah, merci, Eric.
08:27Bah, nous aussi, on est heureux de vous avoir.
08:29Ça fait super plaisir.
08:30Et, pour la parité, j'avais déjà appelé une fois, et vous n'avez toujours pas la
08:37parité, Béarnes Pays Basque.
08:39Oui, je sais, c'est le problème.
08:41Donc là, on l'a grâce à vous, aujourd'hui, Eric.
08:43Bah, voilà, voilà.
08:44Donc, après, avec Olivier D'Artigol, que j'apprécie et que je respecte beaucoup, mais bon.
08:48Après, il est béarné, qu'est-ce que je vous dise ?
08:49Ah oui, mais il est souvent dans la sauce.
08:52C'est vrai.
08:54Et oui.
08:54Comment ça va, alors ?
08:56Eric, vous vouliez réagir sur Nicolas Sarkozy ?
08:58Oui, Nicolas Sarkozy, moi, je pense surtout une chose, c'est qu'il n'aurait surtout pas
09:01fallu lui mettre du tout le bracelet.
09:03Ah bon, on est d'accord, moi, je suis complètement d'accord avec vous là-dessus.
09:05Parce que là, quand on voit le fondement, c'est plutôt, je dirais, sans être trop fort,
09:10mais c'est scandaleux, il ne faut pas non plus exagérer.
09:13Surtout sur les accusations qu'il y a, tout le monde le sait, on en a parlé beaucoup
09:17sur les suspicions de financement.
09:19Il y a ma mère qui écrit, Nicolas Sarkozy, je l'aime trop.
09:22Voilà, donc je vous donne le message de ma mère, voilà, qu'on embrasse.
09:25Priorité au direct, exactement.
09:26Voilà, donc Eric...
09:27Après qu'on soit d'accord ou pas avec Nicolas Sarkozy, ça se respecte 60 ans,
09:33mais là, pour moi, c'est scandaleux.
09:36C'est un gars de droite, il fallait qu'il ramasse, et il l'a bien ramassé.
09:41Là, moi, je dis qu'il a bien morfé, et malheureusement, il y en aura d'autres, je ne sais pas.
09:46Bien sûr qu'il y en aura d'autres.
09:47Moi, j'ai adoré, en tout cas hier, François Bayron.
09:51Il était solide, hein ?
09:51Je trouve que c'est sa meilleure intervention, depuis qu'il est Premier ministre.
09:54Non, mais sans rigoler, je trouve que c'est incroyable.
09:55Il a démarré cette séquence...
09:56On va en parler après, s'il vous plaît.
09:58Quand j'aurai besoin de vous, je vous appellerai.
09:59D'accord, très bien.
10:00Pour l'instant, je suis avec Eric, du Pays Basque, donc merci.
10:03Je vous appellerai ultérieurement.
10:04Mais il a été, voilà, moi je le dis aux auditeurs d'Europe 1,
10:07je l'ai trouvé exceptionnel.
10:09D'audition.
10:09Et je l'ai trouvé formidable, dans les extraits que j'ai pu voir,
10:12j'ai eu un petit crush, un petit coup de cœur.
10:15Après, moi...
10:16J'ai vu Richard Gilles.
10:18Là, j'ai vu Richard Gilles.
10:19Donc, c'est George Man, oui.
10:21J'ai vu Richard Gilles, oui, dans American Gigolo.
10:24Alors, oui, oui, Eric.
10:26Ouais, juste une chose, moi ce que j'ai vu dans l'intervention de M. Bayrou,
10:29moi ce que j'ai vu surtout, c'est le livre La Meute.
10:31Bah bien sûr.
10:32C'était bien placé sur le bureau.
10:34Là, par contre, il y a un effet...
10:35Et puis il a répondu, il a été très fort.
10:37Quand il prend plusieurs fois en disant...
10:39En s'adressant à notre ami LFiste,
10:42en lui disant, vous, vous, vous...
10:43Là, il a marqué.
10:44Il a marqué.
10:45J'avais des doutes.
10:46Moi, je me suis dit, le pauvre, malheureusement,
10:49c'est Moscou, il va se faire déglinguer.
10:52Et non, je l'ai trouvé...
10:53Il a été vraiment très fort.
10:54Et Moscou, c'était mieux organisé à l'époque.
10:57Il y a un peu d'amateurisme.
10:58Il fallait qu'il parle le bernet, là.
11:00Merci.
11:01Merci.
11:02Eric, en tout cas, merci d'avoir été avec nous sur Europe 1, Eric.
11:05Et juste une dernière chose.
11:06Je voudrais dire que, pour moi,
11:09Gauthier Lebré, c'est un mec exceptionnel.
11:10J'adore...
11:11Je regarde tard le soir.
11:12Bon, ça me fait coucher tard, tant pis.
11:14Et je noterai juste une petite chose.
11:16Je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà dit.
11:18Petite ressemblance, Thierry Leluron.
11:20Oui, oui, oui.
11:22Il fait moins bien les imitations.
11:25Je peux vous ressembler.
11:26Vous pouvez nous faire une petite imitation ?
11:29Non, je peux vous faire...
11:30Je ne dispose plus des moyens nécessaires que...
11:37Vous avez 30 ans pour faire des imitations de personnes.
11:39Pourquoi Chirac ?
11:40Ah, vous l'avez reconnu ?
11:41Oui, d'accord.
11:42C'était pas plus moderne.
11:43Vous n'avez pas des contemporains ?
11:44Enfin, je ne sais pas, mais j'adore Chirac.
11:45J'ai une présence Sarkozy, mais vu qu'on a parlé de lui...
11:48Ça passe.
11:49Attention.
11:49Vous le faites aussi parfois, mais non, non.
11:51Cyril le fait très bien.
11:51Je peux mal le prendre.
11:52Oui, voilà.
11:53Il y a une gestuelle.
11:54Il y a une gestuelle.
11:55C'est tout un art.
11:57Non, sinon, j'ai qui ?
11:58Non, je n'en ai pas 36.
12:00Il est moins bon en imitation que Thierry Leluron.
12:02Oui, oui, c'était un...
12:03L'emmerdant, c'est la rose.
12:04Je pourrais le chanter, mais...
12:06Vous avez quel âge ?
12:07Non, non, c'est pas possible.
12:10Merci, Eric, d'avoir été avec nous sur l'Europe 1.
12:11Merci beaucoup.
12:12Merci, Eric.
12:12Merci, Eric.
12:13Merci, Rico.
12:14Merci, Ricounet.
12:16Merci, Rico.
12:17Allez, 01, 80, 20, 39, 21.
12:19Tiens, il y a une mère qui refuse de célébrer un mariage avec un sans-papier.
12:23Elle risque 5 ans de prison.
12:25C'est Marlène Mourier.
12:26Je ne comprends pas ça.
12:28On va en parler dans un instant.
12:29C'est comme Robert Ménard.
12:29Si vous êtes d'accord avec elle ou pas.
12:32Ou si vous n'êtes pas d'accord avec elle.
12:34Vous nous dites ça sur Europe 1.
12:3501, 80, 20, 39, 21.
12:37On parlera de...
12:38Petite seconde aussi de François Bayrou.
12:39On mettra un ou deux extraits, parce qu'il a été franchement très bon.
12:42On ne va pas se raconter d'histoire.
12:43On pourrait dire qu'il a été mauvais ou pas ?
12:45Bien sûr.
12:45Si on a trouvé qu'il a été mauvais.
12:46Bien sûr, mais vous êtes à côté de l'artigole.
12:47Vous risquerez de vous prendre une sauce béarnaise dans la gueule.
12:50A tout de suite sur Europe 1.

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