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🔵 MID MORNING SHOW Thème : Les services offerts par le Royal Green Hospital Pamela Patten reçoit Dr G. Ayassamy, spécialiste en médecine d'urgence et consultant, ce mercredi 14 mai 2025 à partir de 10 heures 📞Vos appels au 213 77 77 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 📲Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV

Catégorie

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Éducation
Transcription
00:00Merci de nous rejoindre en live. Alors, aujourd'hui, dans Top Santé, nous avons le plaisir de recevoir le Dr. Gobindana Yassami.
00:19Docteur, bonjour.
00:20Bonjour, madame.
00:21Alors, nous, un médecin spécialiste, surtout en médecine d'urgence, et aujourd'hui, nous travaillons comme médecin consultant à l'hôpital Royal Green Hospital, et justement, nous causons un petit peu plus l'urban service qu'est-ce que l'hôpital a offert au public.
00:40Mais avant tout, tiens-tu l'idée du parcours professionnel, où nous commençons donc, qui nous poussent vers la médecine?
00:49Bonjour tout le monde.
00:53Ça a démarré, comme tu as 18 ans, là, on est merveillé, avec la médecine, je vois, tu as autant de personnes que tu peux déjà faire l'arqué, ça a les temps-là, pour essayer une place d'en dispenser, pour aller.
01:07C'était 60 patients peut-être par jour, qui médecins n'ont pas été très vite.
01:12Alors, ça m'a poussé là.
01:13La première occasion, après, je fais une compétition en Inde, finalement, je vais recevoir un site médical, pas moi-même.
01:21Qui l'endra dans l'Inde?
01:22Dans l'Inde, finalement, au Kerala.
01:24OK.
01:24Je termine mon MBS là-bas, au Kerala.
01:27Je vais retourner à l'île Maurice, je vais joindre le public secteur, le gouvernement.
01:32Finalement, je fais une spécialisation dans la médecine d'urgence, c'est Bordeaux, et la Réunion.
01:37Alors, qui fait l'urgence, c'est?
01:40C'était la passion, au commencement même.
01:44Moi, j'ai démarré avec très peu de médecins en l'année, les années 80.
01:51Alors, parce qu'il y a beaucoup de médecins ces temps-là.
01:54Alors, je m'en rentre dans le gouvernement, envoyez-moi le front, si il y a l'occasion, je vais le dire.
01:57Finalement, je vais continuer comme ça.
02:02L'occasion pour faire les spécialisations en l'urgence, ça se vit devant moi.
02:08Alors, je vais continuer dans la même branche.
02:10Finalement, je vais terminer, et vraiment, c'est mon initiateur avec la France.
02:16Je vais démarrer le département de l'Inde, le département de l'Inde, Maurice.
02:20Je vais faire un training spécial à la Réunion.
02:22Finalement, je vais ouvrir ces départements-là.
02:25Là, après 25 ans de carrière dans le Sarmu, et en tout, 35 ans de carrière dans la médecine,
02:33mon quitte gouvernement pour joindre le privé avec un plaisir dans le Royal Green Hospital,
02:41qui s'est trouvé à Mokar.
02:43Oui.
02:43Alors, peut-être pour le public qui va tellement connaître l'hôpital-là,
02:48ou peut-être, j'ai un petit peu depuis combien de temps l'hôpital-là est ouvert.
02:51Ça fait environ 4 ans que le plan est là, mais c'est un hôpital multi-spécialité.
03:01Dès les derniers deux ans-là, là, il a démarré avec full-fledged,
03:05avec multi-spécialités comme les orthopédiques, chirurgiens, général, il y a beaucoup.
03:13Donc, il y a toute une panoplie de services qu'il faut faire au public.
03:19Exactement.
03:21En plus de ça, c'est qu'il y a certaines spécificités pour l'hôpital là-même.
03:27Par exemple, récemment, nous avons introduit, ça fait deux mois,
03:30que nous pouvons faire le département AVC, le stroke,
03:35qui est en place de la concession.
03:36Ça nous démarre ça avec, qu'est-ce qui est spécial de ça ?
03:40C'est qu'au niveau casualty, nous avons une chambre séparée
03:45avec le MRA et le CT scan tout près.
03:49Alors, nous prenons ça, ce patient-là, avec l'équipe d'eux,
03:52comme spécialiste urgentiste,
03:56ajouté avec ça, moi, le radiologue.
03:58Ensuite, mon amour, le neurologue, qui est attaché avec nous.
04:04Parce que ce patient qui souffre d'AVC, là,
04:08c'est bénévole-pranchant dans très peu de temps.
04:11Il a le golden hour, en général, le maximum d'environ 4 heures de temps.
04:15Alors, c'est pourquoi, c'est quelque chose de nouveau
04:16qui s'applique, qui est inintroduire.
04:19Oui. Alors, nous, nous sommes spécialistes en médecine d'urgence.
04:22Alors, comment ça passait, hein ?
04:25Je t'en ai, je t'en ai, propre service ambulance,
04:29je t'en ai un hotline, vous connaissez, c'est 189,
04:32voilà, nous trouvons l'ambulance là.
04:34Alors, peut-être qu'il est bon qu'il nous retenirait ce numéro-là,
04:38parce qu'il nous connaît parfois quand il y a une urgence,
04:41nous redonne un numéro, comment on peut dire, SAMU.
04:44Maintenant, il y a un nouveau numéro, c'est 189,
04:47là, là, qui est arrivé, hein ?
04:49Oui, comment on trouve, le service de SAMU,
04:51c'est vraiment une spécialité par lui-même
04:53qui, en privé, il n'y a pas.
04:58Pour donner un traitement, comme le SAMU,
05:00c'est difficile d'avoir dans le privé.
05:02Et c'est la première fois,
05:03et c'est le Royal Green seulement qui me connaît,
05:06qui emploie un spécialiste pour prendre mon patient,
05:09pour faire mon transfert de mon patient,
05:10qui est de la ventilation artificielle,
05:13pour prendre chance de mon patient.
05:14L'avantage du Royal Green,
05:16c'est que c'est un patient qui est vraiment grave,
05:19que ce soit à la maison, ou sur une chute,
05:22sur le chantier ou un accident, sur le chemin.
05:26Les prend-les, nous emmèner au niveau de casualité d'urgence,
05:29ils stabilisent nos patients,
05:32après, nous déléguer avec des spécialités spécifiques.
05:35Alors, c'est vraiment différent.
05:37En plus de ça, nous avons nos propres ICU,
05:39avec cinq à six lits,
05:41ça, c'est le ICU.
05:43Alors, vraiment, nos patients prennent chose,
05:45pas comme les autres.
05:46Oui. Alors, où, en tant qu'U urgentiste, justement,
05:50est-ce qu'il sait où qu'il assure ça,
05:52ou bien ça transfère là,
05:53ou bien il y a les autres confrères, consoeurs qui font?
05:56Si le cas est grave, vraiment grave,
05:59très souvent, moi-même, moi-même.
06:01Sinon, il y a une formation continuelle,
06:04une formation continuelle,
06:05avec une dizaine de généralistes qui nous ont là.
06:09Alors, avec cette formation-là,
06:12ça donne la capacité pour atteindre ma patiente en dehors,
06:17et au niveau casualité, c'est continuellement moi avec ça.
06:20Alors, encore toujours pareil,
06:21moi, comme médecin consultant au niveau Royal Green,
06:25c'est ce qui me provide là-bas,
06:26c'est un upgrade,
06:28tout le monde est un AMO,
06:30généraliste, pour le garder,
06:31c'est un niveau.
06:32Et en même temps,
06:34comme on le fait dans Royal Green,
06:36il y a une trentaine d'objets inpatient qui sont à rentrer.
06:41Alors, la routine, tous les matins,
06:45c'est vérifier un coup de situe,
06:47un patient peut gagner le traitement
06:48que les spécialistes ont déjà proposés,
06:50et si tout va bien.
06:52Et finalement, même,
06:54ça accorde du côté,
06:56le bien-être du patient, le confort,
06:58et l'administration connaît que ça peut dérouler,
07:01c'est satisfait au nom.
07:02Oui, alors,
07:03ou donc, spécialiste en médecine d'urgence,
07:07et puis,
07:08on dit,
07:09ou médecin consultant,
07:11ou à malgré tous les deux postes,
07:14ou donne sa service là,
07:16dans l'hôpital là.
07:17Alors, pour revenir un petit peu,
07:18si un patient téléphone,
07:20cette hotline,
07:22disons,
07:23on nous prend l'exemple,
07:23ou même personnellement,
07:25ou à l'île,
07:25comment ça déroule,
07:26jusqu'à ce qu'il est venu à l'hôpital,
07:27le patient là?
07:28Oui,
07:28comment nous gagne,
07:29le chasson 189,
07:30l'alarme est là,
07:33le chauffeur,
07:34le staff,
07:35qui compris,
07:36en tout cas,
07:36les personnes,
07:37nous démarrer,
07:38nous aller,
07:38nous faire place,
07:40c'est là qu'on,
07:40après,
07:41nous examinerons nos patients,
07:42nous analyserons la gravité,
07:46nous initierons nos traitements,
07:48avec la base,
07:49l'investigation de base,
07:51après ça,
07:52nous initierons nos traitements,
07:53nous stabilisons,
07:54comment on stabilise nos patients,
07:55nous emmènerons vers le Royal Green,
07:57et là,
07:58une fois arrivés,
07:59aux urgences,
08:01nous complétons nos investigations,
08:03nous révois nos traitements,
08:06ensuite,
08:08nous voyons,
08:08nous avons certaines spécialités,
08:09qui sont là.
08:10Est-ce qu'il peut faire,
08:11vous êtes un patient,
08:11qui habite loin de l'hôpital?
08:13Ah oui,
08:15nous avons des patients,
08:16nous couvrions en cellule,
08:17en fait,
08:18présentement,
08:19nous prenons nos patients,
08:20depuis,
08:20dans le scaflaque,
08:21nous prenons nos patients,
08:22pourtant,
08:22patients déjà dans les autres institutions,
08:26les autres cliniques,
08:27où peut-être,
08:28il n'y a pas de facilité,
08:30ou bien le patient préfère le Royal Green,
08:32alors c'est là que nous prenons nos patients,
08:34nous stabilisent les,
08:35et nous transfèrent les.
08:36Oui,
08:36et là,
08:37nous,
08:37il y a une cas grave,
08:40l'ivisaint grave,
08:41vous êtes là,
08:41il appelle l'ambulance,
08:43ce soin-là,
08:44qui ont commencé,
08:45depuis la case,
08:46tout au long de la route,
08:47jusqu'à l'arrivée aux urgences.
08:49Exactement.
08:51Pour nous,
08:52c'est arriver sur place
08:53qui est plus important.
08:54Arriver sur place,
08:55nous faire nos diagnoses,
08:57nous unicher nos bons traitements,
08:58et même avant de démarrer avec le patient,
09:01il faut être sûr
09:02que le patient est suffisamment stable
09:04pour démarrer.
09:06Naturellement,
09:07très rare,
09:08on a les autres conditions
09:09que nous devons accélérer
09:10pour retourner,
09:11pour compléter le traitement.
09:13pas sans peine,
09:14maman,
09:14que vous gagnez,
09:15mama,
09:15pas sans peine,
09:16ça,
09:16il faut accélérer.
09:18Ou bien,
09:18c'est une crise cardiaque,
09:20nous initier nos traitements,
09:21on boulise là-bas,
09:22après nous emmèner au niveau de l'hôpital.
09:24Oui,
09:25parce que là,
09:25les temps,
09:26le temps s'est joué.
09:27Oui,
09:27et là,
09:28je me tiens à contrer,
09:28justement,
09:29je profite de l'occasion,
09:30parce que,
09:30moi pensais,
09:31tous les jours,
09:33les automobilistes,
09:35moi pensais maintenant,
09:36les vieux dans nos meurs,
09:37dans nos cultures,
09:38comment nous trouvons,
09:39nous t'enons une sirène,
09:40une ambulance,
09:41où tout le transport,
09:43bordé,
09:44laisse l'ambulance passer.
09:47Parce que,
09:47il est très important,
09:48c'est la vie en dimanche,
09:49qui est en danger là.
09:50Oui,
09:51c'est qui est bon,
09:52avec l'évolution,
09:53qui est mon witness,
09:55pendant ces derniers 25 ans-là,
09:57qui m'occupe de dire,
09:59c'est un grand progrès.
10:02L'automobiliste,
10:03en général,
10:04tout avancé,
10:05se donne la place,
10:07avec l'ambulance traversée.
10:09Alors ça,
10:10je dois dire un grand merci.
10:13Oui,
10:14alors,
10:14nous m'écrivons différents services,
10:16alors,
10:16nous connaissons,
10:17il y a beaucoup de,
10:18non seulement,
10:19d'institutions publiques,
10:20mais aussi privées,
10:21de plus en plus,
10:22d'un clinique.
10:23Alors,
10:23au Royal Green Hospital,
10:25qui m'est capable de dire,
10:27un développement qui est spécialisé.
10:30Ah oui,
10:31ce qui est spécial,
10:32surtout le Royal Green,
10:34l'hôpital même,
10:35c'est un grand asset,
10:37avec ce 26,
10:38la chambre,
10:39hôtellerie,
10:39je dois dire.
10:41C'est un grand restaurant,
10:42oui,
10:42je sais.
10:43Avec le grand restaurant,
10:45vraiment,
10:46c'est,
10:46c'est,
10:47c'est,
10:48c'est,
10:48c'est pas comparable.
10:49L'administration,
10:52encore pareil,
10:54je suis vraiment fier,
10:56dans le sens que,
10:57là-bas,
10:58on joue avec la qualité,
10:59c'est pas la quantité.
11:01Même si le temps,
11:02on va,
11:02qu'on parle de 80%,
11:04à peu près,
11:04le temps,
11:04le remplissage,
11:07pour moi,
11:07c'est,
11:07on fait ses 100%,
11:08parce que,
11:09quand on retire le 20%,
11:10c'est,
11:11on fait la chambre,
11:12et ne t'en,
11:12je peux garder la chambre,
11:15ou bien,
11:15je peux stériliser la chambre,
11:16pour recevoir la prochaine patient,
11:18le lendemain.
11:20Alors,
11:20qu'est-ce qui est spécial,
11:21encore,
11:21de ces choses-là?
11:22À part de ces multiples spécialités,
11:25le département,
11:25au TPD,
11:26qui est très avancé,
11:27comparé avec,
11:28les autres places,
11:29par exemple,
11:30nous fait,
11:31une orthoplastie,
11:32du côté,
11:33l'épaule.
11:34C'est-à-dire,
11:35l'autre,
11:36nous,
11:37pour remplacer,
11:38pour mettre une prothèse dedans,
11:41une prothèse là,
11:41elle est spécifique,
11:42elle est vraiment,
11:44personnalisée pour la personne.
11:46Ce qu'il nous fait,
11:47au niveau Royal Green,
11:49nous prend le CT scan,
11:51du patient,
11:52nous envoie ça dans la maison mère,
11:53pour faire les prothèses,
11:55spécifiques pour les patients,
11:56en trois dimensions,
11:57qui veulent faire ça.
11:58Qui payent,
11:59ils t'envoient ça?
12:00D'habitude,
12:00c'est l'Allemagne.
12:01Ok.
12:02Alors,
12:03je t'envoie,
12:03nous,
12:03c'est spécifiquement pour ces patients-là,
12:05alors ça aide-nous pour remplacer,
12:07quelque chose,
12:07nous n'avons pas besoin de servir,
12:09la force pour mettre ma prothèse là,
12:10en cas de dire,
12:11c'est spécifique,
12:12ils rendent si bien,
12:13directement avec le patient.
12:14Alors,
12:15c'est moins douloureux,
12:16le patient récupère beaucoup plus vite.
12:19Et,
12:20à part de ça,
12:20par exemple,
12:21le genou,
12:21c'est qu'on nous demande des autres traitements,
12:24par exemple,
12:24le bandigamant croisé,
12:25qui nous fait réparation.
12:28Ajouté à cela,
12:30nous fait une opération sur les colonnes vertébrales,
12:33pour stabiliser,
12:34en cas de trauma,
12:35qui est dans la fracture,
12:37alors on fait ça.
12:37sur le régime général,
12:41qui nous fait aussi,
12:42au niveau royal green,
12:43nous commençons par les scopies,
12:45que nous disions,
12:45les gastroscopies,
12:47colonoscopies,
12:48ça aide-nous beaucoup,
12:49on parle de ça,
12:50et nous terminais par,
12:51tout le monde,
12:52les autres traitements,
12:53le traitement vasculaire,
12:56sur le régime vasculaire,
12:57qui est très populaire chez nous.
12:59Récemment,
13:01nous faisons beaucoup de plastique-surgerie,
13:06c'est vraiment,
13:07je résume ma mère,
13:08pour corriger ces choses-là,
13:11alors vraiment,
13:12ajouté à cela,
13:14le barriètre,
13:15pour considérer,
13:16pour bonnes personnes obèses,
13:18qui décident pour perdre du bois.
13:21Quelque chose de très bien,
13:22au royal green,
13:23c'est que le post-opératoire,
13:25le post-opératoire,
13:26c'est suivi avec la physiothérapie,
13:28ici,
13:29nous sommes dans l'hydrothérapie aussi.
13:31C'est-à-dire ?
13:32Nous sommes dans une grande piscine,
13:34nous sommes dans une grande piscine,
13:36le physiothérapie aide le patient,
13:39vous disiez ça dans le mot,
13:40physiothérapie,
13:41en fait,
13:42il y a plusieurs,
13:43il y a d'autres thérapies dedans,
13:46pour faire le patient,
13:48mobiliser le patient,
13:50mettre le patient,
13:51faire les habituer,
13:53pour les rendre dans ce travail,
13:54très vite,
13:56alors,
13:56c'est avec le suivi,
13:57ce que vous voulez dire au royal green,
13:59on fait le suivi vraiment,
14:00très proche,
14:01avec le patient.
14:02Le prothèse,
14:03d'autres prothèses,
14:04par exemple,
14:04on a une personne,
14:05qui est 24 pour royal green,
14:08lui,
14:08tous les jours,
14:09il met tout seul,
14:10du côté prothèse.
14:12Est-ce qu'il y a une grande demande,
14:14justement,
14:15pour le prothèse ?
14:16Oui,
14:16exactement,
14:17c'est toutes les semaines,
14:18toutes les semaines,
14:19il y a,
14:20la personne concernée,
14:23est toujours occupée,
14:23tous les jours,
14:24il est là.
14:25Alors,
14:25prothèse,
14:26ou mentionnée,
14:27épaules,
14:27genoux,
14:29c'est une prothèse,
14:31justement,
14:31qui demande,
14:34un remplacement,
14:36fréquent.
14:37Oui,
14:39c'est à cause de ça,
14:40qu'on appelle,
14:41les arthroses,
14:43les arthroses,
14:44par exemple,
14:45la hanche,
14:46du côté de la hanche,
14:47après,
14:48la population,
14:49vieillissant,
14:50nous gagne beaucoup de chutes,
14:52l'âge,
14:53chutes pathologiques,
14:56finalement,
14:56besoin de mettre,
14:56une prothèse,
14:58ça,
15:00c'est devenu très populaire.
15:02Une patiente arrive,
15:03même jusqu'à 4 et 20 ans,
15:04on est toujours,
15:05il a une prothèse,
15:06alors c'est vraiment bien.
15:07C'est très bien,
15:09un médeux de prothèse,
15:11le patient récit,
15:12il commence à mobiliser
15:12dans pas même une semaine.
15:14Ça sentient de différence.
15:15Oui,
15:16mille différences.
15:17Auparavant,
15:17c'était après un mois
15:18que le patient commence à bouger
15:20avec toutes les complications
15:21du médeux qui commençaient.
15:23Aujourd'hui,
15:24avec le clinic Royal Green,
15:26dans pas même 5 jours,
15:27le patient commence à mobiliser,
15:29s'asseoir,
15:29commence à marcher,
15:31et puis après une semaine,
15:32à la maison.
15:34Alors,
15:34le docteur nous fait une pause,
15:35le cas a déjà commencé
15:36à téléphoner le 213,
15:3777 77.
15:43Dope FM,
15:44Mid-Morning Show.
15:45Mister Brake,
15:53Mister Brake,
15:54si vous voyez Mister Brake
15:55quelque part sur une route,
15:57de la suite.
15:58Sous-titrage Société Radio-Canada
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18:02ou personnellement, en tant qu'il y a un gentil, ce mot-pensé, ou toujours, on call, comme si n'importe quelle heure, qu'il n'y a pas besoin. Oui, docteur?
18:13Ah oui. Au niveau Royal Green, c'est là, je suis le seul spécialiste vraiment qui est attaché avec l'hôpital.
18:21Alors, même si c'est 24-7 qu'il y a là-bas, naturellement, avec la formation qu'il nous fait avec nos médecins généraux, on a donné de grands supports.
18:33N'importe quel moment je n'ai besoin, moi je suis le seul. Et ce qui est très intéressant, durant toute la journée, durant la journée, pour un évêque du matin jusqu'à 4h,
18:40il y a beaucoup de médecins qui travaillent au secteur public, qui viennent après l'heure, ou le matin se viennent, mais durant la journée, au moins, il y a une couverture des spécialistes
18:50qui me prennent compte, tous les patients qui sont là-bas.
18:52Oui. Alors, où, justement, dans ce domaine-là, on travaille dans le public, maintenant dans le privé, est-ce qu'il y a un cas quand même qui ne manque?
19:05Ah oui. Il y a beaucoup.
19:08Il y en a une qui revient en mémoire.
19:10C'est toujours la surprise. Quand on a réussi à la place, nous sommes des patients inconscients, aux patients, les liens confuses.
19:17Ou à réussir à la place où on ne sait jamais ce qui nous attend.
19:22Mais toujours, ce qu'ils nous appellent ABC, les traitements respiratoires, le cardiaque, le saignement, on prend ça en choses très vite.
19:32Il y a des patients, quand on arrive là-bas, ils sont déjà dans le choc, la vitesse qu'ils nous ont besoin de traiter.
19:37En ce moment, par exemple, très souvent, dans le Royal Green, dans un mois, il y a à peu près trois septiques chocs, c'est-à-dire avec les septicémies.
19:45Qu'est-ce qui se passe, c'est que mon patient, en ce moment, recevaut un certain traitement à cause de l'immunité réduite.
19:55Mon patient qui est déjà cancéreux, le diabétique, par exemple, ou bien un rématiste qui prend un médicament ou qui baisse l'immunité.
20:04Cette fois-ci, il se développe des complications où le microbe rentre dedans, à travers soit la peau ou à travers les autres places des rentrées.
20:15Cette fois-ci, le patient a développé un septicémie.
20:18Quand on arrive sur place, la pression intérieure est complètement collapse.
20:21Alors, comment prendre en charge ce patient-là ?
20:24C'est vraiment, il nous a besoin d'une très haute donnée classique, systématique.
20:30Ce qu'il nous a besoin continuellement à contrôler, en même temps, à traitement, à investigation, le traitement, tout continue en même temps.
20:37Alors, c'est ça des choses qui sont intéressantes à Royal Green, c'est qu'ils nous prennent en charge ces patients-là.
20:44Heureusement, jusqu'aujourd'hui, tout patient sortit.
20:49Tout patient sceptique choque une sortie.
20:51Alors, ça, c'est une bonne chose.
20:53Même qui, dans les statistiques, nous disent que 60% vont décéder.
20:59C'est beaucoup.
21:00Et, personnellement, parfois, il n'est pas facile, les membres de la famille même, si jamais, il y a un problème,
21:09vous n'êtes pas satisfait avec ce soin-là, ils ne sont déjà arrivés.
21:16Ils sont dans l'angoisse.
21:17Quand la famille vient, c'est l'angoisse.
21:21C'est la façon dont le médecin approche la famille.
21:24Mais ils sont au courant, pas dans le noir, comme on dit.
21:28Ils sont continuellement.
21:29Ils connaissent ce qui peut dérouler.
21:31Ils connaissent la maladie qui vient de rentrer.
21:35Le traitement, ce n'est pas 100%.
21:37Tout patient ne correspond pas pareil avec le traitement.
21:41Alors, ce n'est pas si facile.
21:43Alors, tout le monde est encouragé.
21:46À qui, investigation pour faire, à qui, médicaments, c'est le souhait.
21:50C'est là, beaucoup dépendent aussi.
21:52Chaque individu, chaque patient, c'est différent.
21:55Oui.
21:55Maintenant, au niveau laboratoire, l'appareil, c'est absolument tout dans l'hôpital.
22:00Oui.
22:01Nous avons la biochimie, la hématologie, le département.
22:05Nous faisons le cross-matching, la transfusion sanguin.
22:09Le matin, nous rentrons, nous faisons la prise de sang.
22:13L'après-midi, définitivement, nous voyons tous nos bons résultats.
22:16De l'autre côté, du côté imagerie, c'est-à-dire le MRI, nous sommes là.
22:23Le MRI est vraiment perfectionné.
22:25Nous faisons le CT scan routine.
22:27Nous faisons le radio extrait.
22:29Nous ajoutons à cela, je vous dis, le ultrasound, une vie commune, c'est routine.
22:37Toute la journée, on fait le ultrasound.
22:39Échographie, alors...
22:41Alors, le ultrasound, en quelques mots, c'est quoi ?
22:44Le ultrasound, c'est-à-dire, par exemple, l'abdomen, que ce soit le poumon, qu'on a...
22:48Nous prenons le ultrasound.
22:49Nous avons un tissu en dents.
22:51Nous avons aussi, par exemple, le cancer.
22:54Nous avons une grosseur en dents, une trauma, une certaine organe qui est blessée, la vessie.
23:04Pour la vessie, nous avons un truc, même, nous produisons le prostate.
23:07Nous avons des pierres qui nous produisent en dents.
23:11Alors, tout ça avec ce que l'ultrason nous va faire.
23:15Oui, alors, le prostate, nous venons, nous faisons beaucoup d'émissions dessus.
23:18C'est un gros problème de nos jours.
23:21Exactement.
23:21Alors, nous nous faisons, justement, différents départements.
23:29Nous connaissons une âne sans trauma, stroke unit, derrière moi, ophtalmologie.
23:34Et peut-être là, en quelques mots, est-ce qu'il y a des ténins, par exemple,
23:40des services de chimio, de radiothérapie ?
23:44En ce moment, nous faisons beaucoup de moins de patients.
23:47Pour un traitement du cancer, par exemple, nous avons une bonne chirurgie qui occupe du côté chirurgie, du côté cancer.
23:57Après ça, nous faisons un suivi de chimio.
24:01Nous avons un département.
24:03À l'hôpital même ?
24:03À l'hôpital Royal Green.
24:05Un département à côté, suivi par des spécialistes.
24:09Tous nos patients sont venus le matin, ou peut-être toute la journée.
24:13Ils sont venus, ils restent là, ils font un chimio.
24:16Il y en a qui prend une chambre pour faire un chimio.
24:19Alors, jusqu'à maintenant, ça va.
24:23Est-ce que vous avez une département maternité ?
24:25Maternité, on n'a pas commencé.
24:27Mais ce sera peut-être pour bien-être.
24:29Dans l'épongée à venir.
24:31Mais par contre, la gynécologie, du côté chirurgie, pour ma madame, que ce soit hystérectomie,
24:36pour que c'est l'arcas bébé, ou faire les traitements gynécologues, c'est déjà là.
24:43Oui.
24:43Alors, vous, en tant qu'U agentiste, qui va, comme si vous recevez un appel, le 1-8-9,
24:50qui va un cas que vous pouvez trouver, comme si récurrent, les petits communs de nos jours ?
24:55Oui, on commence par l'AVC, c'est-à-dire qui peut gagner concession.
24:59Après, l'infection pulmonaire, très récemment, nous gagne beaucoup.
25:04Après, les gens qui dans le choc, les sepsisémies.
25:09Et, les chutes à la maison.
25:11Malheureusement, surtout, nous, les grands-dibounes, nous faisons beaucoup de chutes.
25:16Surtout, nous, les grands-dibounes.
25:17Oui.
25:17Qu'est-ce que c'est ça ?
25:18Oui, nous prenons un premier appel.
25:21Allo ?
25:21Allo ?
25:22Oui, bonjour.
25:23Bonjour, madame Pamela.
25:26Bonjour, Manoj.
25:27Oui, bonjour, docteur.
25:28Bonjour.
25:29Bon, plaisir à écouter.
25:31Bon, docteur, moi, moi, j'ai une question.
25:34Moi, j'ai une famille, mais j'ai un docteur privé.
25:39Et plus, j'ai fait traitement, et les autres docteurs aussi, plus j'ai fait traitement,
25:43là, j'ai fatigué, moi, quand j'ai pas le faire, j'ai pas à l'hôpital.
25:47Mais, en tant que moi, j'ai écouté, j'ai dit où est-ce que j'ai un problème,
25:51qu'il y a un problème, mais j'ai un médicament, il y a un fait bon test,
25:54mais le problème-là, il y a un ré-retourné.
25:57Ça veut dire qu'il y a un problème, il y a un 10% de chien dans ce passage.
26:06Non, attends, il y a une urine du sang, c'est ça?
26:33Oui, oui, oui, oui, oui, oui.
26:35Oui.
26:37C'est, c'est tout après qu'il y a une investigation, une faire,
26:42une initiale de traitement.
26:44Moi, pensez définitivement, reste à revoir.
26:48Nous, parce que nous avons des affaires assez graves,
26:49parce qu'il y en a seulement deux l'urin,
26:51deux l'urin, et est-ce qu'au hasard, il peut y avoir quelque chose?
26:55C'est difficile pour moi de prononcer attention,
26:58moi, faire paniquer.
26:59Mais du moment qu'il y a le sang qui peut sortir,
27:03besoin de faire bonnes investigations,
27:05complètes investigations,
27:07et le traitement, on ne sait pas combien de temps ça va durer.
27:11Donc, les besoins,
27:13maintenant, ils sont encore là, non?
27:15Les besoins, comme ça, retournent?
27:18Retourner, et faire complète investigation,
27:22et le traitement, peut-être, ce sera long.
27:24D'accord.
27:26Alors, nous, nous avons différents, justement,
27:30problèmes médicaux qui, de nos jours,
27:33se peuvent faire face.
27:35Alors, d'après vous, bientôt, le 17,
27:37nous peut célébrer, nous peut observer,
27:40plutôt, la journée mondiale de l'hypertension.
27:42Ça, c'est un autre facteur.
27:43Nous connaissons, le diabète aussi peut faire dégâts.
27:46L'hypertension aussi, il y en a beaucoup,
27:48parce que nous, nous connaissons,
27:50à l'hôpital Royal Green,
27:51d'ailleurs, là, des fois, nous, tu causes ça,
27:55un département spécial, hein,
27:56qu'ils ont ouvert,
27:58on s'appelle ça Stroke Unit.
28:01Alors, l'hypertension, c'est un gros facteur de risque, docteur.
28:05Oui, ce qui m'obligeait l'hypertension,
28:08c'est un peu malheureux,
28:10pour ce que vous m'ont trouvé.
28:14Nous banalise l'intipé trop.
28:17Vous m'ont trouvé le gouvernement,
28:19essayez de faire, le public comprend
28:21les complications de l'hypertension,
28:25mais malheureusement,
28:27il n'y paraît si le message n'arrive pas bien
28:29avec le public,
28:31que l'hypertension, le diabète,
28:34la maladie cardiaque,
28:35l'hypercholestérol,
28:37alors, tout ça,
28:39qui nous donne une maladie de métabolisme,
28:42l'hypertension,
28:44il n'y paraît si qu'on prend les conséquences
28:49quand la pression antérielle monte plus qu'il y a besoin,
28:52ce qu'il doit faire.
28:53Alors, l'idéal, c'est quoi ?
28:55Il y a besoin d'un médecin,
28:57quelque part, il y a besoin d'un médecin
28:58qui fait le lecture avec la personne
29:01et fait la suivi.
29:03Le message, je ne sais pas,
29:05nous, médecins, comme médecin,
29:06nous, pas récit,
29:07même que nous, pas ce message,
29:09nous, pas vérifier,
29:09ce n'est pas le message
29:10que nous recevons par le public.
29:13Pour moi, c'est très important.
29:15Faire le public,
29:16recevoir bien le message,
29:18comprendre les conséquences,
29:20parce que le traitement est là.
29:21Alors, qui fait, nous,
29:23nous, on rétort finalement
29:25quand la complication est arrivée,
29:26nous, on va nous faire.
29:28Je comprends ça avec les pays européens.
29:31Je prends la France, par exemple.
29:34Très rare, je suis un patient
29:35qui a une tension qui traverse
29:37à 240.
29:38C'est incroyable.
29:39Une touriste amouriste,
29:40tension 120.
29:42Pourtant, la personne est 60, 70 ans.
29:44Mais amouriste, même 40 ans,
29:46déjà, le patient-là,
29:48il avait une tension 140.
29:49Il a toujours pensé 140,
29:51c'est normal.
29:51Oui, ça veut dire 14,
29:53quelque chose.
29:54Exactement.
29:54Donc, il n'est pas bon.
29:55Alors, ce n'est pas bon.
29:57Ils ont besoin définitivement
29:58de suivre les conseils
29:59de médecins.
30:00Si ça n'a pas suffi,
30:02essayez de poursuivre encore.
30:04Rodez vraiment
30:05quel est le traitement.
30:07Chaque personne est différente
30:08à cause de la comorbidité
30:10qui est avec ça.
30:11Alors, nous faisons une pause
30:11après nous arriverons
30:12à la dernière partie
30:13de l'émission.
30:13Top FM,
30:20mid-morning show.
34:55Du côté oncologie, d'habitude, s'il y a une tumeur qui nous sortit depuis là-bas,
35:06dans les testicules, avant les sorties, les fanes, elles vraiment prennent beaucoup de
35:10temps.
35:11Alors, pour moi, c'est beaucoup de temps qu'il y a là-bas.
35:14Maintenant, quand c'est un disséminé, qui nous dit la métastase, le traitement change
35:20maintenant.
35:21Mais, quand on peut dire opérer, du côté oncologie, surréagir, on a pour opérer le
35:30gros, le testicule, ça se peut enlever, mais les autres traitements, qui nous appellent
35:38chimio, définitivement, on a pour faire un traitement chimio.
35:41Ce n'est pas le traitement pour vous, quand c'est une métastase, là, c'est grave encore,
35:47beaucoup plus grave.
35:48Ce qui est arrivé, alors, vous prenez une partie de surréagir, après le chimio, ce qui
35:55est là pour faire dans l'Inde.
35:56Et, la suivie de chimio, vous pouvez rester là-bas, dans la ville de Maurice, vous pouvez continuer
36:02le traitement.
36:03Mais, l'opération n'est pas faite à Maurice?
36:05Non, je suis faite, je suis faite, mais pour le médecin, je n'ai pas pu faire l'Inde
36:11en Maurice, il y a besoin d'une certaine raison.
36:12Est-ce que le métastase, c'est-à-dire disséminer, c'est à l'extrême, trop beaucoup, qu'ils
36:17ont trouvé.
36:18Moi, je n'ai pas connu l'âge, vraiment.
36:20C'est un métastase qui vous paraît, d'après vous l'avoir, pratiquement jeune, où nous
36:23nous sommes dans l'île de l'âge, vous n'avez pas de 34 ans.
36:25Oui, très jeune.
36:26Donc, 34 ans, je me conseille, je suis encore trop jeune pour m'abandonner.
36:35Mais il y a le vendredi, justement, il y a l'Inde.
36:37Oui, va de l'avant, définitivement, il y a une bonne réponse, vous trouvez, parce que
36:42il y a certaines qualités d'investigation qu'il y a de faire du côté oncologie, que
36:47je pense à l'île Maurice, ce n'est pas complète.
36:51Là-bas, il est beaucoup plus spécifique et il y a de essayer de faire le maximum pour
36:56vous.
36:57Et depuis combien de temps vous souffrez à Saviney?
37:00Il prend deux mois pour tuer la grossesse.
37:03Il fait mal des douleurs dans mes pieds, dans les reins, dans les deux.
37:07Donc, combien est l'année de cela?
37:08Non, deux mois qu'il est initialement.
37:12Ah, là, là, là, il y a deux mois seulement.
37:13Ah, ok.
37:15En tout cas, Vinay, merci beaucoup pour votre appel.
37:17Tout ce que nous souhaitons, c'est que, justement, où ces jours bien passés et où
37:22retournés, bien surtout, parce que, ben là, comment le docteur Pédiahou, je me
37:29pense, je vais t'avancer, je vais te connaître, qui peut arriver, qui peut faire, et
37:33qui, tout, ok, docteur.
37:35Oui, il y a un patient qui est dans le même âge que le Pédiahou.
37:38C'est une haleine, c'est une faise de traitement.
37:43Et mon cas, j'ai dit, mais maintenant, une métastase au niveau du poumon, aujourd'hui,
37:49mon jeune homme a pris même des ans, c'est toujours là.
37:52Alors, vous venez, pas décroiser, on va de l'avant ou pour réussir.
37:56Oui, et un suivi, ben, si jamais, hein, besoin de faire, je sais mieux tout ça, amoureux,
38:02si vous voulez, continue ce, ben.
38:04Oui, et si vous pouvez venir dans les privés, vous n'êtes pas ravis pour recevoir, oui.
38:09Vous pouvez venir, en tout cas, en tout cas, bon courage, d'accord?
38:12Ah, allez, merci beaucoup.
38:15Alors, oui, Bandou, elle ne t'appelle, bonjour.
38:21Allô?
38:22Allô, bonjour.
38:23Oui?
38:24Bonjour.
38:25Oui?
38:26Vous pouvez demander un renseignement.
38:29Oui.
38:30Pour ce, ça, la TV, je vais faire plastique.
38:36Pour plastique, je vais passer à l'appareil, ça.
38:38Est-ce qu'il est connu?
38:41C'est le numéro?
38:42Le traitement plastique, surgerie, surgerie, plastique.
38:46C'est ça que vous pouvez demander?
38:48Non, non, non, un renseignement pour plastique, pas une bouteille de plastique, ça.
38:51Ah, non, non, non, ça m'a pensé dans l'émission correcte, pas correcte, pas pour la santé, pas pour la santé, vous pouvez demander là.
39:00Non, allez, il est trop, l'émission, oui, pas grave.
39:06Oui, alors, docteur, avant la fin de l'émission, peut-être nous rappeler un petit peu, il y a un certain cas, de nos jours, toujours,
39:17un patient de bise à l'étranger, surtout en Inde.
39:21Mais aujourd'hui, la différence, pour dire vrai, la différence, c'est un jeune médecin, un médecin spécialiste de 40 ans,
39:33lui, il a beaucoup plus d'expérience qu'il est dans l'Inde, et l'Inde, numéro un, il est compétitif.
39:38Il a un travail, il a une clinique pour le travail, ce n'est pas donné permanent.
39:43Alors, il a besoin de garder le standard.
39:46Finalement, c'est une raison que vous trouvez dans beaucoup de pays d'Europe, que ce soit américain,
39:51beaucoup de l'Inde et l'Inde qui perdent dans ce bon pays-là, c'est la cause, la compétition.
39:55Alors, pour garder le standard, et la quantité de chirurgie qu'il fait, que ce soit fait, c'est vraiment beaucoup.
40:03Quelqu'un de 40 ans, peut-être, je vais dire, un chocassier sur le cardiaque, peut-être une traversée, 2000.
40:11C'est incroyable, il a beaucoup d'expérience.
40:15Alors, ce qui est arrivé, ce n'est pas nos médecins, Maurice ne connaît pas, nos médecins, Maurice aussi compétent.
40:21Mais quand il arrive, combien de cas il faut faire, c'est définitivement.
40:27C'est une bonne raison qu'il fait, beaucoup de Mouroussiens préfèrent aller, aller, être un médecin,
40:31c'est parce qu'il connaît très bien le médecin, montrer combien de cas il faut faire, et c'est ça que ça se fait.
40:36C'est la cause de ça.
40:38Et au niveau personnel, Royal Green Hospital, mon confrère, consoeur, c'est-à-dire nombreux?
40:44Ah oui, ça c'est là.
40:47Et la bonne jeune?
40:49Oui, du côté bonne jeune, médecin.
40:53Vraiment, c'est nombreux, c'est bien, madame.
40:55Du côté Royal Green, maintenant, je peux dire quelque chose, madame, c'est l'attention.
41:01Je peux perfectionner, je trouve, du côté orthopédique, les prothèses qui, avant,
41:06même, je veux dire, sincèrement, avant mon jeune Royal Green,
41:10je pensais qu'il y a seulement, je peux faire appel à l'étranger, en Inde, je peux very successful.
41:17Mais Royal Green, peut-être la cause, ce sont des prothèses personnalisées,
41:22mon Royal Green, maintenant, deux mois qui m'ont déjà là-bas,
41:26mon panne, une complète, du côté quelqu'un qui a une prothèse,
41:30tout mon patient mobilise, c'est bien, et mon, vraiment,
41:34j'ai appris qu'il remercie moi de l'étranger, je peux aller, vraiment, c'est bien.
41:37Mon président est équivalent, mon médecin vraiment compétent,
41:42alors, c'est mon président équivalent,
41:43au lieu de passer en pépicine, déranger à l'air de pousser une prothèse comme ça,
41:47que ce soit la hanche ou les genoux, définitivement.
41:51Je suis entoureux avec nos parents, en Lille-Maurice,
41:54je suis venu là-bas, définitivement, je gagne de bons soins.
41:57Et le projet de l'hôpital ?
41:59Le projet de l'hôpital Royal Green, toujours,
42:03l'administration,
42:06la qualité, la qualité de médecine,
42:12qui l'administration encouragée,
42:16les patients ont une grande demande pour ça,
42:18moi, je souhaiterais que l'administration réussisse à grandir sur l'hôpital.
42:23Et définitivement, on a la capacité pour être même doublé, attribué, moi, je vois.
42:29En tout cas, docteur, merci beaucoup,
42:30on va nous connaître un petit peu plus à l'hôpital Green Hospital qui est situé à Mokka.
42:35Merci.
42:35Welcome.

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