La cheffe de la division nationale de la sécurisation des transports en commun s’est déplacée dans la Loire pour une opération dans le TER
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00:00Connaître les spécificités de chaque territoire afin de prendre de bonnes décisions,
00:05c'est la raison qui a poussé Marine Morin à prendre l'une des voies TER les plus empruntées de France.
00:10Et durant ce trajet, elle a pu échanger avec la police stéphanoise.
00:13Il y a ce besoin d'amener de la sécurité et puis aussi de lutter,
00:17et ça c'est beaucoup plus subjectif et beaucoup plus compliqué,
00:20de lutter contre le sentiment d'insécurité.
00:22Et donc on y contribue, même si ça n'est pas quantifiable,
00:25évidemment que la présence de ces unités va dans ce sens et dans le bon sens.
00:30De venir au contact des effectifs, de pouvoir montrer ce que c'était aussi que des contrôles ont embarqué dans les TER
00:38et de rappeler les missions et l'importance qu'ont les missions des brigades de sécurisation dans les transports en commun.
00:45Cette opération de sécurité dans les trains entre dans le cadre du plan départemental de la restauration de la sécurité du quotidien.
00:52Parce que ça correspond à une réalité, de plus en plus de nos concitoyens,
00:55et principalement d'ailleurs dans les zones urbaines, empruntent les transports en commun.
01:00Nous avons une réalité délinquante dans les transports en commun dans la Loire,
01:04avec deux faits de délinquance quotidienne,
01:08dont un fait de violence tous les deux jours,
01:09qui nécessitait et qui nécessite qu'on déploie des moyens particuliers
01:14pour pouvoir sécuriser nos concitoyens qui emploient les transports en commun
01:19et éviter des faits divers trop nombreux.
01:22Si la délinquance dans les transports en commun diminue dans la Loire,
01:25la vigilance des policiers, quant à elle, ne diminuera pas.