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00:00Je vous ai posé une question, j'ai posé une question aux auditeurs d'Europe 1, 01, 80, 20, 39, 21.
00:04Si vous deviez poser une question au chef de l'État ce soir, laquelle serait-elle ?
00:09Et Gauthier Lebré ?
00:11Ah oui.
00:12Laquelle ça serait ? Ça serait, monsieur le Président, citez-moi un fait précis, une actualité précise,
00:19où la situation s'est améliorée depuis que vous êtes au pouvoir.
00:22C'est fort ça.
00:23Oh c'est fort, ça voilà, ça c'est Gauthier Lebré.
00:25C'est pas parce que ça, ça TF1 il voulait re-retocquer.
00:27Vous l'aurez re-retocqué, ça vous ne sauriez pas passer.
00:30Ça ne saurait pas passer ?
00:31Vous ne sauriez pas passer.
00:32Valérie Benahim ou Géraldine Maillet vont passer à mon avis.
00:34Comment faites-vous pour être aussi, avoir une peau si...
00:37Non, non, non.
00:37Un épidère.
00:38Moi je lui demanderais s'il est sur la ligne de son ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau,
00:43notamment sur le dossier de l'Algérie.
00:44Pas mal, pas mal.
00:45Mais il va vous dire, là je vais vous dire la vérité.
00:47Bonne question Valérie Benahim, mais ça sera de la langue de bois pendant 7 minutes.
00:51Ça va être insupportable.
00:52Il va dire bien sûr, je comprends l'action de monsieur Retailleau, mais d'un autre côté,
00:55vous savez, on a une relation particulière avec l'Algérie, et forcément...
00:59Je vous rappelle que nous avons un ressortissant qui est en Algérie, Boalem Sansal, donc il est important.
01:05Et c'est la priorité, c'est ma priorité aujourd'hui.
01:09Mais évidemment nous serons fermes face à l'Algérie s'il renvoie 15 Français.
01:12La question, on l'écrit.
01:14Donc Valérie, super la question, mais ça il va s'en sortir en 2 minutes.
01:18Sur Gauthier Lebray, vous voulez que je vous fasse sa réponse ?
01:20Reposez-moi la question, je vais vous dire à peu près ça.
01:21Monsieur Président, citez-moi quelque chose qui va mieux depuis que vous êtes arrivé,
01:25depuis 7 ans.
01:27Ah !
01:27Vous savez ce qu'il va vous dire ?
01:30Il va vous dire qui a mieux géré la crise du Covid que nous.
01:32Elle n'était pas là il y a 7 ans, Monsieur le Président.
01:34Non, non, mais oui, mais on a eu quand même les séquelles de la crise du Covid.
01:38Si, si, voilà.
01:39Aujourd'hui, on est un des pays qui va le mieux,
01:41et qui s'en est mieux sorti de la crise du Covid, Gauthier Lebray.
01:44Vous trouvez qu'on va mieux, par exemple, que l'Italie ?
01:46Oui, parce que vous prenez beaucoup d'exemples, l'Italie, l'Allemagne, etc.
01:50Est-ce que l'Italie, est-ce que l'Allemagne vont mieux que nous ?
01:53Je ne suis pas sûr, Gauthier Lebray.
01:55Est en meilleure forme que la croissance française.
01:59L'Italie n'a pas creusé la dette de millimilliard.
02:01J'ai fait de la merde.
02:03Non, non, mais c'est vrai que c'est très dur de s'en sortir.
02:05Mais il va, voilà.
02:06Il va s'en sortir quand même.
02:07Non, il va s'en sortir parce qu'il n'y aura pas...
02:10Voilà, parce qu'il n'y aura pas d'altérité.
02:11Bien sûr.
02:12Et j'en aurais une autre.
02:13Allez-y.
02:14Je lui dirais, Monsieur le Président,
02:16deux priorités pour les Français,
02:17la sécurité et le pouvoir d'achat.
02:19Vous qui n'avez évidemment aucun problème
02:21ni de pouvoir d'achat ni de sécurité,
02:23est-ce que vous vous sentez concerné par ces priorités ?
02:25Fort, fort.
02:27Mais bien sûr que je me sens concerné.
02:30Parce qu'on ne vous entend pas beaucoup parler de ces sujets, Monsieur le Président.
02:32Oui, mais je me sens concerné par tous les problèmes des Français, Cotier Lebray.
02:34Mais on ne vous entend pas parler de sécurité et de pouvoir d'achat, Monsieur le Président ?
02:38Ah mais si, si, si, j'en parle.
02:39J'en parle.
02:40Ah bon ?
02:40Oui, bah oui.
02:41Et qu'est-ce que vous avez fait de favorable pour le pouvoir d'achat et la sécurité, Monsieur le Président ?
02:45Rien.
02:46Monsieur le Président,
02:47qui sera votre héritier ?
02:49Qui sera votre successeur ?
02:50Vous ferez campagne pour qui ?
02:52Pour Édouard Philippe ?
02:52Pour Gabriel Attal ?
02:53Ou pour Gérald Darmanin ?
02:54Ça, c'est très simple.
02:55Il va vous dire, ça, écoutez, moi j'ai encore deux ans.
02:58Voilà.
02:58Voilà, j'ai encore deux ans.
02:59Oui, mais vous ne pouvez pas vous représenter.
03:00Non, non, non, non.
03:01Oui, mais j'ai encore deux ans.
03:02Oui, mais la même a priori.
03:02Vous savez, les Français attendent encore beaucoup de moi.
03:05Je ne suis pas sûr que ça intéresse les Français de savoir.
03:06On a encore beaucoup de choses à faire.
03:07Je ne suis pas sûr que ça intéresse les Français de savoir ce qu'on va faire dans deux ans.
03:10Et les ambitions personnelles des uns et des autres.
03:14Aujourd'hui, on va déjà s'occuper de ce qui va se passer pendant deux ans en France.
03:17Et on verra ensuite, madame Géraldine Maillet.
03:20Donc, merci pour votre question.
03:21Bonne question.
03:22Mais voilà, ça, ça va être réglé.
03:23Ça, c'est réglé.
03:24Et Bétard, ça a du choc ?
03:25Monsieur le Président, je sais ce qu'est le gaullisme, ce qu'est le sarcosisme.
03:31Je ne sais pas ce qu'est le macronisme.
03:32De quoi le macronisme est-il le nom ?
03:34Le savez-vous vous-même ?
03:36Déjà, il va rigoler comme ça.
03:38Ça laisse le temps de réfléchir quand vous rigolez comme ça.
03:47Écoutez, je ne prétends pas qu'il y ait eu...
03:48Moi, je n'ai jamais dit qu'il y avait eu...
03:50Qu'on avait été une époque...
03:53S'il vous plaît, vous vous écoutez ma réponse ?
03:55Vous n'en avez rien à vous.
03:56Ah non, il souffle encore.
03:58Non mais l'autre, non mais...
03:59Et alors ?
04:00Vous savez ce qu'il va vous dire, Emmanuel Macron ?
04:03Moi, je n'ai jamais prétendu que le macronisme a existé.
04:06C'est les journalistes qui ont inventé le macronisme.
04:10Vous savez, moi, je suis là pour que la France aille mieux,
04:13pour que la France...
04:13Pour me battre tous les jours pour les Français, pour notre pays.
04:15Pour leur même temps ?
04:16Vous êtes là pour que la France aille mieux, M. le Président ?
04:18Ce n'est pas réussi.
04:19Vous êtes qui, vous, M. le Président ?
04:21Non mais c'est sûr.
04:24Là, toutes les questions, ça, il est slalom direct.
04:27C'est tranquille.
04:28Jordan Deluxe, quelles questions vous poseriez ?
04:30Bonjour M. le Président.
04:32Lors d'une des premières...
04:33Lors que vous vous lanciez dans la présidentielle...
04:36Excusez-moi, je ne comprends pas ce que vous disiez.
04:39Je ne comprends pas ce que vous disiez.
04:40Lorsque vous vous lanciez dans la présidentielle,
04:42l'animateur Cyril Hanouna était venu vous voir avec un micro
04:45et vous aviez été questionné par lui,
04:48vous aviez répondu.
04:49Et vous aimeriez lui dire quoi, aujourd'hui, à Cyril Hanouna,
04:52si vous pouviez lui dire quelque chose ?
04:55Si je pouvais dire quelque chose à Cyril Hanouna ?
04:56Vous croyez que le Président...
04:57Moi, je lui poserais cette question, en tout cas.
04:59C'est aucun problème.
04:59Pas mal.
05:00Et je pense que ça marcherait bien en reprise.
05:01J'ai quelques phrases qui me viennent en tête,
05:03mais je ne les dirai pas.
05:06Merci, j'ai quelques phrases qui me viennent en tête
05:07que je pourrais dire à Cyril Hanouna
05:08si j'étais le Président de la République,
05:09mais je ne les dirai pas.
05:11Franchement, M. Béréby, comment ça va ?
05:13Écoutez-moi, ça va super, je vous écoute.
05:15Alors, c'est un auditeur et on l'adore.
05:16C'est un amour, monsieur.
05:18Vraiment, on a eu un coup de cœur tous ici.
05:20Non, mais c'est vrai.
05:20On a eu un coup de cœur.
05:21Est-ce que vous aviez une question à poser ?
05:23Justement, j'allais vous répondre.
05:25C'est comme mon fils, Ethan Béréby,
05:26a fait un prank pour Travis Scott ce week-end.
05:29Oui, il a fait croire qu'en fait,
05:31Travis Scott allait venir.
05:32J'ai vu ça.
05:32Il l'a envoyé à tout Paris.
05:33Si vous avez vu ça, pour en parler, c'est mon fils.
05:35Et en fait, c'était pour son anniversaire.
05:36Et en fait, il a invité plein de gens qui sont venus.
05:39Et en fait, c'était un prank.
05:40Qui a madame, notamment, qui s'est défiégé.
05:41Tout ça pour dire ce que va dire ce soir le Président,
05:44on le sait déjà d'avance.
05:45Bravo.
05:46On va regarder, c'est bien, c'est joli.
05:49Il parle très bien.
05:51Il va endormir encore tout le monde.
05:52Ça s'appelle un somnifère, tout simplement.
05:55Et à la fin, vous verrez que ça sera toujours la même chose.
05:57Mais c'est exactement ce que disent tous les auditeurs,
05:59Gérardine Maillet.
05:59Parce que, M. Béréby, Gérardine Maillet,
06:02sachez-le, elle est fan d'Emmanuel Macron.
06:03Donc, quand vous dites ça, ça l'écorche.
06:06Dans une secte, non, non, ça m'écorche pas.
06:08Je suis quand même lucide.
06:09Je vois tout ce qu'il a fait de bien ou de pas bien.
06:10Alors, justement, qu'est-ce qu'il a fait de bien ?
06:12Ben oui.
06:12Je pense que dans une conjoncture extrêmement difficile,
06:17la crise du Covid, la guerre en Ukraine,
06:18je pense que c'est comme à ce moment-là,
06:21vous n'avez qu'à me dire...
06:22Exactement, c'est de la réponse de Macron.
06:24Pendant la crise financière, Sarkozy, il a fait mieux ou moins bien ?
06:26Non, il a fait mieux.
06:27Il a fait tellement mieux qu'il n'a pas été réélu.
06:29Non, non, Sarkozy, il n'a rien à voir avec son président Nicolas Sarkozy.
06:31Il n'a pas été réélu à cause de ça.
06:32Nicolas Sarkozy, tu parles à n'importe quel entrepreneur.
06:35Il a été réélu parce qu'il a promis le Karcher,
06:37il a promis ma grand-mère et il n'a rien donné.
06:38Donc maintenant, quand j'entends des trucs comme ça,
06:42je vous adore parce que j'adore Daniel Riolo,
06:44c'est logique,
06:45mais entre vous et Valérie Benahim,
06:49que j'adore,
06:50vous avez les 10% qui ne vont pas.
06:52Voilà, c'est tout.
06:53Il y a un moment où il faut que ça s'arrête.
06:54C'est tout, c'est ce que je dis.
06:55Mais pourquoi Sarkozy, alors ?
06:56Il est pour Emmanuel Macron ?
06:58Il adore Emmanuel Macron ?
06:58Non, non, non.
06:59Il a toujours la politique.
07:02Mais Géraldine Maillet, quel qu'est...
07:04Pourquoi il a abandonné Pécresse pour Macron ?
07:06Pourquoi il a abandonné Pécresse pour Macron ?
07:06Pourquoi il a abandonné Pécresse pour Macron ?
07:08Mais on est toujours pour son camp, enfin.
07:09Mais Géraldine Maillet...
07:10C'est qu'elle trahison, ça.
07:11Quand on est pour le PSG, on n'est pas pour l'OM.
07:13Quand on est Nicolas Sarkozy, on est pour Pécresse,
07:14on est pour les Républicains.
07:16Géraldine Maillet, vous êtes une naïveté.
07:18Géraldine Maillet, ça me rend fou,
07:19parce que Géraldine Maillet,
07:20c'est la meuf qui a entendu qu'un gars avait dit que...
07:24Nicolas Sarkozy, sachez-le,
07:26il est en désaccord sur énormément de choses
07:28avec Emmanuel Macron sur la politique,
07:29si ce n'est pas 9 choses sur 10.
07:31Donc merci.
07:32Gauthier Lebray.
07:32Oui, alors c'est vrai que Nicolas Sarkozy
07:34avait soutenu Emmanuel Macron en 2022,
07:36mais parce que la famille politique LR
07:38était en état...
07:39Il soutient sa famille politique, quoi qu'il !
07:42Oui, c'était très compliqué.
07:42Il y a Jordan Deluxe qui est en train de se recoiffer.
07:44Et ensuite, il est vrai que Nicolas Sarkozy
07:47ne cache pas ses désaccords
07:48avec le président de la République.
07:51Alors je voulais te dire une chose
07:52sur Nicolas Sarkozy,
07:53parce que tu parlais de la crise financière.
07:55Tu ne peux pas trouver un entrepreneur du pays
07:58qui ne te dit pas que la période
07:59la plus prolifique pour lui,
08:01c'est la période Sarkozy.
08:02Parce que c'était travailler plus pour gagner plus,
08:04parce qu'on facilitait la vie aux entrepreneurs.
08:06Tu ne crois pas un électricien, un plombier
08:07qui ne te dit pas ça.

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