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Alors que l'Américain Robert Francis Prevost, 69 ans, est devenu jeudi le premier pape originaire des États-Unis sous le nom de Léon XIV, Gabrielle Cluzel réagit : «Est-ce que le pape qui est ici est conservateur ou progressiste ? C'est une vraie réflexion à avoir».

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Transcription
00:00Il y a cette fameuse réforme de la curie dont on parle depuis très longtemps,
00:05mais il y a surtout l'unité de l'Église, moi qui me paraît extrêmement importante.
00:10Et c'est vrai que le pape François, qui avait une façon quand même assez brutale de diriger,
00:18l'avait mise à mal, je ne sais pas lui porter atteinte que de dire cela d'une certaine façon.
00:24Et ce n'est pas étranger aux discussions que nous avons eues tout à l'heure,
00:28c'est-à-dire que beaucoup de ceux qui nous regardent se disent aujourd'hui
00:31est-ce que le pape qui est ici, c'est un pape conservateur ou progressiste ?
00:35Mais est-ce que c'est une vraie réflexion à avoir ?
00:37Et si, c'est important, c'est une vraie réflexion à avoir.
00:38Je pense que c'est une vraie réflexion parce qu'il ne faut pas avoir de faux semblants.
00:42Et il va avoir, ce pape, à s'occuper par exemple d'une franche conservatrice.
00:48Et on a parlé des catholiques américains, ils sont très conservateurs.
00:51Bien sûr.
00:52Voilà.
00:53Si lui ne l'est pas, il va quand même devoir composer avec eux.
00:55Et pareil, en Europe, la base s'est rétrécie,
00:58mais elle est devenue beaucoup plus conservatrice.
01:01Donc il va devoir faire ça avec eux et avec les Africains également.
01:05Et le pape François avait fait souffrir une certaine partie de la france catholique.

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