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  • il y a 4 jours
Retrouvez "Champions !" du sport au business avec Frédéric Brindelle et Thomas Binet, tous les samedis à 20h sur Sud Radio.

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##LES_CHAMPIONS_BUSINESS-2025-05-10##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, le magazine des champions, Frédéric Brindel, Thomas Binet.
00:06Bonsoir à tous, c'est Champion du Sport Business sur Sud Radio.
00:10Nous recevons ce soir un ancien champion du monde d'escalade,
00:14devenu un brillant chef d'entreprise à la tête de Climb Up, François Petit.
00:18Le concept Climb Up est né par l'intermédiaire François Petit,
00:22actuel PDG du groupe et ancien champion du monde.
00:24Il a voulu créer des lieux de vie réunissant l'escalade de blocs et de voies.
00:28Alors lui il s'appelait François Legrand et moi c'était François Petit,
00:31donc les médias ils s'en sont emparés.
00:33Mais c'était des années où à partir de là, c'était en 1991,
00:39où j'ai été champion du monde après jeune en cadet en 92,
00:42champion du monde junior en 94.
00:44Car votre spécialité à vous deux c'est l'escalade des blocs.
00:47Si on devait résumer à quelqu'un qui n'en a jamais vu,
00:49il s'agit d'escalader des structures ultra difficiles,
00:52à 4m50 de hauteur et sans cordes,
00:55en le moins de tentatives possibles.
00:58Il faut être puissant et dynamique, avoir un mental d'acier,
01:00car on n'y arrive pas toujours du premier coup.
01:03Voilà, j'ai gagné les championnats de première coupe du monde en 93,
01:09à l'âge de 18 ans,
01:11et c'est là que ça m'a permis d'évoluer.
01:13Et les championnats du monde à 21 ans en 97.
01:18Et oui, quel parcours !
01:19Bonsoir François Petit !
01:22Bonsoir !
01:23Bon, ça fait un sacré parcours tout cela,
01:25et puis de sacrées ascensions finalement.
01:28Ancien escaladeur, vainqueur de coupe du monde
01:30et champion du monde à la fin des années 90.
01:33Votre réussite de chef d'entreprise est exemplaire.
01:36Alors accrochez au mur face à vous ce soir,
01:38notre expert entrepreneurial.
01:40Bonsoir Thomas Binet.
01:41Bonsoir Frédéric, bonsoir François,
01:42et bonsoir à toutes et à tous.
01:43Vous avez trouvé les bons appuis.
01:45Attention, c'est pas simple.
01:45Vous allez voir ça, vous allez voir.
01:48François Petit, champion du monde d'escalade en 1997.
01:51Vous avez lancé le plus grand réseau d'escalade du monde
01:53sur le sol français.
01:55Vous êtes ce soir notre champion du sport au business.
02:00Cher François, donc Petit, c'était beau,
02:02l'histoire du grand et du petit.
02:04Les médias s'en sont emparés,
02:06mais on s'en empare encore, François.
02:09Ils s'en sont emparés effectivement plusieurs fois.
02:12Effectivement, il s'appelait François Le Grand,
02:13moi, François Petit, donc on était les deux meilleurs grimpeurs mondiaux.
02:17Donc voilà, j'ai envie de l'émission.
02:20Si vous avez un peu plus, même une renommée plus importante.
02:23Ben voilà.
02:23Bon, nous passons donc au relais.
02:25C'est le premier rendez-vous de l'émission.
02:26Le relais, c'est donc une série de questions
02:28sur le chemin qui vous a conduit du sport
02:30jusqu'à votre activité professionnelle.
02:32François Petit, l'escalade depuis 2020 est un sport olympique.
02:36Derrière les frères Mawen,
02:38les vocations se créent à grande vitesse dans notre pays.
02:40Votre sport est-il en train de devenir populaire ?
02:43Alors, bien sûr, l'escalade s'est devenue de plus en plus populaire.
02:48Depuis 15 ans, il y avait déjà, grâce aux salles d'escalade,
02:51qui se sont développées un peu comme des petits pains.
02:55Il y avait 20 salles début 2000.
02:58Maintenant, il y en a presque 300.
03:00Oui, quand même.
03:01Ça, c'est vraiment...
03:02Il y a 3 millions de pratiquants en France.
03:05On a 300 000 nouveaux clients à Climb Up chaque année.
03:09Donc après, c'est du loisir pour beaucoup.
03:11Donc les gens ne restent pas comme abonnés chez nous.
03:15Mais en tout cas, ça se développe beaucoup.
03:17Les JO de 2020 ont amené effectivement un dynamisme aussi.
03:22Ils sont une structuration au niveau du haut niveau.
03:24C'est pas ça qui a fait plus connaître.
03:28C'était à Tokyo, c'était décalé.
03:31Mais j'ai eu les JO à Paris.
03:33Voilà, et ça, ça a été quelque chose de plus.
03:35Là, c'était en public et on l'a vu.
03:37Bon, même si le site n'était pas non plus exceptionnel.
03:40Bon, voilà.
03:41Bon, alors François, vous auriez préféré être champion du monde
03:44dans la décennie actuelle et du coup participer aux JO
03:47ou rester comme ça et profiter de l'engouillement de votre sport
03:51en tant que patron des salles d'escalade.
03:53J'ai quelques questions comme ça, Piège.
03:55Ouais, ouais.
03:56Non, mais j'aurais préféré faire des JO, effectivement.
03:59À l'époque, on était en 1992 dans des JO d'Albertville.
04:02On était sur une présentation de l'escalade à ces JO-là.
04:06Donc c'est une compétition à Chambéry.
04:08Mais c'est vrai que les JO, c'est beau.
04:10Après, c'est tous les 4 ans.
04:11C'est un challenge important.
04:13Mais j'étais content d'être dans les promis à développer vraiment
04:18dans les compétitions d'escalade et à développer des salles d'escalade.
04:21Donc je suis content de mon parcours de champion,
04:25de chef d'entreprise.
04:28Mais c'est ce qu'on appelle le destin, quoi.
04:30Être là à certaines époques, c'est une belle réflexion sur la vie.
04:34Alors François Petit, dernière question du relais.
04:36Le bloc, donc, qui est réussir un enchaînement donné.
04:39La difficulté qui est allée le plus haut possible.
04:42Et puis la vitesse qui est un face-à-face sont les 3 grandes disciplines de l'escalade.
04:46À laquelle de ces 3 spécialités, votre rôle de chef d'entreprise s'apparente-t-il le plus ?
04:54Alors pour moi, c'est plutôt de la difficulté.
04:57Puisque chef d'entreprise, c'est sur du long terme.
05:00Ce n'est pas juste du bloc qui dure 5 à 10 secondes.
05:03Et même s'il y a 4 blocs en Coupe du Monde ou en Championne du Monde.
05:07Mais voilà, c'est une longue voie avec des obstacles qu'il faut contourner,
05:11qu'il faut franchir pour arriver au sommet.
05:13Très intéressant ce choix.
05:15Je pensais que vous alliez dire les 3 parce que forcément, il y a un peu d'étroits.
05:19Mais le fait que vous choisissiez, c'est super intéressant, je trouve.
05:23Bon, François, dans votre question, il fallait choisir.
05:24Oui, mais bravo.
05:25Je dis bravo.
05:26Alors François Petit, place donc à votre parcours entrepreneurial
05:29avec notre expert, toujours agrippé aux réalités du business, Thomas Binet.
05:34Sud Radio, le magazine des champions.
05:38Oui, François Petit, vous allez disposer d'une minute
05:40pour expliquer à nos auditrices et à nos auditeurs
05:43justement votre projet et la problématique qui en découle au moment où vous êtes.
05:48Si vous êtes prêt, notre réalisateur, Anthony Urvois, va lancer le petit jingle.
05:53Et puis à la fin, vous savez, on a un petit gong
05:55qui vous dira que vous êtes dedans ou en dehors du délai.
05:58Mais pour un sportif de haut niveau comme vous,
06:00ça ne devrait pas être une difficulté.
06:01Êtes-vous prêt ?
06:02Je suis prêt, oui.
06:03C'est parti.
06:04Présentation de l'émission de l'entreprise.
06:08À vous.
06:09Alors Climb Up, effectivement, 32 salles d'escalade.
06:12Pour l'instant, on accueille donc tous les publics
06:16du 3 ans à 97 ans, plutôt du 18 à 35 ans.
06:20Et voilà, la problématique actuelle, c'est de développer encore notre activité
06:25à attirer des clients jeunes pour les fidéliser.
06:30Donc fidéliser des clients pour continuer à développer notre chiffre d'affaires.
06:37Nous avons des charges qui sont assez fixes.
06:41Donc notre rentabilité doit augmenter grâce à l'augmentation de notre activité,
06:46de notre fréquentation.
06:48Donc communiquer bien, communiquer mieux, vendre mieux à nos clients
06:53et les fidéliser pour qu'ils continuent de venir chez nous.
06:58On a 32 salles d'escalade.
07:00Donc des fois, il y a des salles que de bloc.
07:01Des fois, il y a des salles de voie.
07:03Et des salles de voie plus bloc, c'est le concept Climb Up.
07:06Et donc, on a des communications qui sont assez nationales,
07:11mais des fois ciblées sur certains publics.
07:13Bon, le gong a sonné.
07:15Vous avez touché au sommet pratiquement au bon moment, François Petit.
07:20Donc 32 salles avec plusieurs objectifs.
07:23Eh bien, ouvrons la feuille de match.
07:26La feuille de match, donc avec Thomas Binet.
07:28François Petit, président fondateur de Climb Up,
07:31champion du monde d'escalade en 97,
07:33ambitionne à l'horizon 2030 de rendre l'escalade accessible à tous.
07:38Ça veut dire créer encore plus de salles sur le territoire.
07:40Thomas, y a-t-il symboliquement, bien sûr, de la place ?
07:44Alors, il y a de la place.
07:45Il y a des acteurs.
07:47Et d'ailleurs, François Petit en fait partie.
07:49Il a donné des chiffres tout à l'heure.
07:50Donc, je ne vais pas les répéter.
07:51Bon, ce que moi, j'ai retrouvé pour faire ma préparation,
07:54c'est que le secteur a enregistré quand même une croissance moyenne de 10% par an
07:58en termes d'ouverture de salles.
07:59Bien au-delà d'ailleurs de la moyenne des 2% observés dans les autres loisirs sportifs marchands.
08:04Ah, ça, c'est intéressant.
08:05Ça veut dire qu'il y a une dynamique dans votre secteur d'activité.
08:07Et on peut se baser quand même là-dessus pour être optimiste pour l'avenir.
08:11L'escalade indoor attire une population.
08:14Et ça, c'est intéressant, vous l'avez dit, pour votre clientèle, 18-35 ans.
08:17Vous l'avez évoqué, même si vous êtes plus large et un cœur de cible, c'est 18-35.
08:20Et bien, ça tombe bien parce que ça attire une population jeune et urbaine.
08:23Et environ 40% des pratiquants n'ont jamais grimpé en extérieur,
08:27préférant le confort et la sécurité des salles.
08:30Ça aussi, le phénomène de sécurité, on n'en parle pas beaucoup.
08:33Mais c'est un élément important et ça plaide évidemment pour ce type de stratégie.
08:36Et puis c'est bien pour la jeunesse, l'image de l'escalade aussi,
08:39qui est un sport plutôt nature, même s'il en est à l'intérieur.
08:42Mais quand même, ouais.
08:43Alors, on rappelle toujours, parce que voilà, on en sort, ça fait cinq ans qu'il y a eu la Covid.
08:47Toutes ces salles ont eu des difficultés, comme beaucoup d'activités.
08:51Vous l'avez dit, vous avez parlé de charges fixes.
08:53Donc, il y a les PGE à rembourser pour certains, etc.
08:55Donc, effectivement, il y a une économie compliquée.
08:58Ça, il ne faut pas le nier.
09:00Et ça veut dire qu'il faut trouver son second souffle.
09:01Alors, François Petit, par rapport à ce que vient de dire Thomas Binet,
09:05premièrement, on peut peut-être rappeler depuis combien de temps Kleinbup a pris son envol.
09:10C'est facile, mais je vous la pose.
09:13Alors, Kleinbup, effectivement, a pris son envol en fait en 2017,
09:16où on a ouvert des nouvelles salles.
09:18Et en 2019, où on a fait une levée de fonds avec Calcium Capital.
09:21En plein Covid, quoi ?
09:23Non, avant le Covid.
09:24Ah, avant. D'accord.
09:25Oui, en 2019, avant le Covid.
09:28Et donc, c'était l'idée, c'était d'ouvrir des nouvelles salles,
09:31des grandes salles à Paris, à Lille, à Bordeaux.
09:34Et après, il y a eu le Covid.
09:36Donc, ça nous a impacté.
09:38Donc, on a fait les travaux de ces nouvelles salles pendant le Covid.
09:41Et à l'ouverture des salles, je crois que c'était en juin 2021,
09:46le problème, c'est qu'il fallait encore venir avec le masque dans les salles de sport.
09:49En mars 2002, ça nous a impacté, effectivement,
09:52sur la reprise de notre activité dans ces grandes nouvelles salles
09:55où on avait mis pas mal d'investissements, pas mal de capex.
09:59Et voilà, après, ça s'est développé en 2023
10:02parce que les gens étaient confinés pendant le Covid.
10:04Et nos salles sont des lieux de vie.
10:05Donc, les gens avaient besoin de venir retrouver des gens, se revoir.
10:10Et nos salles étaient vraiment des lieux de vie, d'échange, de partage.
10:13Donc, il y a eu une très belle année 2023-2024.
10:17Et après, il y a eu, effectivement, l'inflation qui a fait que les gens
10:24avaient un peu moins d'argent pour venir dans nos salles.
10:26On n'est pas des lieux essentiels, en tout cas.
10:31Et alors, ils continuent de faire du sport.
10:33C'est plutôt la restauration qui est en baisse chez nous.
10:36Mais la partie escale continue de progresser.
10:39Alors, les données du problème sont claires, Thomas Binet.
10:42Oui, les données du problème sont claires.
10:44Je voudrais rajouter quand même que certains experts estiment
10:47que le marché des grandes salles d'escalade
10:49pourra atteindre un point de saturation.
10:51Bon, donc ça, il faut peut-être aussi le réfléchir.
10:53Ça veut dire quoi ?
10:54Ça veut dire que si on a atteint un point de saturation,
10:56ça veut dire que les expansions de nouvelles implantations
10:59seraient un peu plus difficiles à envisager.
11:01Bon, ça ne veut pas dire que ce soit son cas à lui,
11:03en particulier à François,
11:05parce qu'il faut regarder aussi l'implantation.
11:07Aujourd'hui, sa problématique, sauf à l'heure de ma part,
11:09n'est pas de s'implanter dans de nouvelles villes.
11:11C'est de rentabiliser mieux son dispositif
11:13et de ramener de nouveaux clients.
11:15Donc, on va s'intéresser à ça en deuxième partie d'émission.
11:17Oui, ce n'est pas une histoire, François,
11:19de plus de salles ?
11:20Si, quand même, un petit peu, non ?
11:22Au début, c'était de faire plus de salles,
11:23prendre des parts de marché,
11:24mais maintenant, effectivement,
11:25c'est plutôt de les rentabiliser,
11:26de les améliorer.
11:27Oui, voilà, c'est ça.
11:28C'est plus de développer des nouvelles salles.
11:31Ah, voilà le son du buzzer.
11:33Celui qui annonce donc la mi-temps
11:34de champion du sport au business.
11:36Dans un instant, Thomas Binet conseillera notre invité,
11:38François Petit, ou quand le pape de l'escalade française
11:42veut convertir nos concitoyens à la pratique.
11:46C'est sur Sud Radio.
11:47A tout de suite.
11:49Sud Radio, le magazine des champions.
11:52Frédéric Brindel, Thomas Binet.
11:55C'est donc champion du sport au business.
11:57Chaque samedi sur Sud Radio,
11:59notre invité, François Petit,
12:00champion du monde d'escalade en 1997,
12:03qui s'est fixé un sacré objectif
12:05en tant que chef d'entreprise,
12:07faire développer ses salles d'escalade
12:10Clined Up à l'approche de 2030.
12:13Il s'est fixé l'objectif donc
12:15de développer la pratique.
12:17Un objectif, évidemment,
12:19dont Thomas Binet nous rappelle les contours.
12:23Alors, vous avez déjà précisé beaucoup de choses,
12:25mon cher Frédéric.
12:26Donc, dans la stratégie de François Petit,
12:28c'est de rentabiliser son réseau.
12:29Alors, il a 32 salles.
12:31Et effectivement,
12:31ce n'est pas forcément d'ouvrir de nouveaux points.
12:33On l'a dit, on le répète,
12:35mais c'est effectivement de rentabiliser ces lieux.
12:38Alors, pour les rentabiliser,
12:39il faut mettre une stratégie, justement, de conquête.
12:42Alors, on va parler de ça dans un instant.
12:43François Petit,
12:44est-ce que vous bénéficiez un petit peu
12:46de l'effet Paris 2024 ?
12:48On en a un petit peu parlé,
12:50mais concrètement,
12:51l'escalade s'est imposée dans la famille olympique.
12:53Vous avez senti ce boom sur l'après-gio ?
12:58Alors, pas trop.
12:59Effectivement, on avait deux...
13:00Enfin, il y avait plusieurs athlètes français,
13:02mais il y en avait deux en finale,
13:03qui ont fait dernier de la finale.
13:04C'était retransmis dans les horaires
13:06plutôt 11h, 13h,
13:07donc pas de grande audience.
13:09Et voilà, on pensait faire...
13:11En tout cas,
13:12qu'il y aurait plus un rebond de l'activité
13:14grâce aux JO.
13:15On a eu un rebond en 2022
13:17avec les champions du monde de Berlin
13:19qui ont été retransmis sur France Télévisions.
13:22Là, on était un petit peu déçus,
13:24effectivement,
13:24de ces JO-là
13:25par rapport à les rebonds sur l'escalade.
13:27Alors, c'est vrai qu'il y a eu
13:29beaucoup, beaucoup
13:30de retransmissions
13:32avant les JO-olympiques
13:34et pendant les JO-olympiques,
13:36alors ça dépend toujours,
13:36vous l'avez dit,
13:37de la performance des Français,
13:38de l'exposition,
13:39de la chance.
13:40Si en face,
13:40vous êtes avec la finale
13:42de Léon Marchand,
13:43c'est vrai que du coup,
13:44vous êtes un peu piégé.
13:45Bon, eh bien,
13:45on vous laisse dans les mains du coach.
13:47Sud Radio,
13:49le magazine des champions.
13:50Alors, Thomas Binet,
13:51François Petit,
13:52bénéficie-t-il
13:53d'un contexte si favorable
13:55que cela à la création
13:56de lieux dédiés
13:57à la pratique du sport
13:58dans notre pays ?
13:59Vous avez la main.
14:01Alors,
14:01pour essayer de répondre
14:02à votre question,
14:03est-ce qu'il bénéficie
14:04d'une situation
14:04où le pouvoir d'achat
14:06des Français,
14:07des gens qui auraient
14:07envie de pratiquer,
14:09lui serait bénéfique ?
14:10Bon,
14:10il y a répondu un peu
14:12en partie tout à l'heure
14:13en disant,
14:13effectivement,
14:14c'est un peu plus compliqué
14:14pour les Français,
14:15il ne fait pas partie
14:16des activités dites essentielles.
14:18Ce qu'on nous disait,
14:19vous savez,
14:19pendant la Covid,
14:20c'est rester un peu aussi
14:21dans l'esprit des Français
14:22et puis l'inflation
14:22est passé par là aussi.
14:23Donc,
14:24effectivement,
14:24il faut savoir inventer
14:25et se réinventer.
14:27C'est un peu aussi
14:27les stratégies
14:28puisque je rappelle
14:29que sa volonté,
14:29c'est de rentabiliser
14:30son réseau de 32 salles
14:32qu'il a aujourd'hui
14:33mis en place.
14:34Alors,
14:35pour cela,
14:35on va en parler
14:36avec lui,
14:37justement.
14:38C'est comment s'y prendre
14:39sachant que sa clientèle,
14:40c'est les 18-35 ans
14:42en cœur de cible.
14:43Donc,
14:44pas forcément
14:44un pouvoir d'achat
14:45énorme.
14:47Non,
14:48pas forcément
14:49et puis aussi,
14:50c'est des générations
14:50un peu zappeurs.
14:51C'est-à-dire qu'effectivement,
14:53la fidélisation
14:53ne fait pas forcément
14:54partie de leur stratégie
14:55de vie,
14:56si vous voulez.
14:57Ils aiment la nouveauté
14:58donc la nouveauté
14:58pour eux,
14:59c'est souvent le changement.
15:00Voilà.
15:01Et c'est un peu
15:01dans le mode de vie
15:02des applications,
15:03d'Internet,
15:04enfin,
15:05de tout ce que ça produit
15:06le digital,
15:07cette volonté
15:07de changer.
15:09Alors,
15:09changement pour le changement,
15:10ce n'est pas une stratégie,
15:11on le sait tous.
15:12Il n'en retire pas moins
15:12que ça peut être
15:13le mode opératoire
15:13d'une certaine catégorie.
15:15François Petit,
15:16sur la politique
15:17alors du coût,
15:20finalement,
15:21souvent pour les salles
15:23de sport au sens large,
15:24on avait eu l'occasion
15:25d'en parler avec
15:25Benjamin Lariche,
15:26un de nos invités
15:27de champion du sport
15:27au business.
15:28Il y a l'histoire
15:29de l'abonnement,
15:30haut de gamme,
15:30tout ça.
15:30Vous,
15:31c'est quoi ?
15:32C'est un abonnement,
15:32François,
15:33sur le coût de l'entrée,
15:34au coup par coup ?
15:35Alors,
15:36effectivement,
15:36on a tout.
15:38L'entrée à l'unité
15:39qui est entre 14 euros
15:40et 17 euros
15:41pour les salles
15:41les plus chères,
15:43on va dire,
15:43sur Paris ou sur Lyon.
15:45On a des carnets de tickets
15:46de 10 entrées
15:48et des abonnements.
15:49Les entrées correspondent
15:51d'affaires,
15:52les carnets 30%
15:53ou 35%,
15:54les abonnements
15:55entre 25 et 30%,
15:57dépend des salles.
15:59Et puis après,
16:00il y a tout ce qui est
16:00cours d'escalade,
16:01on a beaucoup de cours,
16:01on a beaucoup d'enfants
16:02en cours
16:02qui représentent 15%
16:05à peu près.
16:06Les cours d'enfants
16:06tous les mercredis,
16:07tous les samedis matins.
16:08Mais là,
16:09ça veut dire du personnel
16:09avec des professeurs
16:11qui donnent les cours aussi.
16:12On a des professeurs,
16:13effectivement,
16:13des moniteurs d'escalade
16:14diplômés d'État.
16:15Tout à fait.
16:17Thomas Binet,
16:19est-ce que
16:19cette triple
16:21proposition de François Petit
16:23est plutôt séduisante ?
16:24Enfin,
16:25quadruple même
16:25avec les cours.
16:26Oui,
16:26alors il propose
16:27beaucoup de choses.
16:28Alors on pourra aussi
16:28élargir quand même
16:29notre propos,
16:29on y reviendra
16:30dans un instant,
16:31sur d'autres clientèles.
16:32C'est les écoles,
16:33c'est les entreprises
16:34parce que c'est vrai
16:35que là,
16:35il y a quand même
16:36un vivier.
16:37C'est quand même important.
16:37Ah oui,
16:38les entreprises,
16:38oui.
16:38Oui,
16:39les entreprises
16:39et puis c'est peut-être
16:40un peu plus fidèle.
16:41C'est aussi intéressant
16:41par rapport à sa stratégie
16:42dans un deuxième temps.
16:44Mais ça,
16:44ça sera à voir.
16:46François,
16:51oui,
16:52c'est le travail.
16:53C'est nous qui allons
16:54les voir,
16:54qui allons les démarcher
16:55pour vendre la billetterie,
16:57pour vendre des séminaires
16:59ou des team building.
17:03Mais c'est plutôt
17:03un travail que l'on fait
17:04effectivement par agglomération.
17:06On a un responsable
17:06B2B national
17:07et puis après,
17:08on a des responsables
17:09B2B par agglomération.
17:11En fait,
17:12on a par exemple
17:12quatre salles à Lille,
17:14quatre salles dans le sud
17:14de la France,
17:15trois salles à Bordeaux,
17:16cinq salles à Lyon.
17:18Donc voilà,
17:18on travaille par agglomération
17:20et puis après,
17:20pour vendre
17:23des carnets de tickets
17:23de 100,
17:25de 500 entrées
17:26à des tarifs réduits.
17:28Et donc,
17:28ça fidélise effectivement
17:29des entreprises,
17:31des clubs.
17:32On a beaucoup de clubs
17:32qui viennent chez nous.
17:34Voilà,
17:35donc on travaille
17:35sur le B2B
17:36depuis deux ans.
17:37C'est le grand axe
17:38de développement.
17:38Bon,
17:39premier point,
17:39vous étiez dedans.
17:40Oui,
17:41c'est ce qu'on appelle
17:41du géomarketing
17:42pour prendre des termes
17:43un petit peu
17:44dans notre domaine.
17:45C'est-à-dire qu'effectivement,
17:46la force et la faiblesse
17:47peut-être de ce système-là,
17:48c'est que par définition,
17:49il faut faire un travail
17:49de proximité.
17:51Et ça veut dire
17:51qu'il doit être délégué
17:52au niveau des salles.
17:53Bon,
17:53après,
17:54il faut être staffé,
17:54il faut avoir le temps,
17:55il faut tout faire,
17:56c'est très long,
17:57la prospection,
17:58ça ne donne pas
17:58des résultats immédiats,
17:59il faut garder l'envie
18:00de faire.
18:01Oui,
18:01il faut être patient
18:01parce que les entreprises,
18:02on passe par quoi ?
18:03Un CE,
18:04etc.
18:05Oui,
18:05ça peut être ça.
18:06Alors,
18:06ce n'est pas que les CE,
18:07on peut aussi faire des opérations,
18:08mais il faut faire un storytelling,
18:09il faut raconter une histoire,
18:10c'est des team building,
18:11vous savez,
18:11c'est la capacité
18:12d'amener des collaborateurs
18:14à faire une opération
18:15entre collègues
18:15au sein de l'entreprise,
18:17au sein,
18:18pardon,
18:19des clubs,
18:20et ça,
18:21il faut aussi le vendre,
18:22donc c'est du temps long,
18:23ça c'est évident.
18:24Donc,
18:24premier point,
18:25deuxième point,
18:26Thomas Binet.
18:26Moi,
18:27j'ai regardé un peu
18:28parce que je vais vous citer
18:30des choses que vous avez
18:30probablement déjà faites
18:31et vous les avez déjà évoquées,
18:33mais les trucs qui marchent bien,
18:34on va regarder les trucs
18:35qui marchent bien,
18:35c'est ce qu'on appelle
18:36les facteurs clés de succès
18:37dans notre domaine.
18:38Alors,
18:38des passes découvertes
18:39à prix réduit,
18:40il faut faire des packs
18:40de 2-3 séances
18:41pour les débutants
18:42avec près de matériel,
18:43formule d'abonnement souple,
18:44vous l'avez évoqué,
18:44sans engagement,
18:45à la séance en duo,
18:47en famille,
18:47des offres corporates,
18:48on vient de l'évoquer
18:49pour les CE,
18:50avec des partenariats
18:51avec les entreprises locales
18:52pour des séances
18:52de team building,
18:53je vais le rappeler,
18:54des tarifications à pieds à our,
18:56des créneaux moins fréquentés,
18:58donc effectivement,
18:58un peu comme les...
18:59Vous savez,
19:00c'est ce qui se fait,
19:00par exemple,
19:01dans les compagnies aériennes,
19:02il y a des tarifs
19:03ou dans le train,
19:03des tarifs moins chers
19:04à des moments
19:05où c'est moins fréquenté
19:06pour évidemment
19:07redonner une plénitude
19:08d'utilisation
19:09de tous les créneaux
19:10horaires des salles.
19:11Quand vous dites
19:12à pieds à our,
19:12c'est bien l'heure heureuse,
19:13c'est ça,
19:14mon cher Frédéric.
19:15Quel bel accent,
19:15j'ai adoré.
19:16Bon, tout ça,
19:17François Petit,
19:18vous avez mis en place ?
19:19Alors oui,
19:20on a des à pieds à our
19:21effectivement dans nos salles,
19:22on a des tarifs étudiants aussi,
19:24on travaille sur les tarifs étudiants
19:25ou tarifs réduits,
19:26et puis on a les passes mensuelles,
19:28post-Covid,
19:29avant le Covid,
19:30on avait des engagements
19:31sur 12 mois,
19:32sur un abonnement,
19:33maintenant,
19:33c'est plutôt des abonnements mensuels
19:36sans engagement,
19:36parce que les gens
19:37ils veulent plus s'engager,
19:38notre clientèle,
19:38ce sont des jeunes,
19:39comme disait Thomas,
19:41qui veulent plus s'engager,
19:42donc qui sont zappeurs,
19:44donc voilà,
19:45on leur propose
19:46des abonnements mensuels
19:47sans engagement,
19:48et puis après,
19:49on a des tarifs,
19:49des promos
19:50pour des engagements
19:51sur 3 mois,
19:52sur 6 mois,
19:53avec des différents moments
19:54d'années.
19:55Bon, François,
19:56on le savait,
19:57c'est un chef d'entreprise
19:59exemplaire,
20:00lorsqu'on vous l'a présenté,
20:01vous avez compris.
20:02Donc, cher Thomas Binet,
20:03là, vos propositions,
20:04effectivement,
20:04ça recadre,
20:05mais il va falloir trouver
20:06le petit truc en plus.
20:07Moi, pardonnez-moi messieurs,
20:09mais je repose la question,
20:10ça ne vaut pas le coup
20:10de créer d'autres salles
20:11quand même, non ?
20:13Thomas Binet.
20:13Moi, je ne pense pas.
20:14Vous ne pensez pas.
20:15Et je pense qu'on est d'accord
20:16avec François là-dessus.
20:17Si vous voulez,
20:18l'expansion,
20:18le développement,
20:20ça arrive à un certain moment.
20:22Il arrive à une taille
20:23où, bon déjà,
20:2432 salles,
20:25c'est quand même pas mal.
20:26Mais c'est costaud.
20:26Bon, ensuite,
20:28sur les 32 salles,
20:28il y a une énorme majorité,
20:30je crois que c'est 90%,
20:31François,
20:31je parle sous votre contrôle,
20:32d'intégrer,
20:33c'est-à-dire que
20:34c'est votre propriété.
20:37C'est bien ça ?
20:37Oui, on a 28 salles,
20:38effectivement,
20:3929 salles en intégrer
20:40et puis 3 salles en licence de marque.
20:41Voilà.
20:42Donc, si on veut développer,
20:43et François le sait,
20:44c'est soit c'est de la licence
20:45de marque demain,
20:46soit c'est de la franchise,
20:47mais c'est un autre mode opératoire,
20:48c'est une autre organisation.
20:50Je ne pense pas
20:50qu'on en soit là,
20:51objectivement.
20:52Aujourd'hui,
20:52c'est de rentabiliser,
20:53c'est de développer
20:54et derrière,
20:54c'est de fidéliser.
20:55Alors, le petit truc en plus,
20:56parce que c'est la question...
20:57Allons-y, c'est là Thomas,
20:58je suis en train
20:59de vous faire accoucher
21:00de quelque chose.
21:01Il faut le faire connaître aussi,
21:02tout ça.
21:02C'est vrai.
21:03Et donc là,
21:04c'est effectivement intervenir
21:05peut-être sur le digital,
21:06parce que cette clientèle
21:07est jeune
21:08et elle consomme du digital.
21:09Donc, on peut faire
21:10des campagnes géo-ciblées
21:11sur Instagram,
21:12sur TikTok.
21:13On peut également
21:14faire des tutos,
21:15des escalades
21:16un peu plus fortes,
21:17des nutrition du grimpeur,
21:18des stories clients.
21:20On peut faire des publicités
21:21sur YouTube,
21:21des vidéos immersives
21:22dans les salles.
21:23Tiens, viens tester mon escalade
21:25dans la salle.
21:26Il y a plein d'idées
21:27à développer
21:27pour créer une image
21:29et transporter
21:30cette stratégie
21:31chez les gens.
21:32La notion de défi
21:33aussi, j'imagine.
21:34Mais pourquoi pas ?
21:35Pour avoir...
21:36Des challenges, absolument.
21:38Oui, voilà, c'est ça.
21:39Moi, j'ai eu l'occasion
21:40de commenter un petit peu
21:41à la télévision
21:42l'escalade
21:44et c'est vrai
21:44que le face-à-face,
21:45par exemple,
21:46François,
21:46c'est le plus fun.
21:48On est d'accord ?
21:50Oui, la vitesse,
21:51c'est le plus fun.
21:52C'est le plus dynamique.
21:53Tout à fait.
21:54C'est plus dynamique
21:55que les voies
21:56où c'est long,
21:57où la personne grimpe
21:58pendant 5-6 minutes.
22:00Tout à fait.
22:00Oui, et c'est un produit
22:02d'appel, finalement,
22:03jouer sur la vitesse,
22:06certaines disciplines,
22:06quand Thomas dit
22:07qu'il faut faire du tuto
22:09de l'image
22:10et de l'histoire.
22:12Alors, tout à fait.
22:12C'est sur des blocs,
22:13plutôt qu'on fait
22:14des petits tutos
22:15où on présente des blocs
22:16et des blocs
22:18qui sont des skates,
22:19des choses
22:20que les jeunes aiment bien.
22:21C'est que tu cours
22:22un petit peu sur le tapis
22:23et tu grimpes après
22:23sur le bloc.
22:24C'est de la coordination.
22:26Oui, donc,
22:27ça veut peut-être
22:28le coup aussi
22:28de mettre en scène.
22:29Donc, ça,
22:30c'est le plus.
22:32Juste,
22:33François Petit,
22:34on a parlé tout à l'heure
22:36de la concurrence.
22:37Il y a d'autres salles
22:37en France.
22:38Vous avez une forte concurrence ?
22:41Alors, effectivement,
22:42maintenant,
22:42il y a des gros groupes.
22:43Il y a comme à Arcoz,
22:45il y a
22:45Climbing District
22:46sur Paris.
22:48Il y a bloc session
22:48qui se développe.
22:49C'est des plus petites salles
22:50plus légères.
22:52Donc, par contre,
22:53voilà,
22:53on est les seules grandes salles
22:54à proposer du bloc
22:55et des voix.
22:56Les autres sont plutôt
22:57des salles de bloc
22:58ou bloc et restaurant
23:00pour la plupart.
23:01Et c'est vrai
23:01que la restauration
23:02est impactée encore plus
23:03par l'inflation,
23:05le pouvoir d'achat
23:06et puis les ménages
23:08qui mettent de côté
23:08de l'argent
23:09depuis l'année passée.
23:11On voit une inflexion
23:12un petit peu de l'activité.
23:13Et comme disait Thomas,
23:15maintenant,
23:15effectivement,
23:16on a notre temps de salles.
23:16Il faut les rentabiliser
23:17avant de relancer
23:18le développement,
23:19que ce soit de la franchise
23:20ou en propre.
23:22Ah,
23:23c'est le moment clé
23:25et crucial.
23:26François Petit,
23:27président de Climbing
23:28veut convaincre
23:30la France entière
23:30de pratiquer l'escalade.
23:32Nous suivrons
23:32son parcours entrepreneurial
23:33dans Champion du sport
23:35au business
23:35avec Thomas
23:36qui nous rappelle
23:36ses préconisations.
23:38Thomas,
23:38il a parlé de la concurrence.
23:39Il y a de la concurrence
23:40des entreprises
23:41mais tout le monde
23:41n'a pas François Petit,
23:43Champion du monde.
23:43Oui,
23:44il faut jouer dessus.
23:44Il faut jouer aussi là-dessus.
23:46Et je pense en quelques secondes
23:47parce qu'il ne nous reste pas plus.
23:48Moi,
23:48je ferai une stratégie
23:49sur trois mois.
23:49C'est mon cadeau bonus,
23:50François.
23:51C'est pour vous.
23:52Visibilité et test
23:53pendant un mois.
23:54Engagement communauté
23:55pendant deux mois.
23:56Et fidélisation et consolidation
23:57sur ce qui a été fait
23:58pendant le troisième mois.
23:59Il faut faire des tests
24:00sur trois mois.
24:01Vous verrez sur l'engagement
24:02sur la communauté
24:03et sur les produits
24:04que vous avez à mettre en avant.
24:05Et autour du nom
24:06et du prénom,
24:07François Petit,
24:07on est d'accord ?
24:08Je pense qu'on peut le faire aussi.
24:08Ce ne sera pas plus mal.
24:09Bon,
24:10très bien.
24:10Voilà cette émission.
24:11On suivra bien sûr
24:12l'évolution
24:13de Climb Up
24:14dans Champion du sport
24:16au business
24:16sur Sud Radio.
24:17Merci
24:18pour notre réalisateur,
24:21Anthony Hurvois,
24:22pour notre responsable,
24:23justement,
24:24réseau social,
24:25Elvin de Fazio.
24:26Thomas Binet,
24:27rendez-vous même heure
24:28la semaine prochaine.
24:29Avec plaisir.
24:29Et puis merci et bravo
24:30François Petit.
24:31Et surtout,
24:31n'hésitez pas
24:32à nous tenir au courant
24:33dès que vous donnez naissance,
24:35par exemple,
24:35de nouveaux projets.
24:37À bientôt,
24:38François Petit.
24:39Merci.
24:40Merci.
24:41Merci et bonne soirée.
24:42Bonne soirée.
24:43Et tout de suite,
24:43justement,
24:44nous poursuivons avec Anthony
24:45Martin Smith.
24:46Il faut que ça change.
24:47Sous-titrage Société Radio-Canada