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NewsTranscription
00:00On a beaucoup parlé de volontaires français qui vont se battre avec les Ukrainiens,
00:06contre les Russes, contre les envahisseurs russes.
00:09Mais, mais, il faut le dire, et ça a été nié, et sauf que ça existe,
00:13il y a des Français qui sont portés volontaires,
00:16qui se sont portés volontaires avec les Russes pour se battre contre les Ukrainiens.
00:20Alors, ça a été très contesté, mais aujourd'hui, c'est acté.
00:26Minorité, bien sûr, mais ils sont là, et on a voulu parler,
00:29et ils ont pris le nom de Normandie-Nyémen.
00:33Et Normandie-Nyémen, donc, qu'est-ce que c'est que ce régiment de chasse, Normandie-Nyémen ?
00:39Voici ce qu'en dit, donc, une journaliste de LCI, il y a quelques jours.
00:44Alors, cette unité qui combattrait aux côtés des forces russes,
00:47vous avez entendu son nom, Normandie-Nyémen.
00:49Avant d'expliquer de qui il s'agit, pourquoi Normandie-Nyémen, cela signifie,
00:53c'est le nom d'une unité célèbre de l'armée de l'air française
00:55qui a été créée pendant la Seconde Guerre mondiale.
00:57C'est une unité de chasse, donc, avec des pilotes de l'air français
01:01qui utilisaient, donc, à l'époque des Mirages.
01:04Alors, voilà, c'est là où ça devient vraiment poétique,
01:08qui utilisaient, à l'époque, des Mirages.
01:11Donc, à l'époque, effectivement,
01:13ce régiment, c'était donc entre 40 et 44,
01:18et je rappelle simplement que le premier Mirage est apparu dans les années 60.
01:22Donc, on fait une rétrospective extrêmement intéressante
01:28et on fait naître le Mirage 20 ans plus tôt.
01:31Vous savez, c'était très simple, hein ?
01:32Elle aurait dû dire, cette journaliste sympathique,
01:37la page du Wikipédia jusqu'au bout, parce qu'elle a lu le début.
01:40Et que dit la page Wikipédia ?
01:41Notamment, le régiment de chasse 230 Nombandine-Yémen
01:44est une unité de combat de l'armée de l'air et de l'espace français.
01:48Lors de sa mise en sommeil en 2009,
01:51le régiment était équipé de chasseurs Mirage.
01:54Et la Lussa a rapidement dit,
01:55« Ah, ben, chasseurs Mirage, allez ! »
01:57Ben, c'était déjà là, à ce moment-là, voilà.
01:59Alors que ça a été créé par les forces françaises libres en 1942,
02:04et ça a été engagé en Union soviétique sur le front de l'Est.
02:06C'est pour ça, je rappelle, qu'il porte, à l'époque,
02:11le double nom de Normandie, la région française, bien sûr,
02:13et de Niémen, qui est un fleuve de l'ex-Union soviétique
02:16qui se gêne en l'Est de la mer Baltique.
02:18Voilà !
02:19Alors, elle a vu un mirage, vous savez, comme dans le désert, ça arrive.
02:24Et là, c'était le désert de l'information.
02:26Berger, mais là, malheureusement,
02:27c'est pas l'orientisme de la seule maison dans mon cœur.
02:31C'était pas ça du tout.
02:32Vous savez, depuis un an, un retraité de 95 ans,
02:34j'ai bien de 95 ans en vie, un véritable enfer.
02:38Il est propriétaire d'une maison à Poitiers.
02:39Il a vu son bien squatter.
02:41Alors, entre la mairie et le préfet qui se renvoie la balle,
02:45le nain ingénieur se retrouve obligé,
02:47alors qu'il n'occupe plus sa maison depuis un an,
02:50de payer la facture d'eau.
02:52Son bien a été squatter d'octobre 2023 à février 2025.
02:57Vous voyez, il y a encore deux mois.
02:58En plus de retrouver le logement dans un état lamentable,
03:02il reçoit une facture d'eau de plus de 17 000 euros.
03:06Voilà.
03:06On lui a dit qu'il était squatter.
03:08On lui a demandé de saisir le préfet.
03:11Le préfet rejette la demande d'expulsion.
03:13On ne sait pas si ça a été Manos, voie de fée, etc.
03:16Donc, ça commence le cycle infernal.
03:21L'huissier a...
03:22Ils l'ont dit.
03:24D'ailleurs, on a forcé le garage.
03:26Eh bien, voilà.
03:28La mairie a menacé le client de rendre sa maison
03:31qui se trouva en face d'une école
03:32inhabitable à arrêter préélectorale
03:34pour cause d'insalubrité.
03:36Donc, en février 2025,
03:38je raconte ça parce que c'est hallucinant,
03:40le couple finit par quitter les lieux
03:42sous la pression de l'huissier et de l'avocat.
03:44Mais quand il a vu
03:46que l'état de la maison,
03:49les hésibilités arrachées,
03:50l'eau coulée à flot.
03:51Et donc, la facture,
03:5217 364,16 euros
03:55qui doit être payée par le non-ingénaire
03:58puisque le compteur d'eau est resté au nom du propriétaire.
04:01Et voilà comment on rend la justice.
04:03On va en parler,
04:04avec Jean-Marie Rouart et son livre.
04:09Voilà.
04:10Il n'est pas seul, ce non-ingénaire.
04:13Une propriétaire a découvert
04:15que ses locataires de longue durée,
04:16devenus squatteurs,
04:17sous-louvés son bien sur Airbnb
04:19à un prix exorbitant.
04:21Lorsqu'il a fait intervenir la justice,
04:24le couple n'a plus payé les loyers
04:26et a pu rester à la maison
04:27pendant un trêve hivernal.
04:29Et voilà.
04:29Et encore, d'habitude,
04:31ça dure beaucoup plus longtemps.
04:32Voilà.
04:33Squatter, vous voyez,
04:34ce n'est pas toujours,
04:37ce n'est jamais d'ailleurs très romantique.
04:39Et force de loi partie à qui ?
04:42Au squatteur ?
04:43C'est quand même embêtant, ça, non ?
04:45N'est-il point ?
04:46Sud Radio Bercov dans tous ses états.
04:49Eh oui, la raison,
04:50mon riche chevalier,
04:51tout ça sans si bon la France.
04:54Et d'ailleurs,
04:55qui le dit encore plus aujourd'hui ?
04:57Eh bien, il a accordé
04:58le ministre de la Justice,
04:59Gérald Darmanin.
05:00Je rappelle que Gérald Darmanin
05:01était aussi,
05:02il n'y a pas si longtemps,
05:03ministre de l'Intérieur.
05:04Et il a accordé
05:07aux médias en ligne légende
05:09chez Guillaume Plé,
05:10chez le podcasteur Guillaume Plé,
05:12il a parlé de la situation actuelle.
05:16Écoutez,
05:17ça vaut son pesant
05:18d'autorité et de gouvernance.
05:20Écoutez.
05:20Est-ce que la France,
05:21c'est plus dangereux qu'avant ?
05:22Elle est plus violente.
05:23C'est dangereux, je ne sais pas.
05:25Vous qui avez les chiffres,
05:26en fait, de l'intérieur.
05:27C'est plus violent
05:28et ça touche plus
05:29partout, tout le temps.
05:31En fait, je pense que,
05:32moi, j'ai toujours entendu
05:32quand j'étais petit,
05:33quand on allait en ville,
05:35quand on sentait
05:35que c'était pas un...
05:36Ouais, fais attention.
05:37C'est normal, faire attention.
05:38Quand j'allais au stade de foot
05:39à Valenciennes,
05:39fais attention quand même.
05:41Mais ma mère m'a jamais dit
05:43fais attention
05:43quand j'allais voir mon oncle
05:44dans le village d'à côté.
05:46Maintenant, je pense que
05:47ma mère me dirait
05:48fais attention.
05:49Encore aujourd'hui ?
05:50Ouais, je pense qu'il n'y a plus
05:50de lieu safe, en fait.
05:51Je pense que c'est ça qui...
05:52La drogue, par exemple,
05:53elle a toujours existé, la drogue.
05:54Mais aujourd'hui,
05:55on voit bien que
05:56moins de petites bourgades
05:56de ruralité
05:57connaissent la coke,
05:58le cannabis.
06:03Donc, je pense que
06:06ce qui marque beaucoup
06:06les Français,
06:08c'est que ça s'est généralisé,
06:11métastasé, quelque part.
06:12Vous voyez ?
06:12C'est plus que dans les endroits
06:13où on cherchait le problème
06:14potentiel.
06:16On allait sur les Champs-Elysées,
06:17à Paris,
06:17on savait qu'on pouvait
06:18éventuellement tomber
06:19sur un voleur
06:19ou un mouvement de foule.
06:21Voilà.
06:22Qu'est-ce qui se passe ?
06:23Eh bien, c'est très simple.
06:24Il l'a dit.
06:25Ancienne mise de l'intérieur,
06:27actuelle mise de la justice.
06:28Il n'y a plus de lieu safe
06:30en France.
06:31Et dire que d'autres
06:31parlaient de sentiments
06:33d'insécurité.
06:34Sous-titrage Société Radio-Canada