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  • 04/05/2025
Regardez On Refait le sport avec Jean-Michel Rascol du 04 mai 2025.

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News
Transcription
00:00RTL, on refait le sport avec le Parisien aujourd'hui en France.
00:07Jean-Michel Rascol
00:08Bonsoir, heureux de vous retrouver pour une nouvelle grande soirée de sport sur RTL.
00:19D'abord 45 minutes ensemble pour se nourrir de l'actu du week-end.
00:23Puis à 20h, RTL Foot est l'affiche de Ligue 1 Lille-Marseille,
00:26un match capital dans la course à la Ligue des Champions.
00:30Quatre rencontres de Ligue 1 se jouaient justement cet après-midi, Raphaël Bardena.
00:34Et ça vient de se terminer entre Lyon et Lens, deux buts à 1 avec des buts de Koyalipou et Zaroury pour Lens,
00:39but de Mikotazé pour Lyon.
00:40Brest s'est imposé 1 à 0 face à Montpellier et une victoire très importante pour le Havre
00:45qui gagne deux buts à 1 à Auxerre.
00:47Et un peu plus tôt dans la journée, Angers s'est imposé 1 à 0 à Nantes grâce à un but d'Alvina.
00:53Clément Dossin de la direction des sports du Parisien aujourd'hui en France est avec nous.
00:57Bonsoir Clément.
00:58Bonsoir Jean-Michel, bonsoir à toutes et à tous.
01:00C'est la sensation Clément de l'après-midi.
01:02Bordeaux a battu Toulouse 35-18 en demi-finale de la Champions Cup.
01:06Et quel match, c'était fantastique.
01:08Pierre Ferracci, le président du Paris Football Club, sera avec nous dans quelques instants
01:12pour évoquer la montée du club en Ligue 1.
01:15Léon Marchand, accuse-t-il le contre-coup des Jeux Olympiques ?
01:19Élément de réponse avec notre consoeur du journal L'Équipe, Cécile Noni, qui a rencontré le champion à Austin.
01:25Bonsoir Madame.
01:25Bonsoir Monsieur.
01:29Le sport peut-il briser des athlètes mais jamais la passion ?
01:33Nous sommes heureux de recevoir Tiffany Huot Marchand, championne de short track, victime d'un très grave accident sur la glace.
01:40Les médecins lui annoncent qu'elle ne remarchera probablement jamais.
01:44Et pourtant, bonsoir Tiffany, vous allez nous raconter votre histoire, histoire que vous confiez dans un ouvrage
01:50Avec toute mon âme, écrit en collaboration avec notre confrère Rémi Fierre, aux éditions en exergue.
01:57Bonsoir.
01:57Bonsoir.
02:00RTL, on refait le sport jusqu'à 20h.
02:05Bordeaux-Bègle, Northampton, ce sera donc l'affiche de la finale de la Champions Cup le 24 mai.
02:10C'est à Cardiff.
02:11Bonsoir Clara et Chary.
02:13Bonsoir.
02:15Clara, vous nous entendez ?
02:16Oui, et vous ?
02:17Oui, très bien.
02:19Vous êtes au Matmut Atlantique à Bordeaux, où la clameur, on l'imagine, va se prolonger.
02:25Oui, je suis dans les entrées du stade en fait, et c'est peut-être pour ça que vous ne m'entendez pas très bien.
02:28Il y avait, oui, clameur, puisqu'il y avait 42 096 personnes au Matmut.
02:32Alors un stade coupé en deux, certes.
02:34Bleu marine d'un côté, rouge et noir de l'autre.
02:36Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas vu un stade Matmut aussi rempli.
02:40Les supporters ont donné de la voix sur un match à haute intensité et pour un résultat à la hauteur pour les supporters de l'UBB.
02:47Écoutez.
02:48C'était un match incroyable, une première mi-temps un peu serrée, mais en deuxième mi-temps, on a renversé le jeu et c'était incroyable.
02:54Bravo l'UBB.
02:55On a fait un gros match, on a été concentrés sur tout le match. Les 80 minutes, on les a jouées à fond. Il n'y a pas eu de relâchement, beaucoup merci.
03:02On a vécu une demi-finale sensationnelle contre Toulouse en plus, qui était la référence. Dans un écran, un stade magnifique, un temps magnifique.
03:08Et franchement, au niveau du spectacle, nous on est abonnés de l'UBB. On a mérité de gagner ce match. Chaque année, on franchit un palier. Et la scène de plus, ça fait plaisir.
03:18Donc vous l'entendez, un match à rebondissement qui a mis des étoiles dans les yeux des supporters. En plus, l'UBB avait été battu lors des trois précédentes confrontations avec Toulouse en phase finale.
03:28Donc ça y est, le club bordelais tient enfin sa revanche.
03:31Clément, on le disait, c'est une sensation.
03:33Oui, c'est une sensation. Et au-delà de ça, je me demande si on n'a pas assisté, alors il est sans doute prématuré de le dire, mais à une passation de pouvoir.
03:41On était resté dans le souvenir d'une raclée en finale du top 14 l'an dernier, où les Bordelais n'avaient pas existé.
03:48Ils étaient arrivés éreintés en finale.
03:51Et là, ils sont les premiers à battre Toulouse dans un choc franco-français en phase finale de la Coupe d'Europe.
03:56Certes, Brieff s'était qualifié une fois, mais c'était après un match nul à la faveur des essais.
04:00Et on sent qu'il se passe quelque chose quand même cette saison à l'UBB.
04:03Ils avaient déjà battu deux fois Toulouse en saison régulière de top 14.
04:08Je serais curieux de voir comment ça va se passer lors des prochains rendez-vous.
04:11Et bien justement, l'un des acteurs de ce match cet après-midi est avec nous, Clara.
04:15Oui, tout à fait. On a Nico Orter avec nous.
04:18Il faisait son retour depuis le 23 mars, où il avait déjà affronté Toulouse et déjà au Matmut.
04:24Nicolas, alors, quelle réaction après ce match ?
04:26Quelle réaction ? Juste incroyable.
04:28On est super heureux d'avoir gagné contre Toulouse ce soir.
04:32Maintenant, on se dirige à la quartier pour la finale et on espère que ce sera tout aussi beau.
04:36Comment vous l'avez vécu de l'intérieur ?
04:39Ça n'a pas arrêté, c'était festival d'essais.
04:42Vous avez quand même réussi à étouffer Toulouse petit à petit.
04:45Comme on l'a vécu, c'était juste incroyable, mémorable.
04:48En plus avec ce public qui est impressionnant.
04:51On ne s'entendait pas sur le terrain, on gueulait comme des ânes.
04:54Mais c'était abusé, l'ambiance qu'il y avait.
04:56Et franchement, je remercierais toujours ce public parce qu'il est extraordinaire.
04:59Je ne vais pas dire qu'il nous fait gagner des matchs, mais bon, il nous apporte un gros plus sur des matchs comme ça.
05:04Nicolas, vous nous entendez ?
05:06Oui, très bien.
05:07On a quelques inquiétudes pour Damien Penaud.
05:10Est-ce que vous pouvez nous rassurer ou malheureusement confirmer qu'il est bien blessé à la jambe ?
05:15Oui, donc il a, je pense, une grosse entorse à la cheville.
05:18Après, on ne sait pas exactement ce qu'il a.
05:20On va voir le diagnostic, je pense, demain.
05:22Mais c'est vrai qu'il avait assis une grosse cheville.
05:25Donc j'espère que ce n'est pas trop grave.
05:27Mais bon, ça ne sent pas très bon, je pense.
05:30Est-ce qu'au début de la saison, Cardiff était une ambition marquée, en tout cas, une ambition ouverte pour Begle-Bordeaux ?
05:39Oui, bien sûr.
05:39Au début de saison, on s'était donné des objectifs.
05:42On est en top 2 en top 14 et dans la table des grands.
05:47Donc pour l'instant, c'est chose faite.
05:49Il reste encore une étape et on va tout faire pour Yannick Garret.
05:52Nicolas, un mot sur cet essai absolument fantastique de Louis Bip-Bip-Biel-Biarret en début de seconde période,
05:58qui vous a fait un bien immense, non ?
06:01Oui, il fait du bien à la tête.
06:03On sait comment c'est dur, les rentrées de deuxième mi-temps.
06:05Souvent, nous, personnellement, en Bordeaux, on est un peu dans le dur, on est fatigué, tout ça.
06:10Mais là, pour le coup, on est très, très bien rentré.
06:13Mathieu qui est proche et parfait.
06:15Louis, c'est une chose qui passe comme on aime à Bordeaux.
06:18À Bordeaux, franchement, il fait du bien.
06:21Après un essai comme ça, une rentrée de deuxième mi-temps comme ça, on pourrait se relâcher un peu.
06:25Là, on a montré qu'on ne baissait pas les bras et qu'on continuait à enfoncer le clou sur cette équipe de Toulouse.
06:30Donc ça nous a réussi et on espère que ça a continué comme ça.
06:34Ça se fait une qualification pour la finale ou on a tendance à mettre le pied sur le frein ?
06:39Non, on n'a absolument rien gagné pour l'instant.
06:43Il reste encore un très gros match, cette finale.
06:46Donc là, on va bien récupérer parce qu'on re-rentre en top 14.
06:50On sait que c'est dur aussi.
06:51Donc on va bien récupérer.
06:53On a bien vu qu'on avait quelques blessés.
06:55Donc la fin de saison, ça va être dur.
06:57Mais on va s'accrocher pour continuer à postuler sur les deux tableaux.
07:01Top 14 et espérer gagner cette Coupe d'Europe.
07:03On a remarqué d'ailleurs, Clément, que les Toulousains ne sont pas très bons perdants.
07:10Les déclarations de Ntamak, notamment, disant qu'ils n'étaient pas plus forts que nous.
07:17Ils ne nous étaient pas réellement supérieurs.
07:19En tout cas, il a reconnu que l'UBB était plus réaliste, qu'elle avait marqué les points quand il le fallait.
07:23Contrairement à eux, les Toulousains.
07:25Mais oui, on peut y voir un peu d'amertume peut-être pour les Toulousains habitués au final.
07:30Ça s'est bien terminé après le match, Nicolas Deporter, entre Bordelais et Toulousains ?
07:37Oui, bien sûr.
07:38On est tous très bien.
07:39On s'est serré les mains.
07:41Les mains nous ont souhaité de gagner cette finale.
07:43Après, on sait ce que ça fait de perdre un match.
07:45On a un petit goût d'amertume.
07:47Donc ils n'allaient pas sauter de joie parce qu'ils avaient perdu.
07:49Donc je comprends les paroles de certains.
07:52Nous, on passe vite à autre chose.
07:54On est très heureux de cette victoire.
07:56Et on va tout faire pour aller chercher ce trophée dans trois semaines.
07:59Nicolas, on va vous remercier ainsi que Clara.
08:03On a des tout petits soucis techniques, mais on a bien compris le discours.
08:07Bordeaux est sur la pente ascendante compte tenu de cette finale.
08:11Qu'il faut le préciser, se disputera le 24 mai à Cardiff.
08:14Et nous allons accueillir notre consultant rugby, Olivier Magne.
08:17Bonsoir Olivier.
08:19Bonsoir Jean-Michel.
08:20Est-ce que, comme nous, vous êtes toujours un peu sur cette sensation ?
08:23Le champion en titre a chuté.
08:27Oui, oui, tout à fait.
08:28C'est toujours surprenant.
08:29On imagine toujours Toulouse gagner à la fin des rencontres qu'elle dispute,
08:34notamment dans les phases finales.
08:36Et aujourd'hui, c'est un nouvel arrivant qui a réussi à battre Toulouse avec la manière en plus.
08:42Donc c'était vraiment un match remarquable de la part des Bordelais.
08:45Et on espère évidemment qu'ils vont aller au bout et gagner la finale.
08:48C'est la deuxième surprise du week-end, en somme Olivier,
08:51parce que la victoire de Northampton hier contre l'Einster n'était pas forcément attendue.
08:55Qu'est-ce qu'on peut anticiper, prévoir de cette finale entre l'UBB et Northampton ?
09:01Énormément de jeux.
09:03On l'a vu hier, cette équipe de Northampton, elle a vraiment des qualités sur le plan offensif.
09:08Et voilà, elle ressemble un petit peu à celle de Bordeaux,
09:11qui met aussi beaucoup d'essais, qui met beaucoup de rythme dans son jeu.
09:14Donc on peut s'attendre à un match très spectaculaire.
09:17Donc c'est intéressant de voir ce rugby-là,
09:20de voir des joueurs qui se dirigent beaucoup plus vers l'attaque
09:24que sur l'aspect défensif et sur un rugby minimaliste.
09:28Donc voilà, je dirais que c'est une belle parenthèse de rugby ce week-end
09:32que nous a offert à la fois Northampton et l'UBB.
09:36Ce qu'il faut préciser aussi, c'est qu'on parle depuis tout à l'heure de passation de pouvoir,
09:39mais il y avait aussi une équipe du Stade Toulouse avec de nombreux blessés.
09:41Il n'y avait pas King Horn, il n'y avait pas Thomas Ramos, Antoine Dupont aussi.
09:45Et c'est une équipe, Movaka également, c'est une équipe qui s'est battue avec ses armes, Olivier.
09:49Ils n'ont pas été honteux, on va dire.
09:52Ils n'ont pas été ridicules, les Toulousains.
09:54Ah non, non, non, ils n'ont pas été ridicules.
09:56Et on voit bien que c'est une équipe qui, même avec des joueurs absents,
09:59est capable de mettre 40 points.
10:01On le voit en championnat avec de jeunes joueurs, des espoirs.
10:05Elle est capable d'être leader du championnat du Top 14,
10:09qui est quand même un championnat très difficile.
10:10Donc on pouvait s'attendre à une victoire, un match très disputé contre l'UBB.
10:15Mais l'UBB a su relever le défi et mettre vraiment tous les atouts de son côté.
10:19Elle a été dominatrice, cette équipe de Bordeaux, sur tous les aspects du jeu.
10:24Et voilà, Toulouse a eu affaire à plus fort que lui.
10:26Une finale de Top 14 l'an dernier, une finale de Coupe d'Europe cette saison.
10:31Qu'est-ce que vous voyez, qu'est-ce que vous sentez de l'évolution de cette équipe bordelaise ?
10:38Moi, j'y vois un projet qui est construit depuis maintenant,
10:43depuis une quinzaine d'années, avec l'arrivée de Laurent Marty.
10:47Et une équipe, un club qui se structure à tous les étages, je dirais, de son projet.
10:53Que ce soit sur la formation, que ce soit avec sa structure, avec le stade qui est magnifique à Bordeaux.
10:59Qui est quasiment rempli à toutes les rencontres.
11:02Donc voilà, c'est un petit peu l'aboutissement de tout ce travail.
11:05Et je vois une équipe de Bordeaux qui non seulement va se qualifier,
11:10se qualifie évidemment pour cette finale et on espère va la gagner.
11:13Mais va être là sur la durée.
11:15Je crois que c'est une équipe qui a connu des défaites difficiles.
11:20Mais qui lui ont permis aussi de construire ce projet.
11:23Et l'amener là où elle est aujourd'hui, avec vraiment un très beau rugby qui plaît à beaucoup de monde.
11:28Olivier, une finale anglaise et française au Pays de Galles.
11:33Il n'y a pas un truc qui cloche ?
11:35Oui, mais dans un stade magnifique.
11:38C'est vrai que ce sera au Principality Stadium à Cardiff,
11:41qui peut accueillir plus de 80 000 personnes.
11:43Donc on peut imaginer que les Anglais et les Français,
11:47et notamment tous les supporters bordelais vont se faire un plaisir d'aller à Cardiff,
11:51qui est une ville magnifique pour faire la fête,
11:54pour fêter le rugby avec un spectacle qui sera certainement de grande qualité.
11:59Sachant que ce sera aussi la même chose la veille,
12:01vu qu'il y a la finale de la Challenge Cup.
12:03Et ce sera une finale franco-britannique aussi,
12:05avec Lyon qui affrontera les Anglais de Basse le 23 mai,
12:09donc la veille de la finale.
12:10Le vendredi soir.
12:11Merci Olivier Magne, à très vite.
12:12Donc le 23-24 pour ces finales européennes.
12:15À très vite.
12:17On refait le sport.
12:19Avec le Parisien, aujourd'hui en France, Jean-Michel Rascol.
12:24Oh là là là là là là là là.
12:26Oh là là là là là là là là là là là.
12:28Oh p*** !
12:29Je comprends Thierry Roland.
12:31Je pense et je comprends Thierry Roland.
12:33Mais quand on a vécu ça, on peut mourir.
12:35J'ai pris 40 ans, j'ai pris de trouver 50 fois ce soir.
12:38Et c'est vrai, pardon, s'il leur manque un peu de pelouse,
12:41j'ai mangé quelques brins.
12:42Parce qu'il faut garder le souvenir.
12:47Vous n'avez peut-être pas trouvé le mot,
12:51pardon, l'identité de Thomas Soto,
12:55qui était vendredi soir au téléphone,
12:58en train justement de partager sa joie
13:00de voir son club préféré monter en Ligue 1.
13:03En faisant donc match nul,
13:04un partout vendredi soir à Martigues,
13:06le Paris FC s'est assuré de retrouver cette Ligue 1
13:09après 46 ans d'absence.
13:11Bonsoir Pierre Ferracci.
13:13Bonsoir.
13:14Vous êtes le président du club depuis 2012.
13:17Vous êtes passé quatre fois très près.
13:19Cette fois, eh bien c'est la bonne.
13:22C'est la bonne, oui.
13:23Après quatre barrages perdus,
13:25c'est la bonne.
13:27C'est un bel aboutissement.
13:29En plus, le lendemain,
13:30les filles remportent la Coupe de France contre le PSG.
13:32Donc c'est un week-end de rêve.
13:34Ça récompense un travail formidable
13:37de toutes les équipes qui m'entourent
13:39depuis une douzaine d'années.
13:41Ce n'est pas facile de bâtir le deuxième club parisien.
13:44C'est compliqué.
13:45Les infrastructures ne sont pas tout à fait là.
13:47On est en train de les développer activement
13:49avec l'arrivée de la famille Arnaud et de Red Bull.
13:52Mais ça fait plaisir, oui.
13:54C'est un immense soulagement
13:55et c'est une immense joie surtout.
13:57Il y avait une belle fête hier à Martigues,
13:59enfin avant-hier à Martigues
14:01et puis hier à Calais
14:02puisqu'on est passés du sud de la France au nord
14:05pour avoir ces deux beaux succès
14:06de l'équipe féminine et de l'équipe masculine.
14:08Et les supporters vont à nouveau pouvoir connaître
14:10des derbys parisiens.
14:13Et ça, c'est important.
14:15Oui, parce que le derby,
14:16c'est le seul du football aussi.
14:18On le voit bien avec l'île de Lens
14:19ou Saint-Etienne-Lyon.
14:22Après, on est très loin du PSG pour l'instant
14:24et puis on va s'installer tranquillement en Ligue 1
14:26en étant conscient que beaucoup d'humilité,
14:30pas mal de prudence,
14:31mais ça n'empêche pas ni l'ambition
14:33ni la détermination des nouveaux actionnaires
14:35et du club parce qu'on a la chance
14:37effectivement d'avoir aujourd'hui
14:38équipé le club d'un potentiel économique
14:42de développement très puissant.
14:44Et je pense que petit à petit,
14:46on va s'installer en Ligue 1
14:47avec d'abord le souci d'y rester durablement,
14:49bien sûr, ne jamais redescendre en Ligue 2
14:51même si on sait qu'il peut y avoir des accidents.
14:53Mais en tout cas, le derby,
14:56tout le monde l'attendra,
14:56mais il y aura aussi de beaux matchs.
14:58Vous savez, le Vélodrome à Marseille,
15:00Lille, Lens, tous ces grands clubs,
15:02Strasbourg, ça fait rêver les supporters,
15:04les dirigeants et les actionnaires.
15:06Clément Dossin.
15:07Oui, Pierre, vous dites,
15:08on est encore loin du PSG,
15:09vous allez en être très près géographiquement,
15:11à une trentaine de mètres environ
15:13puisque c'est la distance
15:14qui sépare le Parc des Princes de Jambouin.
15:17Il était indispensable de déménager,
15:18de quitter Charletti pour Jambouin
15:20la saison prochaine ?
15:22Bien sûr, on est très attaché à Charletti,
15:24mais c'est un stade
15:25qui n'est pas fait pour le football.
15:28On est très loin du terrain,
15:30il n'y a pas d'hospitalité.
15:31Alors qu'on a le meilleur sponsoring de Ligue 2,
15:34on a parfois du mal
15:35à recevoir correctement nos partenaires.
15:38Donc, on est ravis d'aller à Jambouin,
15:39ravis de le partager avec un beau club de rugby,
15:41en espérant qu'ils restent d'ailleurs
15:42dans le top 14, le stade français,
15:44parce qu'ils sont un peu en difficulté.
15:46Mais on a trouvé un accord avec eux
15:48et puis ça se passe très bien.
15:50Bon, le fait d'être à quelques mètres du PSG
15:52nous donnera peut-être des ailes,
15:54parce que c'est un grand club
15:55dont je souhaite d'ailleurs
15:56qu'ils gagnent la Ligue des Champions cette année.
15:59Je crois que le travail qui est fait
16:00depuis des années le mérite aussi.
16:02Mais oui, encore une fois,
16:03ça change la vie d'être en Ligue 1
16:06et donc il fallait changer le stade,
16:08mais aussi nos infrastructures,
16:09puisqu'on est en train de passer à Orly
16:11de 8 hectares à 20 hectares,
16:12de 4 terrains à 9.
16:13Enfin, on va se mettre au diapason
16:15des ambitions du club
16:17et déjà du standing qu'on a atteint
16:19avec l'équipe masculine et l'équipe féminine,
16:22qui pour la quatrième fois
16:22va être en Ligue des Champions cette année,
16:24derrière les deux ocres que sont Lyon et le PSG.
16:28Il y a les play-offs aussi qui nous attendent,
16:29encore une fois avec le PSG.
16:31Donc ça fait une belle ambition
16:33et puis des infrastructures
16:35qui petit à petit se mettent
16:36au niveau de ces ambitions.
16:38Président, le changement d'actionnariat
16:39avec l'arrivée aux commandes
16:40de la famille Arnaud
16:41est un gage de sécurité économique.
16:44Avez-vous une idée,
16:45vous qui êtes aussi un homme de l'entreprise,
16:47de votre budget pour la saison prochaine ?
16:50J'ai bien sûr une idée,
16:51mais je ne vais rien vous révéler.
16:53Je suis d'ailleurs en train de travailler là-dessus.
16:54Vous voyez, même le dimanche,
16:55même au lendemain d'une victoire.
16:57Mais les sous, c'est tous les jours.
16:58Bien sûr, mais vous savez,
17:00il y a une crise économique profonde aujourd'hui
17:02sur le plan des droits audiovisuels,
17:04quelque chose qui n'est pas très satisfaisant
17:06pour les clubs de Ligue 1 comme de Ligue 2.
17:08Donc définir le budget,
17:10ça prend en compte ce terme de l'équation.
17:13Donc voilà, on va faire un budget
17:15qui va nous permettre, je l'espère,
17:17de nous maintenir de façon,
17:19je ne dis pas tranquille,
17:20parce qu'il n'y a pas de tranquillité en Ligue 1.
17:21On a vu des clubs comme Rennes, par exemple,
17:25qui ont démarré très mal le championnat
17:26avec pourtant un des plus gros budgets de la Ligue 1.
17:29Mais on va essayer de se donner les moyens économiques
17:31de se maintenir en Ligue 1 la saison prochaine.
17:35L'équation budgétaire,
17:36elle n'est pas évidente pour tous les clubs aujourd'hui.
17:39Donc on est en train de travailler là-dessus.
17:41Et puis j'espère que Nicolas Taverneau
17:42fera un gros travail
17:44pour nous sortir de l'impasse
17:46dans laquelle on s'est mis.
17:48Enfin, en tout cas,
17:48la Ligue professionnelle s'est mise.
17:50Si vous ne dites rien sur le budget,
17:53dites-nous tout sur le Mercato.
17:54Il va falloir se renforcer un peu quand même.
17:55Encore moins sur le Mercato, d'abord.
17:57Vous savez qu'une négociation
18:00qui s'ébrouille,
18:01c'est une négociation
18:02qui a toutes les chances de mal s'éterminer.
18:04Plus sérieusement,
18:05quelles sont les grandes lignes
18:06de recrutement à venir ?
18:09On va faire une équipe compétitive.
18:12On va garder une bonne partie de l'effectif
18:14parce qu'ils le méritent,
18:16les joueurs qui ont fait l'accession.
18:19Mais il y aura du changement
18:20parce qu'on est en Ligue 1
18:21et qu'effectivement,
18:22il faut se mettre au diapason.
18:23Vous savez,
18:24j'avais annoncé juste avant l'hiver,
18:26après l'arrivée de la famille Arnaud,
18:27qu'il n'y aurait pas d'excès
18:28pendant le Mercato de janvier.
18:30On a fait deux recrutements
18:31qui ont été d'ailleurs
18:32très performants tous les deux.
18:34Bon,
18:34on va faire un recrutement
18:35plus important au Mercato,
18:37mais on va essayer de se situer.
18:40Je ne vais pas donner
18:42de cible de place,
18:43mais je ne vais pas la jouer
18:43non plus à la guirou
18:44dans le genre
18:45où on va jouer à ne pas descendre.
18:46Mais c'est un peu ça.
18:47Quand on arrive après 46 ans
18:50sans avoir connu la Ligue 1,
18:52le monde a bien changé.
18:54On va faire preuve d'humilité.
18:56Antoine Arnaud avait annoncé
18:57avec moi dans la conférence de presse
18:59du mois de novembre
19:00qu'on ne brûlerait pas les étapes,
19:02qu'on ne se prendrait pas
19:03pour le PSG.
19:04Ce n'est pas le sujet d'aujourd'hui.
19:06Mais par contre,
19:06que l'ambition serait à terme
19:08de s'installer
19:09dans la première partie
19:10du classement
19:10et donc de viser
19:11les coupes européennes.
19:16Aujourd'hui,
19:16la Ligue 1,
19:17c'est la première moitié
19:17du tableau qui joue l'Europe
19:19et la deuxième moitié
19:19qui joue à ne pas descendre.
19:21On va s'efforcer
19:22dans un premier temps
19:23de ne pas descendre
19:23et ensuite de s'installer
19:24dans la première partie du tableau.
19:26Puis après,
19:27les ambitions viendront
19:28avec les objectifs
19:29du nouvel actionnaire,
19:31la famille Arnaud
19:31qui a la majorité du club
19:33et puis qu'il y a Red Bull
19:34qui l'accompagne
19:35dans cette aventure.
19:37Et moi,
19:37quand je sortirai
19:38du capital
19:39et de la présidence
19:39dans deux ans,
19:40j'espère que le club
19:41sera sur de bons rails
19:42et qu'il sera très compétitif
19:44en Ligue 1.
19:45Je suis très conscient.
19:46L'objectif est aussi
19:47de faire
19:48deux très beaux centres
19:49de formation
19:50parce que le moteur économique
19:52de demain,
19:53c'est et ça restera
19:53toujours la formation.
19:54et en région parisienne,
19:56on aurait tort
19:57de ne pas regarder
19:58le potentiel
19:59que cette région représente.
20:02Donc,
20:02c'est un objectif
20:02qui est aussi important
20:03pour moi
20:04et pour la famille Arnaud
20:05que de viser
20:06telle ou telle place,
20:07avoir vraiment
20:07un centre de formation
20:08d'excellence.
20:10Je crois que la région parisienne
20:11le mérite.
20:11Le PSG passé par là
20:12est un très beau centre
20:13de formation.
20:14On va faire
20:15de même demain.
20:16Merci,
20:16Pierre Ferracci.
20:17La formation,
20:18l'autre point clé
20:20du Paris Football Club
20:21pour les années qui viennent.
20:23Merci pour ces précisions.
20:24et on visera aussi
20:26la fin du championnat
20:27de Ligue 2,
20:28Raphaël,
20:28parce que le PFC
20:30peut encore être champion
20:31mais n'est pas maître
20:32de son destin.
20:33Oui,
20:33il faudra gagner
20:34face à Ajaccio
20:35et que Lorient
20:36ne gagne pas
20:37face à Martigues
20:39chez lui.
20:39Merci.
20:40Dans le reste de l'actualité,
20:41en basket,
20:42Raphaël,
20:43le championnat de France
20:43toujours aussi indécis
20:44après la 28ème journée.
20:47Le Paris Basket
20:48est désormais deuxième
20:48après sa victoire
20:5078 à 71 à Limoges.
20:53Les Franciliens
20:53sont derrière Lasvelle,
20:55le premier du classement
20:56qui se déplace en ce moment
20:57à Cholet
20:58et pour le moment
20:59on est dans le deuxième quartan
21:00et Lasvelle mène
21:0122 à 18.
21:03En tennis,
21:03c'est la finale
21:04du tournoi de Madrid.
21:06Le Britannique
21:06Jack Draper
21:07affronte
21:08le Norvégien
21:09Kasper Rudd
21:10et pour le moment
21:10c'est Rudd
21:11qui mène
21:12et qui vient de prendre
21:12le premier set
21:137 à 5.
21:14En bas,
21:15le PSG a retiré
21:16cet après-midi
21:17le numéro 44
21:18de Nicolas Karabatic
21:19le jeune retraité
21:21qui a joué en Ile-de-France
21:22entre 2015 et 2024
21:23était présent
21:24pour cette occasion
21:25et juste avant sa cérémonie
21:27il a pu assister
21:29à la victoire
21:30du club de la capitale
21:3137 à 26
21:32face à Limoges.
21:32Et en formulant
21:33on suivra bien sûr
21:34le Grand Prix de Miami
21:35ce soir.
21:35Départ à 22h
21:37on plonge dans les bassins
21:38avec Léon Marchand
21:39dans quelques instants.
21:42RTL
21:43on refait le sport
21:45jusqu'à 20h
21:46avec le Parisien
21:48aujourd'hui en France
21:49Jean-Michel Rascol
21:51C'est ce qu'on attendait
21:53son premier titre olympique
21:54médaille d'or
21:55pour Léon Marchand
21:56applaudi
21:57oui applaudi
21:58vous avez raison
21:59champion olympique
22:002 minutes 5 secondes
22:02oh là là
22:03il était vraiment pas loin
22:04du record du monde
22:05extraordinaire
22:06incroyable
22:07alors là
22:07tu peux monter
22:09sur la ligne Léon
22:09tu peux
22:10mais il a le record olympique
22:12le record olympique
22:13le 4ème record olympique
22:14le 4ème record olympique
22:15et le 4ème médaille d'or
22:17pour Léon Marchand
22:17ça c'était notamment
22:19hier les Jeux Olympiques
22:20avec Isabelle Langer
22:22mais que faut-il penser
22:23de la rentrée
22:24ces derniers jours
22:25dans les bassins
22:26de Léon Marchand
22:27nous nous posons
22:28la question ce soir
22:29avec un soupçon d'inquiétude
22:30il faut bien le dire
22:31le héros des Jeux de Paris
22:32a achevé
22:32ses compétitions de reprise
22:34par une défaite ce matin
22:35sur le 200 mètres 4 nages
22:36à Fort Lauderdale
22:38en Floride
22:38distance sur laquelle
22:40il s'était imposé à Paris
22:41il avait déjà cédé
22:42sur le 4 fois 100 mètres 4 nages
22:44il y a 48 heures
22:45alors faut-il s'inquiéter
22:46Clément ?
22:48non
22:48voilà au moins
22:49c'est clair
22:50non absolument pas
22:51on n'attendait pas
22:54de Léon Marchand
22:54qu'il fasse des miracles
22:55lui-même disait
22:56la nuit dernière
22:57j'attendais de savoir
22:58où j'en suis
22:58maintenant je sais
22:59c'est-à-dire qu'effectivement
23:00il n'est pas au top
23:01mais
23:02ce n'est que pure logique
23:05en fait
23:05il a fait un break
23:07il a fait le choix
23:08de partir en Australie
23:11alors certes pour continuer
23:12à s'entraîner
23:12mais aussi
23:13pour faire autre chose
23:15voir autre chose
23:16s'éloigner aussi
23:17je pense un peu
23:17de la France
23:18et puis de toute la ferveur
23:19qu'il y avait autour de lui
23:20accessoirement
23:21il s'est blessé
23:22donc ça a aussi retardé
23:24un petit peu
23:24son entraînement
23:26voilà
23:26maintenant
23:27effectivement
23:28il est
23:29il est là où il est
23:31en fait
23:31je ne sais même pas
23:32si on peut dire
23:32qu'il est en retard
23:32parce qu'il n'y avait pas
23:33vraiment de plan de marche
23:34sur cette saison
23:35bon ben voilà
23:36il va falloir qu'il bosse
23:37il le sait
23:38Céline Nony
23:39vous avez rencontré
23:40Léon Marchand
23:41il y a 3 semaines
23:41aux Etats-Unis
23:42il confiait que
23:43l'après-gio
23:44avait quand même
23:44été dur à digérer
23:46oui il confiait
23:47qu'il avait pris
23:48la tempête
23:48effectivement
23:50même s'il était
23:52conscient
23:54que
23:55ses résultats
23:56pouvaient amener
23:57une nouvelle vie
23:59son entraîneur
24:00Bob Bowman
24:01l'avait prévenu
24:02qu'à partir
24:02du moment
24:03où il aurait
24:04des médailles d'or
24:05il ne s'appartiendrait plus
24:06malgré tout
24:07Léon pensait
24:08assez naïvement
24:09je crois
24:10qu'au bout de quelques semaines
24:12ça allait se calmer
24:12évidemment pas du tout
24:15ça ne s'est pas du tout
24:16calmé
24:17le club de Toulouse
24:20reçoit toujours
24:21des courriers
24:22et des demandes
24:23de photos
24:24du monde entier
24:25de Chine
24:26beaucoup
24:27enfin bon
24:28Léon Marchand
24:28aujourd'hui
24:29il a dépassé
24:30les frontières de la France
24:31alors en France
24:32c'est encore plus prégnant
24:35mais c'est effectivement
24:36une des raisons
24:37pour lesquelles
24:37il a fait le choix
24:40de s'exiler
24:41en Australie
24:42pendant trois mois
24:43où là
24:44il a pu se recentrer
24:45sur lui
24:46penser à lui
24:47se faire du bien
24:48à la tête
24:50continuer à s'entraîner
24:51oui effectivement
24:52mais de manière
24:54totalement différente
24:55donc quand il est rentré
24:56début avril
24:57à Austin
24:59c'est là
25:01qu'il a fallu
25:02commencer à travailler
25:03et en fait
25:03quand moi
25:04je l'ai vu
25:04même
25:05donc aux alentours
25:07du 10 avril
25:09son coach
25:10il n'avait toujours pas
25:12vu son coach
25:13en tête à tête
25:13pour préparer
25:16la saison à venir
25:17à 23 ans
25:18il les aura
25:18dans quelques jours
25:19je crois
25:20le 17 mai
25:20c'est encore
25:21un nageur neuf
25:22en tout cas
25:24c'est un nageur
25:25qui a encore
25:26beaucoup à explorer
25:27c'est pas
25:28un nageur abouti
25:29c'est un nageur
25:31qui est déjà
25:32effectivement
25:33un géant
25:34de son sport
25:35notamment
25:36sur le 4 nages
25:37mais il reste
25:39très perfectible
25:40sur plein
25:41de domaines
25:42donc
25:43voilà
25:44on peut encore
25:45attendre
25:46beaucoup de choses
25:47nouvelles
25:47de Léon
25:48et c'est aussi
25:49pour ça
25:50qu'il était
25:50d'abord
25:51qu'il est important
25:52de ne pas s'inquiéter
25:52pour lui
25:53parce qu'il va très bien
25:54et aussi
25:56ne pas attendre
25:57des choses
25:57forcément mirobolantes
25:59cette année
25:59parce qu'il a aussi
26:01besoin pour durer
26:02de renouveler
26:04sa motivation
26:06et qu'aller
26:07vers de nouveaux
26:09chantiers
26:09comme ça a été
26:10le cas là
26:10par exemple
26:11sur la nage libre
26:12qui est peut-être
26:13il le disait
26:14la nuit dernière
26:15le point faible
26:16dans son 4 nages
26:17c'est important
26:18pour lui
26:19à la fois
26:19pour la tête
26:20et pour l'avenir
26:21il a battu le record
26:22de son donc
26:23c'est ça ?
26:24voilà
26:24il a au moins
26:26battu un record
26:26pendant cette semaine
26:27c'est le record familial
26:28c'est pas mal
26:28que pense l'entraîneur
26:30du français
26:31justement
26:31les journalistes du parisien
26:32ont interrogé l'américain
26:34on était
26:34Eric Brunin
26:35notre journaliste était sur place
26:36à Fort Lauderdale
26:37c'est assez intéressant
26:38comme interview
26:38je vous invite à la lire
26:39demain dans le journal
26:40parce qu'on sent quand même
26:42que
26:42alors je vais pas dire
26:43qu'il y a de la friture
26:43sur la ligne
26:44ce serait bien exagéré
26:45mais en tout cas
26:45Bob Bowman n'était pas
26:46hyper chaud
26:48pour l'escapade australienne
26:50de Léon
26:51il le dit clairement
26:52il a dit
26:53c'est ton choix
26:53je te laisse faire
26:54mais il faudra en assumer
26:55les conséquences derrière
26:55c'est à dire
26:56effectivement
26:57le fait qu'il soit
26:58moins bon aujourd'hui
27:00peut-être
27:00légèrement en retard
27:02sur le plan de marche
27:03et donc maintenant
27:04il va falloir mettre
27:05les bouchées doubles
27:06ceci étant dit
27:08il condamne pas du tout
27:09ce choix
27:09il a bien conscience
27:10pour avoir entraîné
27:10Michael Phelps
27:11pendant des années
27:12que la santé mentale
27:14aujourd'hui
27:14dans le sport
27:15est a fortiori
27:16dans ce sport là
27:17parce que regarder
27:18les carreaux au fond
27:18d'une piscine
27:19ça demande
27:20une sacrée solidité mentale
27:22et une forte vie intérieure
27:25j'ai envie de dire
27:25psychiquement
27:26et donc il est conscient de ça
27:28donc il sait que Léon
27:31et Léon lui a exprimé
27:32avait besoin de ce break
27:35même s'il n'en était pas
27:36ravi ravi
27:37donc voilà
27:38ils en sont là
27:40et les mondiaux
27:41de cet été à Singapour
27:42vont beaucoup déterminer
27:45la suite du plan de marche
27:47sur les trois ans derrière
27:48sur le programme
27:50il va être établi
27:50vraiment à partir de là
27:51de Singapour
27:53jusqu'à Los Angeles
27:532028
27:54justement dans la perspective
27:55des championnats du monde
27:56il y a les championnats de France
27:57aux alentours du 15 juin
27:59à Montpellier
28:00du 14 au 19 juin
28:01à Montpellier
28:02c'est un passage obligé
28:03c'est un passage obligé
28:04il est peut-être question
28:06qu'il est une dérogation
28:07non ?
28:07non ?
28:08non
28:09au moment où j'étais à Austin
28:10il y avait deux envoyés
28:12de la Fédération Française
28:14qui étaient là-bas
28:15notamment
28:15pour organiser
28:17d'un point de vue logistique
28:19la venue de Léon
28:21à Montpellier
28:22parce qu'effectivement
28:23il y a un moyen
28:24il y a une obligation
28:25maintenant
28:26quand il arrive en France
28:27d'autant plus
28:28Montpellier
28:29Toulouse
28:30c'est pas si loin
28:30donc sa région d'origine
28:31d'organiser les choses
28:34notamment
28:34d'un point de vue
28:35de la sécurité
28:35donc le choix de l'hôtel
28:38les portes dérobées
28:40éventuellement
28:41pour sortir de la piscine
28:43tout ça
28:44ça a été mis en place
28:45Singapour
28:46ça sera
28:47l'autre défi
28:48de sa jeune carrière
28:49après les médailles
28:50des Jeux Olympiques
28:51de Paris
28:52non je crois pas
28:53bon
28:55Léon Marchand
28:56reste un champion
28:58et il va viser
29:00des médailles
29:01voire des titres
29:02voire ses meilleures performances
29:04si évidemment
29:05il bat ses meilleures performances
29:07on peut imaginer
29:07qu'il y aura des victoires
29:08derrière
29:08mais
29:09il faut vraiment
29:11considérer aussi
29:12cette année
29:13comme une année
29:13de transition
29:14pour lui
29:15il doit durer
29:16Léon Marchand
29:17il n'a pas 23 ans
29:18il doit durer
29:19ce serait idiot
29:21de le cramer
29:21tout de suite
29:22en attendant
29:25de lui
29:25qu'il gagne
29:26systématiquement
29:27hier il disait
29:28d'ailleurs
29:28il dit
29:29c'est les gens
29:30qui veulent de moi
29:31que je gagne
29:32mais moi
29:32je gagne
29:33je perds
29:34quotidiennement
29:35il s'entraîne
29:36dans ce qui est
29:37aujourd'hui
29:37le meilleur groupe
29:38du monde
29:39on remarque d'ailleurs
29:41qu'il a été battu
29:41ce matin
29:42par l'un de ses
29:42camarades d'entraînement
29:44oui et plusieurs fois
29:45c'est à dire que
29:46le 200 mètres
29:47a été gagné
29:48par Foster Carson
29:49Carson Foster
29:50pardon
29:50qui s'entraîne
29:52avec lui maintenant
29:52et qui est son meilleur
29:54dauphin ces dernières années
29:55au championnat du monde
29:56sur le 4 nages
29:57effectivement
29:58il avait aussi
29:59Shane Casas
30:00qui a gagné
30:02ce matin
30:02le 200 4 nages
30:04il y avait aussi
30:05Luke Hobson
30:06qui est un des meilleurs
30:07sprinters américains
30:09Hubert Kos
30:11le hongrois
30:12qui est champion du monde
30:13du 200 dos
30:14en fait
30:14au quotidien
30:15Léon Marchand
30:16il est
30:17c'est un petit championnat du monde
30:18tous les jours
30:18tous les jours
30:19et comme
30:20comme il le dit lui-même
30:22un spécialiste de 4 nages
30:24c'est pas un mec
30:26exceptionnel
30:26dans chacune des nages
30:28il y a toujours
30:29face à lui
30:29des mecs qui sont plus forts
30:31que lui
30:31intrinsèquement
30:32sur une nage
30:32et bien merci
30:34pour toutes ces infos
30:35merci à vous
30:35dans un instant
30:36nous recevons
30:37la seule championne
30:38de ce studio
30:39Tiffany Huo Marchand
30:40son univers sur la glace
30:42s'est brisé
30:42mais sa passion
30:43pour le sport
30:43l'aide à se reconstruire
30:45au quotidien
30:45à tout de suite
30:46RTL
30:47on refait le sport
30:49avec le parisien
30:50aujourd'hui en France
30:51on refait le sport
30:54avec le parisien
30:56aujourd'hui en France
30:57Jean-Michel Rascol
30:58Bonsoir Tiffany
31:02Bonsoir
31:02Je disais que vous étiez
31:04la seule championne
31:04dans ce studio
31:05parce que vous avez disputé
31:07deux éditions
31:07des Jeux Olympiques
31:08en short track
31:09le patinage de vitesse
31:10sur piste courte
31:11également championne d'Europe
31:12une passion pour le patinage
31:14et cette discipline
31:15mais un accident grave
31:17sur la piste
31:17en octobre 2022
31:18dans votre ouvrage
31:20Avec toute mon âme
31:21vous vous rappelez
31:22avec exactitude
31:23des circonstances
31:24une adversaire décroche
31:26vous êtes emporté
31:27et tenté de vous protéger
31:29Vous avez gardé
31:30les souvenirs intacts ?
31:32Totalement
31:33puisque je n'ai pas
31:34perdu connaissance
31:34au moment de l'accident
31:36ça allait très vite
31:37mais j'ai revécu
31:39la scène
31:39des milliers
31:40et des milliers de fois
31:41et c'est toujours aussi dur
31:43de voir ça
31:43mais j'avance
31:45Ce n'est pas rare
31:46les chutes en short track
31:47ce qui est rare
31:48c'est un accident grave
31:49parce qu'on le rappelle
31:50vous avez été touché
31:50au cervical
31:51il y a eu plusieurs
31:52commotions importantes
31:53Exactement
31:54ce n'est pas un sport dangereux
31:55c'est un sport spectaculaire
31:56la chute fait partie
31:57de notre sport
31:58mais elle n'est pas
31:59systématique non plus
32:00et puis malheureusement
32:01oui
32:01ce genre d'accident
32:03ça n'arrive absolument jamais
32:04et c'est arrivé ce jour-là
32:06Vous étiez aux Pays-Bas
32:07vous êtes transporté
32:09après plusieurs heures
32:11à l'hôpital
32:11et avant d'être opéré
32:13le chirurgien vous dit
32:14vous ne remarcherez
32:15probablement
32:16jamais
32:17Totalement
32:18et ça
32:19ça a été vraiment
32:19très dur pour moi
32:20j'avais déjà compris
32:22que j'étais totalement paralysée
32:23puisque je ne pouvais
32:23plus du tout bouger
32:24j'avais juste
32:25les yeux qui pouvaient
32:26cligner
32:27donc j'avais tout de suite
32:28compris le diagnostic
32:29mais après
32:30quand on m'a annoncé ça
32:31c'est sûr que
32:32je ne m'y attendais pas
32:33je me suis mise à hurler
32:35et l'anesthésiste
32:37est arrivé pour m'endormir
32:38alors que j'étais encore
32:39en train d'hurler
32:39donc ça aussi
32:40ça a été difficile
32:41à vivre pendant
32:42et aussi surtout après
32:44Un masque sur des hurlements
32:45vous vous en souviendrez
32:46toute votre vie
32:47Totalement
32:48Alors
32:49d'hôpitaux
32:50en centre de rééducation
32:52vous allez vous battre
32:53pour vous reconstruire
32:54à chaque fois
32:55que vous gagnez
32:56une étape
32:56le sort s'acharne
32:57vous allez souffrir
32:58par exemple
32:59d'un pneumothorax
33:00et lorsque vous semblez guéri
33:01vos poumons
33:02se décollent à nouveau
33:03ça aussi
33:04ça a été vraiment compliqué
33:05deux années et demie
33:07depuis cet accident
33:08qui se sont vraiment enchaînés
33:09et pour la petite anecdote
33:11ça ne s'arrête pas
33:12puisque
33:12hier soir
33:13j'ai glissé dans la douche
33:15et je me suis
33:15ouverte le menton
33:17donc j'ai dû passer
33:18la nuit aux urgences
33:19pour me faire recoudre
33:20donc oui
33:21plein de péripéties
33:22mais ce pneumothorax
33:23c'est vrai que
33:24ça a été vraiment douloureux
33:26et de retourner
33:27dans des hôpitaux
33:27après avoir traversé
33:29cette épreuve
33:29qui a été très dure
33:30après mon accident
33:30c'était difficile
33:32à passer
33:33Mais vous avez
33:34trois tatouages
33:35dont l'un sur le bras gauche
33:37qu'est-ce qu'ils disent
33:38Ne jamais perdre espoir
33:40et
33:41j'ai toujours eu ça en moi
33:43et ce livre
33:44je l'ai aussi écrit
33:44pour cette notion d'espoir
33:46pour cette notion de lumière
33:47parce que
33:48pour chaque personne
33:50c'est pas simple
33:51on traverse des moments difficiles
33:52dans notre vie
33:52mais
33:53finalement
33:54il y a toujours cette lumière
33:55toujours cette notion d'espoir
33:56et ça c'est très important
33:57Vous souffrez de douleurs
33:59neurologiques très fortes
34:00notamment aux mains
34:01je crois
34:01et vous les calmez
34:03avec des patchs
34:04au piment
34:05Oui
34:06on a fait
34:07beaucoup de tests
34:08puisque j'ai un traitement
34:09qui est très lourd aujourd'hui
34:10donc j'ai eu cet accident
34:11une fracture des cervicales
34:13et surtout
34:13une atteinte au niveau
34:14de la moelle épinière
34:15ce qui a engendré
34:16un gros handicap
34:18donc aujourd'hui
34:19je marche
34:19j'ai retrouvé mon autonomie
34:20mais j'ai quand même
34:2255% de handicap
34:24donc c'est pas rien
34:25et j'ai beaucoup de séquelles
34:27et beaucoup de douleurs
34:28et donc on essaye de trouver
34:29des traitements adaptés
34:30et même après deux ans et demi
34:32on n'arrive toujours pas
34:33à trouver
34:34la solution
34:35donc c'est un peu
34:36un chemin de croix
34:38Dans ce récit
34:39il y a une fracture
34:40le moment où vous comprenez
34:42que le short track
34:43de compétition
34:44jamais
34:45ça ça a été
34:46je pense le plus dur
34:47et c'est terrible
34:48parce que
34:49ma première pensée
34:50ça a été
34:51j'ai tout fait ça pour rien
34:52et c'était vraiment
34:54cette passion
34:55cette passion
34:56qui m'a aidé
34:57à m'en relever
34:57ce livre il parle aussi
34:59de ça
34:59de la passion
35:00et si j'avais pas eu
35:01cette détermination
35:04à retrouver les patins
35:05je sais pas
35:06si
35:07si oui
35:09je sais pas
35:09dans quel état
35:10je serai aujourd'hui
35:11Clément
35:11une jeune femme
35:12inspirante
35:13oui mais justement
35:13je voulais arriver à ça
35:15comment on passe de
35:16vous ne remarcherez plus jamais
35:18à ce que vous êtes aujourd'hui
35:20c'est à dire
35:20comme vous l'avez dit
35:21vous avez retrouvé
35:21votre autonomie
35:22s'il n'y avait pas eu
35:24ce rêve de repatiner
35:25vous pensez
35:26que vous n'y seriez pas arrivée
35:27je pense oui
35:28parce que
35:29j'ai eu plusieurs moteurs
35:30mais la passion
35:31de la glace
35:31et surtout de la compétition
35:33ça m'a porté
35:34j'étais dans un déni
35:36pendant toute ma rééducation
35:37j'étais déjà
35:39j'étais sur mon brancard
35:40totalement paralysée
35:41je disais à mes entraîneurs
35:42vous pensez que je serais prêt
35:44pour dans deux semaines
35:44dans les Coupes du Monde
35:45j'étais vraiment
35:46dans un déni profond
35:47et puis même
35:48pendant ma rééducation
35:49j'ai pas arrêté
35:50de regarder les Coupes du Monde
35:51les championnats
35:52je voulais prendre
35:53le moindre retard possible
35:54et oui aujourd'hui
35:56j'ai retrouvé mon autonomie
35:57et cette marche
35:57mais les médecins
35:59ne comprennent pas
35:59le corps médical
36:00ne comprend pas
36:01comment c'est possible
36:02et il l'explique
36:04par trois facteurs
36:05le premier
36:06c'est que j'étais sportive
36:07de haut niveau
36:08donc avec une forte musculature
36:10le deuxième
36:11j'étais prise en charge
36:12rapidement après l'accident
36:13et lorsqu'on a une compression
36:14médulaire
36:15c'est très important
36:16d'avoir une opération
36:17dans les plus brefs délais
36:19et le troisième
36:19c'est le mental
36:21ils m'ont dit
36:22que le mental avait joué
36:23un rôle vraiment très important
36:25et que c'était grâce à ça
36:26donc en fait
36:27le déni vous a aidé
36:28totalement
36:29moi j'en suis convaincue
36:30alors il y a des éclaircies
36:32dans ce récit
36:32notamment un coup de fil
36:34de Tony Estanguet
36:34oui une très bonne nouvelle
36:37il m'a donné le défi
36:39de courir le marathon
36:41pour tous
36:41des Jeux Olympiques
36:42de Paris
36:42j'avoue qu'à ce moment là
36:44j'étais très touchée
36:45j'étais vraiment très émue
36:46mais il fallait déjà
36:47que je retrouve
36:48un peu de mouvement
36:49dans mes orteils
36:49et puis surtout
36:50retrouver la marche
36:51mais après
36:52lorsqu'on m'a annoncé
36:53un an après
36:54quasiment que je ne pouvais
36:55plus reprendre le short track
36:56je me suis dit
36:57ok je vais me refixer
36:58des nouveaux objectifs
37:00sportifs surtout
37:01et j'ai pensé à ce marathon
37:03je l'avais toujours eu en tête
37:04pendant toute ma rééducation
37:06puis c'est aussi
37:06quelque chose
37:07qui m'a aidé à me relever
37:08et ça a été dur
37:09ça a été très très dur
37:10ce marathon
37:10mais j'ai été très fière
37:11d'aller au bout
37:12alors après la course à pied
37:13doucement
37:15il y a le cyclisme
37:16qui apparaît
37:16totalement aussi
37:18on ne vous arrête pas
37:19de toute façon
37:19non mais j'ai besoin
37:20de ça pour avancer
37:21le cyclisme
37:23oui donc
37:23j'ai deux projets
37:25le premier
37:25c'est le paracyclisme
37:27donc je vais participer
37:28à une coupe du monde
37:29la semaine prochaine
37:30ma première coupe du monde
37:31de paracyclisme
37:32j'ai hâte
37:33c'est une nouvelle aventure
37:34qui va débuter
37:35et puis en parallèle
37:36on part avec mon conjoint
37:37on part avec Tristan
37:39traverser la cordillère
37:40des Andes
37:41cet été
37:41donc gros projet aussi
37:43alors vous savez
37:44que nous on la connait un peu
37:45la cordillère des Andes
37:46grâce au rugby
37:46ça monte quand même pas mal
37:47ah bah oui
37:48on a cru comprendre
37:49on s'y prépare
37:50mais ça fait combien de temps
37:51que vous vous entraînez
37:53pour que ce soit
37:54le paracyclisme
37:55ou partir faire la cordillère
37:56des Andes
37:56avec votre conjoint
37:57alors pour le paracyclisme
37:59avant mon accident
38:00je faisais déjà du vélo
38:01d'où cette envie
38:02de me lancer dans le vélo
38:03et puis là
38:05ça va faire peut-être
38:06un an que je m'entraîne
38:07plus ou moins
38:08puisque j'ai eu quand même
38:09pas mal de péripéties
38:10mais là ça fait quelques mois
38:12quelques semaines
38:12que je m'entraîne vraiment
38:13pour cette coupe du monde
38:14et finalement
38:15cette préparation
38:16ça rentre aussi
38:17pour la cordillère des Andes
38:18et est-ce que vous fixez
38:19par exemple un objectif
38:20dans le sport para
38:23est-ce que les jeux para l'intérêt
38:25sont un objectif à terme
38:26ou
38:26en toute honnêteté
38:28au début
38:29j'y pensais pas trop
38:30je me suis dit
38:30bon bah je vais me lancer
38:31dans cette nouvelle aventure
38:32et puis on verra
38:33parce que
38:33encore une fois
38:34la compétition
38:35me manque énormément
38:36et puis finalement
38:37on finit toujours
38:38par se faire rattraper
38:39par les objectifs
38:40donc ça serait vraiment incroyable
38:42l'histoire serait vraiment
38:44très très belle
38:44si je peux aller
38:47à Los Angeles
38:48en 2028
38:48Merci Tiffany
38:50vous arrivez à nouveau
38:51à colorier votre vie
38:53j'ai beaucoup aimé
38:54cette expression
38:54c'est ce que vous écrivez
38:55dans votre livre
38:56avec toute mon âme
38:57écrit en collaboration
38:58avec notre confrère
38:59auteur et marin
39:00à ses heures
39:01Rémi Fier
39:02bon vent Tiffany
39:03Merci beaucoup
39:04Que pourra-t-on lire
39:06dans les pages sport
39:07du Parisien
39:07aujourd'hui en France
39:08demain Clément Dossin ?
39:09Bob Beaumann
39:10on en parlait
39:10mais au-delà des pages
39:11du Parisien
39:12je vous invite à aller
39:13sur le site
39:13pour lire une très très bonne série
39:14en 5 épisodes
39:15sur la montée du Paris FC
39:16en Ligue 1
39:17où on balaie vraiment
39:18tout le spectre
39:19le niveau sportif
39:20le niveau populaire
39:21le niveau marketing
39:22etc
39:22comment vivre pour le PFC
39:23à côté du PSG
39:24en Ligue 1
39:25On remercie également
39:26Céline Noni
39:27qui est venue nous parler
39:28de Léon Marchand
39:29on n'a aucun doute
39:30désormais sur
39:31sa volonté de rester
39:33et de retrouver
39:34le plus haut niveau
39:35dans un instant
39:36RTL Foot
39:37avec Cédric Chasseur
39:38Cédric bonsoir
39:39Bonsoir Jean-Michel
39:40bonsoir à tous
39:40au menu de ces 3 heures de foot
39:42Evidemment
39:43on va vivre ensemble
39:44Lille-Marseille
39:45ce match qui va clôturer
39:46la 32ème journée de Ligue 1
39:47très important
39:48dans la course
39:48pour la Ligue des Champions
39:49et puis on va parler aussi
39:50de PSG Arsenal
39:52le match retour
39:53la demi-finale retour
39:54de Ligue des Champions
39:54c'est dans 3 jours
39:56et on va essayer d'analyser
39:57un peu les résultats du week-end
39:58et notamment la défaite
39:59parisienne à Strasbourg
40:00vous y êtes déjà
40:00c'est mercredi
40:01mais oui
40:01ça commence déjà
40:02la première demi-finale
40:04est décalée au mardi
40:05Barcelone-Inter
40:06et le match PSG-Arsenal
40:08demain
40:08les deux à suivre sur RTL
40:09Digital le mardi
40:11et l'antenne principale
40:12mercredi
40:12Xavier Domergue avait d'ailleurs
40:14deux places à vendre
40:14tout à l'heure
40:15je ne peux même pas
40:16vous donner le montant
40:18un prix incroyable
40:19c'est pas lui qui vendait
40:19il avait un contact
40:20qui vendait des prix
40:21pour ce match
40:22entre le Paris Saint-Germain
40:23et Arsenal
40:24dans un instant
40:25RTL Foot
40:25vous l'avez compris
40:26avec Cédric Chasseur
40:28et RTL Foot

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