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00:00En tout cas, c'est ce point, mais en parlant d'autre chose, c'est le rapport du Covid-19.
00:07Après, il a été contesté, et il a été fait que les documents, les firmes d'elle,
00:13deviennent les rapports de notre rapport.
00:16Oui, tu sais pas mal d'une dure qui a été montée.
00:18L'exercice, je sais qu'il est possible, m'achallah.
00:21Et il y a aussi beaucoup de détails, de l'expliquer,
00:25de l'éducation, de l'éducation et de l'éducation.
00:31Mais ce que nous pouvons faire, nous contesterons vigoureusement,
00:35ce qui est le court des comptes.
00:39Et pour qu'il puisse avoir le droit de réponse,
00:42il faut qu'il puisse enlever les enquêtes.
00:45Quand on l'a entendu, nous expliquons qu'ils ont dit que
00:48il est d'accord avec le prêtre,
00:50ce que nous faisons, c'est ce que nous faisons.
00:52C'est ce que nous faisons.
00:53Mais nous sommes tous les membres d'Ousmane Songko,
00:55et nous sommes tous les membres du ministère des Finances.
00:57Ils n'ont pas dit qu'ils n'étaient pas à l'éducation pour leur donner les possibilités
01:01pour leur justifier lesquelles ils doivent être là.
01:04Et nous avons une possibilité pour leur expliquer.
01:07Ousmane Songko et les membres de l'éducation.
01:09Il faut que nous devions les faire avec beaucoup de choses.
01:11Et nous ne pouvons pas leur donner les rapports.
01:13Il ne faut pas savoir ce que c'est possible.
01:15Mais nous devons également,
01:16nous devons parler avec les enfants.
01:19Nous devons parler de ce qui est important.
01:22Il faut que les membres de l'éducation.
01:24Il faut qu'ils ne les connaissent pas.
01:25Et pourtant, nous devons avoir une possibilité.
01:28Il faut également souligner les créations du groupe technique.
01:34et nous ne l'a pas.
01:36Et nous devons parler des questions sur ce qui est plus important.
01:41Parce qu'ils n'étaient pas également.
01:43Lorsque l'enquête, nous avons consacréablement.
01:45Nous devons parler de ça.
01:47Nous ne savons pas.
01:48Un autre qui est dit qu'Ousmane Songko,
01:50est le fait dans la vie de l'Éducation.
01:52Il a donné un rapport à ce qu'ils voulaient.
01:54Il n'a pas à la fin pour dire que l'Éducation de l'Éducation.
01:56Il y a deux versions qui sont prétendues de rapports circulants.
02:07Il y a deux versions qui sont prétendues de rapports circulants.
02:09Il y a deux versions qui sont signés et qui ne sont pas signés.
02:12Il y a des questions qui sont prétendues et qui sont prétendues.
02:17Il y a une volonté pour le président Macky Salih.
02:21Il y a deux versions qui sont prétendues.
02:26Il n'y a pas de possibilité de pouvoir poursuivre le président Macky Salih.
02:30Il y a un rapport au cour des comptes.
02:35Il n'y a pas d'accord pour comprendre les finances publiques du Sénégal.
02:42Il y a des gens qui ont été prétendues.
02:45Il y a des gens qui ont été prétendues.
02:47Comme le cas de l'égalité du Sénégal, il y a des gens qui ont été prétendues.
02:52Il y a des gens qui ont été prétendues.
02:56Il y a des gens qui ont été prétendues.
02:59Je ne porte pas de connaissance de presse, je verse l'un.
03:01Par exemple, il y a des gens qui ont été prétendues.
03:04Il y a des gens qui ont été prétendues,
03:05les gens qui ont été prétendues.
03:07On a été prétendues et à des gens qui viennent agir leurs comptes de rapports.
03:12Ils ont publié leurs comptes de rapports.
03:14Il y a beaucoup d'autres questions.
03:17Le principe du contradictoire.
03:20Il y a une possibilité que les anciens ministres des Finances et Économies
03:24n'ont pas pu indiquer ça.
03:26Rien n'empêche que les anciens ministres des Finances et Économies
03:32n'ont pas de bataille.
03:36Les anciens ministres des Finances et Économies n'ont pas de bataille.
03:38Il n'a pas de possibilité que les anciens ministres des Finances
03:44aient associé à la conférence de presse.
03:52Il n'a pas pu entendre.
03:56Il n'a pas pu entendre.
03:58Il n'a pas pu entendre.
04:00Il n'a pas pu entendre.
04:02Il n'a pas pu entendre.
04:04Il n'a pas pu entendre.
04:06Il n'a pas pu entendre.
04:08C'est normal qu'ils ne le disent.
04:10Au-delà de tout, ils ont une bonne mission.
04:12Ils ont une réputation du président Mackay Sall.
04:14Le président de cette partie.
04:16Il n'a pas pu entendre.
04:18Il n'a pas pu entendre.
04:20Politiquement, il n'a pas pu entendre.
04:22Le rapport était bien au Sénégalais et au Parten des Teniers financiers.
04:28C'était ce rapport que Moumou a fait.
04:30Il n'a pas pu entendre.
04:32Le quartier, il n'a pas pu entendre mai.
04:34Il n'a pas pu entendre.
04:36Il n'a pas pu entendre.
04:38Le programme est la Cour du compte.
04:40Le courage est ce que nous attribuons.
04:42sur le code de transparence de 2012.
04:47Donc, il y a beaucoup de travail,
04:49on peut le dire, on peut le dire, on peut le dire.
04:53Mais c'est ce qui est un travail politique
04:57et on peut le dire au parti de l'opposition.
05:00C'est ce que je veux dire.
05:02Souvent, tu écoutes que le ministre était concerné
05:08dans les courriels qu'il y avait,
05:12il n'y a qu'un homme baltanque.
05:14Il faut dire qu'on est dans le rapport
05:17ou qu'il faut le dire.
05:19Oui, c'est mon problème par rapport à Tahawaii.
05:24C'est ce que j'ai pensé.
05:26Peut-être qu'il y a quelqu'un qui est présent,
05:28avec l'héputation de l'héputation.
05:30Mais les plus aptes à en parler,
05:32c'est qu'ils ont dit que Peut-être était le ministre.
05:35Et curieusement,
05:36il n'y a pas de doute.
05:38Pour moi, il faut qu'il y ait des arguments.
05:42Si vous n'avez pas mal d'héputation,
05:44tu sais que le ministre de la Chine,
05:46il n'y a pas de même pas de même.
05:48Il n'y a pas de même pas de même.
05:50Mais ce que je peux dire,
05:52c'est peut-être que l'économie,
05:54ou le ministre de l'Economie et des Finances.
05:56Donc, Amsi,
05:58le parcours de Amsi,
06:00c'est ce qui permet de dire qu'il y a des autres.
06:02Donc, il n'y a pas mal d'héputation.
06:04Il n'y a pas mal d'héputation,
06:06mais il n'y a pas mal d'héputation.
06:08Mais le silence,
06:10par rapport à cela,
06:12c'est un silence coupable.
06:14qui m'intriguait,
06:16et qui m'intriguait.
06:18J'ai pensé qu'il n'y a pas d'héputation
06:20qu'il n'y ait pas d'héputation.
06:22Parce qu'ils ont dit qu'ils ont falsifié les chiffres.
06:24Ils ont dit qu'ils ont
06:26les partenaires techniques et financiers.
06:28Donc, ils ont dit qu'il n'y a pas d'héputation.
06:30Il n'y a pas d'héputation politique.
06:32Il n'y a pas d'héputation.
06:34Abaka, après qu'ils ont dit qu'ils ont dit
06:36leurs documents,
06:38c'est leur contre-rapport.
06:40Qu'est-ce que tu as fait?
06:42Oui, il y a 25 pages.
06:44Mais il n'y a pas d'héputation.
06:46Ce qu'ils cassent
06:48c'est le principe
06:50de contradiction.
06:52Le principe de contradiction,
06:54c'est qu'il n'y a pas d'héputation.
06:56Il n'y a pas d'héputation.
06:58Il n'y a pas d'héputation.
07:00Le principe de contradiction,
07:02c'est qu'on renvoyait la parole
07:04à Ascanou Sénégal.
07:06C'est tout mal.
07:08Le gouvernement de Bernabeu Koyakar
07:10a eu le pouvoir au dernier quinquennat.
07:12Mais il concerne combien de personnes?
07:16Il n'y a pas d'héputation.
07:18C'était le président Makisal.
07:20C'est tout mal.
07:22Tout mal Abdoulaye Daoud Diallo.
07:24Tout mal également.
07:26Il y a des autres.
07:28Il y a des autres.
07:30Il y a des autres.
07:32Il y a des autres.
07:34Les principes contradictoires.
07:36Vous êtes volontaires.
07:38Je suis libre également.
07:40Pour apporter une réplique.
07:42Mais il y a presque un an.
07:44Ils ont posé la même question.
07:46On est obligé de se baser sur Pape Malin Dour
07:48pour avoir une contradiction
07:50par rapport à ces questions
07:52ou une réponse par rapport à ces questions
07:54qui n'était pas ministre des Finances.
07:56Il a engagé le combat.
07:58C'est vrai que Pape Malin Dour
08:00on peut comprendre
08:02qu'elle peut permettre
08:04le président Makisal
08:06d'échapper à ces accusations
08:08pour mieux aider le président Makisal.
08:10Il était des alliés.
08:12Il était des alliés.
08:14L'exercice était pour qu'ils puissent
08:16être dans le principe de contradiction.
08:18Mais il faut qu'il soit plus loin
08:20qu'il était de la paix.
08:22Mais Abdoulaye Daoud Diallo
08:24est toujours de la paix.
08:26Mais Abdoulaye Daoud Diallo
08:28il était bien sûr.
08:30Mais il est sur la table.
08:32Il était bien sûr.
08:34Mais il n'y a pas de détail
08:35tout le monde s'est dit.
08:36Il n'y a pas de problème.
08:38Il n'y a pas de problème.
08:40Son responsabilité.
08:42Pour dégager leur responsabilité de manière transparente,
08:45ils ne devraient pas s'occuper d'eux.
08:49Pourquoi?
08:51Ce n'est qu'un problème.
08:54Personne n'est mieux placé que Abdoulaye Daoud Diallo pour s'exprimer sur ces questions.
08:59En toute sincérité.
09:01C'est vrai que le Président Makassal a parlé mais de manière un peu ramassée
09:04pour dire que non, ce n'est pas.
09:06Mais qui est mieux placé que Abdoulaye Daoud Diallo pour s'exprimer
09:10de manière technique et détaillée.
09:12C'est vrai que si Abdoulaye Daoud Diallo pour s'occuper de l'appel
09:15on peut s'occuper de l'appel à Amour.
09:19C'est parce qu'il est décidé à l'élection législative.
09:21Mais Amour peut-être peut-être se dire que 2019 a été décédé.
09:25Mais si Abdoulaye Daoud Diallo pour s'occuper de l'appel
09:27Il ne peut pas s'occuper de l'appel.
09:29Oui mais bon, si elle a été décédé, il peut s'occuper de l'appel.
09:32Mais bon, si elle a été décédé, il peut s'occuper de l'appel.
09:35Le problème est qu'il s'occuper de l'appel.
09:37Le problème c'est qu'il y a des techniciens,
09:40peut-être qu'il y a des gens qui ont été décédés,
09:42mais ils ont été décédés au ministère.
09:44Il y a des possibilités.
09:46Mais c'est vrai que pour les comptes de 2019-2024,
09:50Amour peut-être qu'il y a des endettements qui ont été décédés à 2019.
09:55Mais personne n'est mieux pensé que les techniciens s'occuper de l'appel.
09:58Donc Amour peut-être expliquer.
10:00Parce que le rapport n'a pas d'importance, oui.
10:02Le rapport n'a pas d'importance.
10:03Là on va lire, on va comprendre ce que vous voulez dire.
10:06Mais en vérité, quand vous parlez de l'appel,
10:08il y a des possibilités pour les gens qui sont mieux prassés pour l'expliquer.
10:11Mais pourquoi,
10:13ils n'ont pas d'expliquer aujourd'hui ?
10:15Ils n'ont pas d'être cassé.
10:17Ils sont dans notre pays, ils ont une liberté, ils peuvent le faire.
10:20Qu'est-ce qu'on peut le faire ?
10:22Il y a un appel qui est venu.
10:24Est-ce que Moussa Bokar ?
10:25Il n'y a pas d'autre.
10:26Il n'y a pas d'autre.
10:27Il n'y a pas d'autre.
10:28Il n'y a pas d'autre.
10:29C'est la question qu'on doit poser pour moi aujourd'hui.
10:33Vous savez qu'on est un parti politique.
10:35Mais bon, c'est que Pab Mali Ndour,
10:38sur tous les fronts Mohamed Diallo,
10:40s'il était mieux sur ces questions-là d'endettement
10:43et ces questions-là de falsification de chiffres,
10:46mais si Pab Mali n'était pas là,
10:48il n'était pas d'autre.
10:51Parce qu'il est pour le faire de manière très bonne réponse.
10:54Sinon, il n'y a pas d'autre.
10:57Car ça se dit pour moi, il ne s'agit pas d'autre.
10:59Ce n'est pas forcément la réponse.
11:00On dirait que Maki,
11:02je n'ai pas une réputation Maki.
11:04Oui mais c'est bien d'un côté.
11:06Il est bien placé pour protéger Mantooram,
11:08mais pour qu'il n'y ait un appel
11:10qui allaient dénoncer en théâtre.
11:11Il y a un appel d'attention.
11:13Le gars, il ne travaille souvent.
11:15Mais, le gars, en fait,
11:16Je l'ai dit.
11:17Oui, donc je l'ai dit.
11:18Donc, je l'ai dit.
11:19Parce que la table de Tamit, il ne peut pas se démarre.
11:22Il doit y avoir des réponses à la fois.
11:24Malgré que Tamit sorti au cours des comptes,
11:26on a dit que le principe de contradiction,
11:31on le respectait mais il était au niveau administratif.
11:35Il a été fait.
11:37Oui, c'est ce que je l'ai dit.
11:39Le principe de contradiction,
11:40il était dans l'administration.
11:42On a dit qu'il était à l'époque,
11:44mais l'administration n'est pas là pour répondre à ces questions.
11:49Pour permettre qu'ils puissent le faire.
11:51Je l'ai dit que l'administration,
11:54Ousmane Zoukotekoff,
11:56a dit qu'il a dit qu'il n'y avait pas.
11:59C'est ce que je l'ai dit.
12:01Mais j'ai dit que le plus important,
12:03c'est que les gens s'ils puissent le faire
12:06et qu'ils puissent le faire.
12:08Pour moi, j'ai dit qu'ils puissent le faire
12:10pour éclairer leur faire.
12:12C'est ce que je l'ai dit.
12:14C'est ce que je l'ai dit.
12:15Peut-être.
12:16Mais bon,
12:17c'est ce que je fais,
12:18c'est ce qu'il m'a dit.
12:19En tout cas,
12:20nous avons insisté.
12:21Et aujourd'hui,
12:22nous devons leur donner leur droit
12:26ou leur donner leur accès à leur éleve.
12:29Et puis,
12:30on a évoqué,
12:31je t'ai dit que,
12:32il y a dit que le mot est de quoi
12:34nous aient dit qu'ils sont les gens qui ne sont pas
12:36de la FMI.
12:37Ils ne sont pas de la FMI.
12:38Oui.
12:39Si je l'ai dit,
12:41je n'ai pas de la FMI.
12:43Mais,
12:44qui devait être interlocuteur ?
12:46Est-ce que c'est un opposant
12:47ou l'État du Sénégal ?
12:49Je pense que l'État du Sénégal est interlocuteur.
12:51le mot est de plus en plus.
12:52Qui m'a dit,
12:53que elle va mourir avec des députés qui se font de la députée.
12:55Qui m'a dit.
12:56Qui m'a dit.
12:57Qui m'a dit,
12:58qui m'a dit,
12:59qui m'a dit.
13:00Qui mérité à des députés qui se font de l'opposition.
13:03Qui est la dite.
13:04Oui,
13:05mais qui m'a dit,
13:06on a dit qu'un opposant,
13:08qui est libre de la FMI,
13:09les institutions internationales,
13:10c'est la liberté.
13:11Mais les institutions internationales,
13:12comme les intellectuels,
13:13c'est le Sénégal.
13:14Diffmoxal n'a pas de dire.
13:16Donc je ne vois pas pour les gens qui le font ou qui le font, donc je pense que c'est réaliste.
13:20Ils ont un rôle de pauvres, mais l'État du Sénégal ne peut pas le faire parce qu'il n'y a pas de drogue.
13:25L'État du Sénégal peut parler à travers la Cour des Comptes et ce que représente la Cour des Comptes.
13:29On peut parler à l'État du Sénégal, à travers la Cour des Comptes et à travers la Cour des Comptes.
13:43Maintenant, je pense que c'est un rôle de la Cour des Comptes, mais l'État du Sénégal ne peut pas le faire.
13:52Mais l'État du Sénégal a intervenu à travers la Cour des Comptes.
13:55Il n'y a pas de problème.
13:58Mais bon, il est clair, il est clair.
14:01Mais est-ce que l'État du Sénégal a intervenu à travers la Cour des Comptes?
14:05Bonne question. Est-ce que l'État du Sénégal a intervenu à travers la Cour des Comptes?
14:08Mais elle est juste comme ça.
14:12Alors, Babakar, comment est-ce que l'État du Sénégal a intervenu à travers la Cour des Comptes?
14:16Oui, c'est là que l'État du Sénégal a intervenu à travers la Cour des Comptes.
14:20Elle a intervenu à travers la Cour des Comptes et à travers la Cour des Comptes.
14:24Oui.

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