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Ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau a évoqué l'attentat de Mulhouse : «Si l'Algérie avait respecté le droit et ses obligations, il n'y aurait pas eu ce ressortissant portugais poignardé».

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Transcription
00:00Depuis le départ, c'est ce que j'essaie d'expliquer, la nature de la relation construite entre nos deux pays,
00:08je pense qu'elle appelle une réponse de fermeté.
00:10Je pense qu'on ne s'en retirera pas, maintenant l'Algérie en réalité est au pied du mur.
00:14Elle a deux choix. Soit le choix de l'escalade, c'est possible,
00:19parce qu'il y a une telle violence dans les communiqués qui m'a d'ailleurs ciblé à titre personnel il y a quelques jours.
00:26Soit c'est le choix de l'escalade, soit c'est le choix du dialogue.
00:30Mais encore une fois, il est clair que pour nous les objectifs, c'est la libération, bien entendu, de Boilem Sansal,
00:36et c'est le respect des accords de 1994, au terme desquels l'Algérie doit rapatrier sur son sol, bien sûr, les Algériens.
00:44Qui est un avenant des accords de 68.
00:46Oui, parce qu'il y a Mulhouse. Moi j'ai été traumatisé, enfin je suis ministre de l'Intérieur.
00:51Ma mission, c'est de protéger les Français. Je vous rappelle que si l'Algérie avait respecté le droit,
00:56si l'Algérie avait respecté ses obligations, il n'y aurait pas eu ce portugais, ce ressortissant portugais,
01:01qui était poignardé par un terroriste islamiste ressortissant algérien,
01:05qui avait été, je le rappelle, présenté à 14 reprises aux autorités algériennes
01:09qui n'avaient pas voulu le réadmettre sur leur sol.

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