Depuis plusieurs jours, le Mali fait face à une pénurie aiguë de carburant, une situation critique directement liée à l’escalade des tensions diplomatiques entre l’Algérie et le Mali.
À Tombouctou, les files d’attente devant les stations-service s’allongent tandis qu’à Bamako, la flambée des prix du litre d’essence provoque une vive inquiétude au sein de la population.
La crise a éclaté après la destruction, début avril, d’un drone de l’armée malienne par l’Algérie, dans une zone frontalière sensible. En réaction, les autorités de Bamako, soutenues par leurs alliés du Burkina Faso et du Niger, ont rappelé leur ambassadeur à Alger. Cette réponse diplomatique a été suivie de la fermeture réciproque des espaces aériens, un signal fort d’un refroidissement inédit des relations bilatérales.
Mais au-delà des tensions politiques, les répercussions concrètes sur la vie quotidienne des Maliens se font cruellement sentir. Le carburant, principalement importé d’Algérie, se raréfie. Le litre, vendu auparavant à 700 francs CFA, atteint désormais les 3 000 francs CFA sur le marché noir, selon des témoignages relayés sur les réseaux sociaux.
À Bamako, des scènes de tension ont été observées. Des manifestations spontanées ont éclaté devant certaines stations-service. Des conducteurs de taxi et des commerçants dénoncent une situation intenable qui paralyse l’économie locale. “Je ne peux plus faire tourner mon véhicule, je perds chaque jour un peu plus de clients”, déplore Amadou, chauffeur depuis 15 ans dans la capitale.
Face à l’aggravation de la situation, la CEDEAO a exprimé sa préoccupation et appelé à un dialogue rapide entre les deux pays pour éviter une détérioration des relations déjà fragiles.
Cette crise soulève une fois de plus la vulnérabilité énergétique du Mali, dépendant des importations pour son approvisionnement en carburant. Alors que l’impasse diplomatique persiste, la population malienne subit de plein fouet les effets d’un bras de fer géopolitique qui, pour l’instant, semble loin d’être résolu.
À Tombouctou, les files d’attente devant les stations-service s’allongent tandis qu’à Bamako, la flambée des prix du litre d’essence provoque une vive inquiétude au sein de la population.
La crise a éclaté après la destruction, début avril, d’un drone de l’armée malienne par l’Algérie, dans une zone frontalière sensible. En réaction, les autorités de Bamako, soutenues par leurs alliés du Burkina Faso et du Niger, ont rappelé leur ambassadeur à Alger. Cette réponse diplomatique a été suivie de la fermeture réciproque des espaces aériens, un signal fort d’un refroidissement inédit des relations bilatérales.
Mais au-delà des tensions politiques, les répercussions concrètes sur la vie quotidienne des Maliens se font cruellement sentir. Le carburant, principalement importé d’Algérie, se raréfie. Le litre, vendu auparavant à 700 francs CFA, atteint désormais les 3 000 francs CFA sur le marché noir, selon des témoignages relayés sur les réseaux sociaux.
À Bamako, des scènes de tension ont été observées. Des manifestations spontanées ont éclaté devant certaines stations-service. Des conducteurs de taxi et des commerçants dénoncent une situation intenable qui paralyse l’économie locale. “Je ne peux plus faire tourner mon véhicule, je perds chaque jour un peu plus de clients”, déplore Amadou, chauffeur depuis 15 ans dans la capitale.
Face à l’aggravation de la situation, la CEDEAO a exprimé sa préoccupation et appelé à un dialogue rapide entre les deux pays pour éviter une détérioration des relations déjà fragiles.
Cette crise soulève une fois de plus la vulnérabilité énergétique du Mali, dépendant des importations pour son approvisionnement en carburant. Alors que l’impasse diplomatique persiste, la population malienne subit de plein fouet les effets d’un bras de fer géopolitique qui, pour l’instant, semble loin d’être résolu.
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00:00On ne pas chier.
00:01Tout le monde.
00:02Ah!
00:04On peut s'estimenter une des histoires avec eux?
00:06Comment une vidéo?
00:08Ah! Comment une vidéo ?
00:09Oui!
00:10Je t'ai fait le cette vidéo.
00:12Je t'ai fait le saut.
00:14Pa, pa, pa, pa, pa, pa.
00:16Le sens.
00:18Ha, ha, ha, ha, ha.
00:21La, ila!
00:24Il, l'Allah, muhammad.
00:27Ohhhh!
00:29Bacar!
00:30Où qu'il y avait?
00:31Là, je m'en souleur pas la humaine de Dieu.
00:33Essence!
00:35Cris!
00:36Ton bactère!
00:37He-he-he-he-he!