Pour la première fois, Jacques Legros revient sur le jour où au 13h de TF1, il a interrogé Brigitte Macron sur la rumeur Jean-Michel Trogneux... Les rumeurs selon lesquelles Brigitte Macron, l'épouse du président français Emmanuel Macron, serait née homme et aurait effectué une transition de genre pour devenir une femme, ont été maintes fois propagées ces dernières années. Mais Jacques Legros est le premier à avoir de cette rumeur à la Première Dame, ce qui lui a valu des insultes de la part de certains téléspectateurs.
Hier soir sur France 5, Jacques Legros a révélé pour la première fois, que c'est Brigitte Macron elle-même qui avait souhaité être interrogé sur le sujet car elle voulait annoncer qu'elle allait attaquer les personnes qui véhiculaient ces rumeurs.
La théorie du complot circule depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017. Elle a ensuite été propagée par la journaliste autoproclamée Natacha Rey. Celle-ci affirmait que Brigitte n'avait jamais existé et que son frère Jean-Michel Trogneux avait changé de sexe et commencé à utiliser ce nom.
Deux femmes Amandine Roy et Natacha Rey avaient parlé de Brigitte Macron comme d’une « escroquerie », d’une « tromperie » et d’un « mensonge d’Etat ». Elles devront payer 8 000 euros de dommages et intérêts à l’épouse du président de la République, et 5 000 euros à son frère, Jean-Michel Trogneux.
L’épouse du président de la République avait porté plainte pour diffamation publique avec constitution de partie civile le 31 janvier 2022, conduisant à un renvoi (quasi-automatique en droit de la presse) des deux femmes devant le tribunal correctionnel.
Hier soir sur France 5, Jacques Legros a révélé pour la première fois, que c'est Brigitte Macron elle-même qui avait souhaité être interrogé sur le sujet car elle voulait annoncer qu'elle allait attaquer les personnes qui véhiculaient ces rumeurs.
La théorie du complot circule depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017. Elle a ensuite été propagée par la journaliste autoproclamée Natacha Rey. Celle-ci affirmait que Brigitte n'avait jamais existé et que son frère Jean-Michel Trogneux avait changé de sexe et commencé à utiliser ce nom.
Deux femmes Amandine Roy et Natacha Rey avaient parlé de Brigitte Macron comme d’une « escroquerie », d’une « tromperie » et d’un « mensonge d’Etat ». Elles devront payer 8 000 euros de dommages et intérêts à l’épouse du président de la République, et 5 000 euros à son frère, Jean-Michel Trogneux.
L’épouse du président de la République avait porté plainte pour diffamation publique avec constitution de partie civile le 31 janvier 2022, conduisant à un renvoi (quasi-automatique en droit de la presse) des deux femmes devant le tribunal correctionnel.
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00:00Le 13h, c'est aussi des interviews importantes.
00:02Vous avez interviewé Emmanuel Macron il y a peu,
00:05ou la Première Dame, c'était récemment aussi.
00:08C'était un moment fort parce que vous êtes le journaliste
00:11qui l'interroge sur la rumeur, Jean-Michel Trougne.
00:14Vous menez un combat contre le cyberharcèlement,
00:16on le sait, dont vous-même êtes régulièrement victime.
00:20Pardonnez-moi de revenir dessus, mais un exemple,
00:21cette théorie conspirationniste contre laquelle vous pensez porter plainte, je crois,
00:26qui affirme que vous êtes né homme.
00:28Qu'est-ce que vous pouvez répondre à ça ?
00:30– Alors bien évidemment, c'est un mensonge, mais bon.
00:33– Vous avez hésité à lui poser la question ?
00:35– Alors oui, mais il faut connaître la coulisse.
00:40Madame Macron déteste la télé et l'interview télé.
00:43Elle déteste être en plateau.
00:46Son mari lui avait dit, n'aie pas trop peur parce que ce n'est pas un roquet.
00:52On en pense ce qu'on veut.
00:54Et en plus, elle était là pour les pièces jaunes.
00:56Sauf qu'il y avait une actualité,
00:58il y avait effectivement ce dont on parle.
01:00Il y avait aussi son mari dont on attendait sa candidature à la réélection.
01:05Et puis aussi, il avait traité les non-vaccinés de cons.
01:09– Non, il avait dit qu'il voulait les emmerder.
01:10– Il voulait les emmerder, exactement.
01:12Et donc, je suis allé la voir en loge
01:15pour essayer de la détendre un petit peu au profit de l'interview.
01:20Et puis, je lui ai dit, vous savez, le touquet, c'est chez moi aussi, etc.
01:24Vous savez, la boulangerie, machin.
01:25Ah oui, oui, mais c'est bon.
01:27Pour essayer vraiment de la détendre.
01:29Et je lui ai dit, mais qu'est-ce qu'on fait avec cette histoire ?
01:33Il me dit, moi, j'aimerais dire que je vais porter plainte
01:36contre les deux dames en question, incriminées.
01:40Je lui ai dit, oui, mais si vous voulez porter plainte,
01:42il faut que je donne le contexte.
01:45Il faut que je contextualise, donc que je rappelle un peu les faits.
01:48J'étais un peu dans mes petits souliers en rappelant tout ça.
01:51Ce n'est pas évident à dire.
01:52Ce n'est pas évident à dire à la première dame.
01:53– Oui, on sent même qu'à ce moment-là,
01:55vous regardez votre feuille et ça vous gêne de le dire.
01:57– Oui, oui, ce n'est pas sorti très spontanément.
02:02– On aime aussi…
02:03– Je me suis fait insulter.
02:04– Oui.
02:05– Ah, monsieur, jamais plus je ne regarderai votre journal.
02:07Je n'imaginais pas que vous puissiez être quelqu'un d'aussi tordu.
02:11– Ils sont revenus depuis, ceux qui ont dit qu'ils ne regarderaient plus.