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Deux ans avant l'élection présidentielle, la condamnation judiciaire de Marine Le Pen fait monter la température politique : le RN rassemble ses soutiens à Paris, une partie de la gauche contre-manifeste dans la capitale, et le bloc central est convié à Saint-Denis par Gabriel Attal. Pour Georges Fenech, ancien magistrat, «la campagne présidentielle a commencé depuis le jugement de Marine Le Pen».

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Transcription
00:00Moi, je crois que la campagne présidentielle a commencé depuis le jugement concernant Marine Le Pen.
00:07Il y a eu un mouvement de plaque tectonique.
00:09Aujourd'hui, la présidentielle ne sera pas ce qu'on avait pu penser qu'elle serait.
00:14Parce qu'il y a de plus fortes chances que Marine Le Pen ne puisse pas se présenter.
00:18Je ne mets pas de jugement de valeur, mais je constate, parce que j'ai aussi l'expérience du passé,
00:23et je me souviens d'avoir participé avec François Fillon à ce qui s'est passé à ce moment-là.
00:28Quand la justice s'en mêle, c'est très compliqué.
00:30Et aujourd'hui, on peut dire que, malheureusement pour elle en tout cas,
00:34elle se trouve dans une très très grande difficulté.
00:36Est-ce qu'elle pourra concourir ?
00:37Donc on voit bien que tout le paysage est en train de se redessiner.
00:40Il y a une crispation des trois blocs, comme vous dites,
00:43et on voit bien ces trois manifestations aujourd'hui.

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