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Invitée au journal de TF1, Marine Le Pen parle d'un "jour funeste que cela représente pour notre démocratie et notre pays". Elle déplore que "des millions de Français vont être privés de la candidate qui est aujourd'hui donnée comme la favorite de l'élection présidentielle".

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Transcription
00:00Et de cogner la justice, pour l'instant, plus que le pouvoir ou d'éventuels responsables politiques.
00:06Parce que Marine Le Pen affirme que, d'après elle, les magistrats n'ont pas toujours besoin de consignes ou d'ordres
00:12et qu'ils peuvent prendre leurs décisions tout seuls.
00:14Donc c'est effectivement mettre en avant le pouvoir judiciaire et taper sur les juges.
00:19Et on parlait tout à l'heure effectivement du cas de François Fillon en 2017.
00:24Il y a quelqu'un en tout cas, ou dans l'entourage du ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau lui-même,
00:27qui fait ce rapprochement. Déjà puisque son entourage évoquait une déflagration comme la droite en a connue en 2017.
00:33Estimant, je cite, que ça posait la question de notre système judiciaire qui, lui, ne rend jamais de compte à personne.
00:39C'est pas très loin de ce que dit effectivement Marine Le Pen, qui pointe effectivement la responsabilité des juges.
00:45Et vous voyez qu'elle évoque ce lundi 31 mars.
00:48Rendez-vous compte le jour funeste que cela représente pour notre démocratie.
00:53C'est Éric Ciotti qui, juste après la décision qui a été rendue, a dit « Est-ce que nous sommes encore en démocratie ? »
00:58On sent que c'est ce débat qui est en train de monter.

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