• avant-hier
Thierry Breton, ancien commissaire européen au marché intérieur, était l'invité d'Apolline de Malherbe dans le Face à Face sur BFMTV et RMC. 

Catégorie

📺
TV
Transcription
00:00Et dans un monde aussi, on l'a vu, où ceux qui pèsent sont ceux aussi qui ont la capacité de disposer de l'arme ultime, y compris du nucléaire.
00:09Pourquoi aujourd'hui, c'est le président de la République française et le Premier ministre britannique qui, au fond, mènent cette coalition ?
00:16Parce que nous sommes de puissance dotée.
00:18C'est pas uniquement parce que nous avons le leadership dû au format de nos armées, bien sûr que ça compte.
00:25— C'est parce que nous sommes dans la gestion de l'armée atomique.
00:27— C'est ça, le monde dans lequel nous sommes, bien entendu. C'est celui-là, le monde dans lequel nous entrons. Il faut pas se tromper.
00:32Alors bien sûr, derrière, il y a tout ce qui se passe sur le terrain, tout ce qui se passe en Ukraine.
00:36Il y a les négociations. On va voir si elles aboutissent. On l'espère tous. Mais enfin, on voit quand même que c'est extraordinairement compliqué.
00:42Il y a les garanties de sécurité. Mais dans les garanties de sécurité, on parle aussi de dissuasion.
00:46Et quand on parle de dissuasion, ben pardon, avec quelqu'un comme Vladimir Poutine, il faut vraiment parler de dissuasion.
00:51— C'est le seul langage, d'ailleurs, qu'ils entendent ? C'est la seule raison pour laquelle, éventuellement, ils respecteraient le fait de dialoguer avec lui ?
00:58— Bien sûr. — Il faut dialoguer avec Vladimir Poutine ? Il faut réengager cela ?
01:01— Bien sûr, bien sûr. Il faut engager avec tous ceux qui... Aujourd'hui, d'abord avec la Coupe éligente.
01:07Et bon, ceux qui doivent parler entre eux, pardon de vous le dire, c'est quand même Volodymyr Zelensky et Vladimir Poutine.
01:13C'est quand même eux les concernés. Et j'allais dire que c'est quand même le premier, c'est Volodymyr Zelensky,
01:17parce que c'est lui qui a été attaqué. L'agresseur, c'est la Russie.

Recommandations