Retrouvez le Talk Show de ce lundi 24 mars 2025 présenté par Sébastien Volpe avec Romain Canuti, Samir Daoud et Garen.
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00:00L'alliance du savoir-faire, de la passion au service d'une expérience culinaire.
00:13Bienvenue.
00:30Salut à tous et bienvenue sur le talk show du Fossey 1.fr.
00:39Ce matin, dans l'OMO Café, je vous ai annoncé un plateau, mais il a changé.
00:44C'est comme ça, c'est les aléas du direct, comme on dit.
00:49Sauf que Romain Canutier est toujours présent, bien évidemment.
00:51Fidèle au poste.
00:52Salut Seb.
00:53Tiens, je te laisse nous présenter nos invités, du coup.
00:55Bien sûr.
00:56C'est toi qui fais les plateaux.
00:57Il devait y avoir qui et qui, du coup.
01:00Ils viendront et on les embrasse.
01:01On espère surtout que ça va mieux pour eux.
01:04On a Samir avec nous, qui est supporter d'une tribune où on est peu vêtu.
01:09C'est fou.
01:10Ça va bientôt faire dix ans que je vais ici.
01:12Dix ans, la même.
01:13Ah, mais c'est le responsable des Yankees.
01:17Rends l'argent.
01:18Ah non, c'est pas ça.
01:19Bonsoir tout le monde.
01:21En face de toi, il y a Garen qui est avec nous, qui est une voix que certains vont reconnaître.
01:27Ils vont mettre un visage dessus, puisque tu interviens souvent dans les émissions sur RMC,
01:32que ce soit Laughter, Rotten Sans Flamme, le Moscato aussi, de temps en temps.
01:38Dès qu'on a besoin d'un supporter marseillais, ils savent t'appeler.
01:42Du coup, on voit ton visage.
01:44Du coup, ceux qui s'en prenaient à ta voix en disant « Ouais, ce Garen la machin »,
01:49ils te voient, ils vont dire « Monsieur Garen, d'accord ».
01:54Petit soulier.
01:56Bon, voilà pour la présentation de notre plateau.
02:01On va passer à la première partie de cette émission.
02:04L'OM est-il prêt pour le sprint final ?
02:08On a quitté Romain Les Olympiens, on va le dire, dans le dur,
02:12puisqu'il y avait eu une défaite contre Lens, il y avait une défaite contre le PSG,
02:16mais il y avait aussi eu une défaite contre Auxerre au préalable.
02:19Seule une victoire contre Nantes était venue un petit peu redonner le moral.
02:23Bref, on était un petit peu dans le dur, mais il y a eu la trêve internationale.
02:28Donc, les joueurs ont eu le temps.
02:31Donc, on oublie un peu.
02:32Non, c'est pas qu'on oublie, mais je pense qu'ils ont bien travaillé avec Roberto, Deserbi,
02:37et que là, on va se déplacer à Rennes.
02:39En plus, ça ne sera pas au Vélodrome, donc on est quand même beaucoup plus à l'aise à l'extérieur.
02:44Et après, ça va s'enchaîner.
02:46Est-ce que toi, tu sens l'OM fin prêt pour ce sprint final ?
02:51Sachant, pour finir ma question, et je te passe tout de suite la parole,
02:54la dernière rencontre que l'on a vue, c'était face au PSG,
02:57et qu'on a quand même fait une belle prestation, même si la défaite au bout,
03:01on a quand même existé, on va dire.
03:04C'est surtout ça.
03:05On lit les messages qu'on nous envoie.
03:07J'en ai reçu un qui a dit...
03:09J'ai dit à Rennes, pardon, parce qu'on me reprend.
03:11C'est à Rennes, bien évidemment.
03:13On lit les messages qu'on nous envoie.
03:15Il y en a un qui m'a dit, mais comment, après le match de Paris,
03:18Romain Cagnucci a pu dire que Roberto de Zerbi sort renforcé
03:22alors qu'on est sur trois défaites en quatre matchs.
03:25C'est justement une question de dynamique.
03:27C'est-à-dire que moi, ce que je note, c'est ce que j'ai vu sur le dernier match,
03:31qui me donne un espoir.
03:33Parce que même la victoire de Nantes, et on l'a tous dit juste après coup,
03:38il y a beaucoup de choses à y redire.
03:42J'ai bon espoir qu'il y ait des têtes qui se remettent à l'endroit,
03:47que justement le temps permette un peu aussi à l'effectif de souffler.
03:51J'ai interrogé certains membres de l'effectif, leur entourage.
03:58J'avais un peu la crainte aussi du côté Bielsa.
04:03Tu vas me dire là, on est dedans, on ne sait pas.
04:05Mais de me dire, est-ce que les mecs, ils se sentent psychologiquement à bout,
04:09au bout du rouleau et tout.
04:11Et vraiment, ce que j'en ai comme écho, c'est que ce n'est pas le cas.
04:14Donc j'ai bon espoir.
04:17Au bout du rouleau, avec un match par semaine.
04:20Bielsa, c'était un match par semaine aussi.
04:22C'est pour ça que je dis.
04:23Bielsa, il y avait un pressing tout terrain.
04:25C'était de l'individuel.
04:27Là, on ne fait quand même pas les mêmes efforts.
04:30D'ailleurs, c'est nous qui faisons tourner la balle sous forme en mode handball,
04:35un peu de temps en temps.
04:37Donc la fatigue n'est pas la même.
04:39Samir, comment tu vois toi, le chef de tous les supporters du Virage Nord ?
04:46Dodgers, MTP, Fnatic, Ilana.
04:52Elle prend un petit billet à chaque fois, bien sûr, c'est normal.
04:57Comment tu vois cette fin de saison ?
05:00Écoute, on sort sur un match où on a été plutôt vaillants.
05:03Même si la défaite est au bout, mais elle n'est pas si surprenante que ça.
05:07Donc j'ai envie d'y croire.
05:08Le problème, c'est qu'évidemment, on a joué contre une équipe qui ne fermait pas le jeu,
05:13qui n'était pas en bloc bas.
05:14Donc est-ce qu'on va rester sur cette dynamique-là ? Je ne sais pas.
05:21Il y a le problème de certains joueurs offensifs qui ont un peu perdu le fil.
05:26Je crois qu'on va en parler un petit peu plus tard dans l'émission.
05:29Donc c'est mes petites craintes.
05:31Après, oui, j'ai envie d'y croire.
05:34J'ai poursuivi par des clubs qui font également des faux pas.
05:37Donc on est prêt, je pense.
05:40Il y a un coach, en tout cas, qui effectivement, je suis d'accord avec Romain,
05:43qui sort renforcé, ne serait-ce que dans l'autorité.
05:49Il a pu montrer en montrant qu'il n'y avait pas de passe droite.
05:52N'énervez pas Charlie Goyard.
05:53Qu'est-ce qu'il a, Charlie ?
05:54Ah non, mais la semaine dernière ou la semaine d'avant, lors de la dernière émission,
06:00Romain a dit que le coach sort renforcé.
06:03Il s'est énervé.
06:04Il est devenu tout rouge sur le chat.
06:05Il a dit qu'au moins, on peut être renforcé avec trois défaites à quatre matchs.
06:10Arrêtez de m'énerver, il a dit Charlie.
06:12Et là, vous allez l'énerver encore.
06:14Alors, Charlie, ne t'énerve pas.
06:15C'est Charlie d'Albi ?
06:16Je l'ai croisé, je crois.
06:18Peut-être, je ne sais pas.
06:19C'est Charlie Goyard.
06:20Avant le match, tu l'as croisé ?
06:22Non, non, il y a un gars qui m'a arrêté un fois dans la rue.
06:24Il m'a dit je suis Charlie.
06:25Enfin bref.
06:27Non, mais peut-être qu'il te disait ça juste pour la liberté d'expression.
06:30Je ne sais pas.
06:32Non, mais quand tu perds trois matchs, je comprends ce que dit Charlie.
06:35Quand tu perds trois matchs en quatre rencontres, c'est difficile de dire je sors renforcé.
06:41Il sort renforcé.
06:42Même si j'entends ce que vous voulez dire.
06:44C'est sur l'autorité qu'il a et la mainmise qu'il a sur le groupe où il a su asseoir son autorité.
06:50Bon, écoute, moi, j'ai envie d'y croire.
06:52Mais s'il assoit son autorité, Samir, jusqu'à la fin de la saison et qu'on fait huit défaites,
06:56rien à foutre de son autorité.
06:58Pardon.
06:59Non, mais toi, tu penses vraiment.
07:01Après, c'est possible.
07:02Enfin, sans dire huit défaites, mais de dire tu fais.
07:05On en a vécu des saisons où tu fais, je ne sais pas moi, quatre nulles et quatre défaites.
07:09C'est déjà arrivé avec Troussier, des choses comme ça.
07:12Donc, on l'a déjà vécu où tu finis.
07:14Tu passes.
07:15C'est pour ça que tu passes la majeure partie du temps deuxième.
07:18Et puis tu restes deuxième parce que les autres perdent.
07:21Mais à la fin, tu finis cinquième.
07:22Ça peut arriver.
07:23Oui, mais je pense que ce qui s'est passé là te montre que le patron, c'est lui.
07:28Donc, soit vous le suivez, soit vous jouerez pas.
07:30Oui, mais dans la gestion du groupe, j'entends ce que vous dites.
07:33C'est très bien.
07:34Mais moi, pardon, je préfère que l'Olympique de Marseille gagne des matchs.
07:37Je te rassure, moi aussi.
07:38Plutôt qu'on ait un coach qui mette en avant les biscottos et qui gère bien son groupe.
07:45C'est très important.
07:46Mais là, on en est à un moment donné, on est dans le money time.
07:48Il faut gagner des rencontres.
07:49Il faut prendre des points.
07:51Garen, quelle est ta lecture de cette fin de saison?
07:55Est-ce que quelque part, on n'est pas un peu plus, comme l'a dit Samir, rassuré?
07:59Parce qu'on a vu Nice ne pas s'imposer contre Auxerre, eux aussi.
08:04On a vu Lille perdre le dernier match avant qu'on se dépasse à Paris, à Nantes.
08:10On a vu Monaco gagner, mais pas non plus avec une manière incroyable, etc.
08:15Ils se sont imposés.
08:17Donc, comme le disait Samir, est-ce qu'on n'est pas quelque part rassuré?
08:20Pas tant par le niveau de l'Olympique de Marseille que par l'adversité de la concurrence.
08:25Écoute, moi, déjà, pour répondre à Romain et à Samir, moi, je ne suis pas totalement d'accord par rapport au match au PSG.
08:30Je trouve qu'on a joué un PSG qui sortait d'une qualification heureuse.
08:34Mentalement, physiquement, je pense qu'ils étaient un peu fatigués.
08:37Ça veut dire quoi pour toi? Pardon, je vais te couper, mais ça veut dire quoi, heureuse?
08:40Pour moi, sur le retour, je pense que l'Iverpool doit marquer au moins un but.
08:45Donc, sur le retour, quand même, sur la deuxième mi-temps, tu as trois ballons sauvés sur la ligne.
08:52Je suis pour l'Olympique de Marseille à mort, mais si je suis un peu objectif et que je prends mon rôle de journaliste,
08:59quand tu vois le match aller, le match retour, Paris jamais, ils doivent se faire éliminer contre l'Iverpool.
09:04Mais sur le retour, je pense qu'il y a quand même pas mal d'occasions de l'Iverpool.
09:08Bref, quoi qu'il en soit, le match au PSG, je pense qu'il ne faut même pas l'expliquer au final.
09:13Parce que bon, on joue un Paris qui joue sur un pied.
09:16Voilà, je pense que ce match-là, il faut vite l'oublier.
09:19Mais ça ne t'a pas fait quand même meilleure impression, ce match à Paris que les précédents?
09:23Après, on s'appuie sur pas grand-chose, on est d'accord.
09:25Meilleure impression, mais une équipe, ils n'ont pas joué.
09:28Sincèrement, pour moi, ils n'ont pas joué.
09:31S'il y avait encore Feurené dans nos émissions et qu'il était à la place de Samir ou de Romain,
09:36il te dirait, il faut arrêter. Chaque fois qu'on gagne un match contre qui que ce soit, c'est toujours les autres, ils étaient nuls.
09:42Je suis d'accord aussi.
09:43Chaque fois qu'ils perdent.
09:44Moi, j'ai vu, tu veux que je te dise mon analyse et mon analyse n'est pas la vérité.
09:48Les arguments s'entendent aussi.
09:50Mais chaque fois que j'ai vu les Parisiens marquer un but, ils ont exulté de joie.
09:55L'entraîneur, il a fait limite le but du stade, les bras levés.
09:58Donc, si les mecs, ils étaient sur un pied, ils s'en foutaient de ce match.
10:02Bon, ils n'auraient pas mis cette énergie et cette joie à chaque but.
10:06Là, quand même, ils ont fait ça entre guillemets.
10:09Moi, je les ai trouvés motivés.
10:11Ils étaient motivés, ils l'étaient.
10:12Mais après, je pense que physiquement, ils n'étaient pas à 200%.
10:15Ils sont les champions, on est d'accord.
10:16Bien sûr.
10:17Ensuite, pour le sprint final, je pense qu'on a un calendrier qui est assez favorable comparé aux autres équipes.
10:21Mais bon, comme tu le sais, le calendrier, des fois, il ne veut un peu rien dire.
10:24On va jouer Reims qui n'a pas gagné depuis, je crois, fin novembre.
10:27C'est capable de perdre.
10:29Donc, au final, pour moi, il n'y a pas de match facile, sincèrement.
10:32Donc, il va falloir aller gagner à Reims, gagner contre Toulouse.
10:37Et puis après, on ira à Monaco.
10:39On ira à Monaco avec un peu, j'espère, des points d'avance.
10:42Mais sincèrement, moi, je suis confiant.
10:44Comme tu disais, Romain, je pense qu'il a quand même le groupe à portée de main.
10:48Est-ce que pour ce sprint final, Romain, quelque part, la bonne nouvelle aussi.
10:52Loic Lachaud, à la réalisation de cette émission, nous montre le calendrier de l'OM.
10:57Est-ce que l'avantage, je ne sais pas, justement, on va à Reims qui a été décimée dans le Mercato d'hiver.
11:01Ils ont un groupe de jeunes, mais c'est de plus en plus dur.
11:04C'est l'équipe du début d'année qui était venue nous poser problème au Stade Vélodrome.
11:08Mais ils se sont perdus quand même.
11:10Ils ont perdu leur meilleur joueur derrière, leur meilleur joueur au milieu.
11:13Et après, on reçoit Toulouse à domicile.
11:16Donc, est-ce que ces deux matchs, si par chance, parce que comme tu le dis, Garen,
11:21un match n'est jamais gagné à l'avance.
11:24Si on arrive à prendre six points, parce qu'à un moment donné,
11:26si on veut finir deuxième ou troisième, il va falloir gagner des matchs.
11:28C'est mieux de les prendre là, les points.
11:30Si Monaco, entre temps, fait un faux pas, tu vas à Monaco un peu plus relâche
11:37que si tu fais encore un nul ou une défaite sur ces deux premières rencontres de reprise.
11:41Totalement.
11:42Ça va être très mesquin ce que je vais te dire, mais mon objectif, c'est de faire six points Reims-Toulouse.
11:48Pourquoi ? Pour aller à Monaco en ayant cette attitude de se dire on peut faire nul.
11:52Pourquoi ? Parce que si Monaco fait six points aussi sur les deux journées qui suivent,
11:57ils peuvent le faire et compagnie, ils seront au coude à coude avec toi.
12:00Mais ça veut dire que tu auras fait un petit trou par rapport aux autres poursuivants.
12:04En plus, il va y avoir des confrontations directes.
12:07Ou alors Monaco ne fait pas le plein et tu as une avance suffisante pour leur dire
12:13mais nous, un nul chez nous, ça vous arrange.
12:15Parce que Monaco-Nice, le prochain match on va à Reims, tu gagnes.
12:19Le meilleur résultat, ça serait quoi ? Un match nul ?
12:21Ça va leur prendre deux points aux deux.
12:24Ça nous mettrait à quatre points de plus.
12:26Et après, la journée d'après, on reçoit Toulouse.
12:29Et que fait Monaco ? Ils vont à Brest, il faudra gagner à Brest.
12:33Tu regardes, ils sont en première partie de tableau à Brest.
12:35Et Nice, ils reçoivent Venant. Bon, ça sera un peu plus facile.
12:39Après, je ne sais pas ce que tu en penses Romain.
12:41Tu as cette impression que toutes les années, on arrive sur les huit derniers matchs au mois de mars.
12:45On est là à compter le calendrier de l'un, de l'autre.
12:48On a des barèmes cordaux, on a tout.
12:50En fait, d'un côté, je me dis bon, en fait, on n'a qu'à tout gagner et basta.
12:53Tu vois ? Tu vois ce que je veux dire ?
12:55On gagne tout et c'est fini. On arrête de compter l'un, l'autre.
12:58Pourquoi tu nous fais faire des émissions ?
13:00Je vous propose, quelle année ? 18h15.
13:04C'est la fin de cette émission.
13:06Garen, merci pour ton éclairage technique et tactique.
13:09On gagne tout.
13:10Ça nous a fait plaisir de vous retrouver.
13:12On ne se retrouve pas demain non plus, puisqu'en fait, on va tout gagner.
13:15Donc, on se retrouve quoi ? C'est quoi ? C'est samedi qu'on joue ?
13:17C'est ça, c'est la stratégie. Vous savez quoi ?
13:20Maintenant, on fait des grilles, on passe aux grilles directement.
13:23Donc, on est second, c'est ça ?
13:25Mais tu l'as vu quelque part sur une boule de cristal ?
13:27Non, il est vu. Ne t'inquiète pas.
13:30Ah ben alors, parfait.
13:32On sera dans les deux premiers.
13:33C'est bon, tu fais des tuits sur YouTube et tu te mises dessus dans 30 secondes.
13:35Alors voilà, la fin de saison, comment gérer ?
13:37C'est très simple, il faut tout gagner.
13:39Merci à vous. Bonne soirée. Bravo.
13:42Bon, en tout cas, je vois que vous êtes tous confiants, a priori, pour ce sprit final.
13:48Mais ça va certainement dépendre d'un homme qui s'appelle Mason Greenwood.
13:53C'est la thématique de notre deuxième partie.
13:55Avant, vous en avez l'habitude d'une petite coupure pub.
13:58Pour ceux qui ne sont pas abonnés, qui ne nous soutiennent pas, je ne vous félicite pas.
14:02Non, je rigole. Chacun fait ce qu'il veut.
14:04Et on se retrouve juste après pour parler de Greenwood.
14:10Où est-ce qu'il donne la sirène sur YouTube qui nous dit qu'on a 100 fois plus de chances de battre Monaco ?
14:16Je ne sais pas d'où sort cette stat.
14:21Est-ce que ce n'est pas plus facile pour nous de jouer contre des équipes qui ne sont pas recroquevillées,
14:29blocs bas à l'extrême, qui sont là que pour placer des comptes ?
14:33Les meilleurs matchs qu'on a vus cette année, c'est contre Lille, c'est contre Monaco.
14:36Après, Kondogbiak a laissé beaucoup d'espace à Gaëtan Perrin sur le côté à Auxerre.
14:45Face à Mika Biretz. Bon, il va falloir en laisser autant.
14:51Même 100 fois moins pour reprendre l'expression de Wejden.
14:58Il faudrait qu'on joue l'OM en fait, non ? Je n'ai pas compris la rêve lui d'aussi.
15:03C'est la fameuse phrase, notre meilleur adversaire, c'est nous-mêmes.
15:07Ça, je la comprends, mais il faudrait qu'on joue l'OM.
15:11C'est vrai que sincèrement, sur les gros matchs, on est là.
15:14À part Nice, sur les gros matchs, on a été présents quand même.
15:18C'est pour ça que je pense que c'est là où je me dis qu'on va voir jusqu'à la fin
15:22et on a un potentiel quand même qui doit normalement nous permettre
15:26de voir huit matchs de foot où on a huit fois du De Zerbi.
15:29Vraiment, pour finir, est-ce que vous avez peur d'un retour incroyable de Lyon
15:32qui gagnerait ces huit dernières rencontres et qui nous passerait comme l'année dernière
15:37le petit bout du nez juste devant ?
15:38C'est encore en Coupe d'Europe ?
15:39Oui, joue au Manchester en plus.
15:41Je pense que ça va leur prendre de l'énergie.
15:43Peut-être pas devant nous, mais ils seront là, je pense.
15:45Parce que là, ça ne va pas vouloir.
15:46Je pense que les quatre premiers...
15:47Ah !
15:48Non ?
15:49Ah oui !
15:50Non, mais...
15:51Les complots-plots !
15:52Allez les amis, on va passer à la deuxième partie de cette émission.