• avant-hier
Le journaliste Amaury Brelet revient sur l'occupation de la Gaîté Lyrique par des migrants : «L'Etat de droit n'est pas menacé par Bruno Retailleau, il l'est par la lâcheté de nos gouvernants depuis 30 ans».

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00C'est un festival, cette affaire de la gaieté lyrique, d'impunité, de laxisme et de lâcheté.
00:05On a affaire à des migrants qui sont clandestins sur le sol français,
00:08qui n'ont rien à faire en France, qui occupent illégalement ce théâtre,
00:12qui font régner la loi, qui font régner leur loi depuis des mois au cœur de Paris,
00:16alors même qu'une décision judiciaire les oblige à quitter ces lieux.
00:21Tout cela soutenu, évidemment, avec la complicité de ces associations ultra politisées d'extrême gauche.
00:28Mais c'est la même chanli que l'on a observé il y a plus d'une semaine au pied de la tour Eiffel,
00:32lorsqu'on a vu des policiers obligés de fuir,
00:34caillassés par des vendeurs à la sauvette, eux aussi 99% clandestins.
00:39Et c'est la même chanli que l'on constate depuis des années dans le nord de Paris,
00:42où vous avez des quartiers entiers, où règne la terreur,
00:45où les habitants sont obligés de vivre quasiment calfeutrés,
00:47parce qu'ils sont menacés par des migrants plus ou moins camés.
00:50Donc la vérité, c'est que l'État de droit n'est pas menacé par Bruno Retailleau,
00:54il est menacé par la lâcheté de nos gouvernants depuis 30 ans.

Recommandations