🎙️ Ne manquez pas l'émission "7 sur 7" cet après-midi sur Top Fm🎙️ L'actualité brûlante de la semaine vous attend avec Jasvin Sok Appadu! 📅 Au programme : -Fête d’indépendance - Célébration des moments forts de notre liberté, ainsi que des Radios Privées et de Top TV qui jouent un rôle clé dans notre quotidien. 🤝 La visite officielle de Narendra Modi - Bilan de sa visite à Maurice, les enjeux politiques et économiques qui en découlent. - Me Ashok Radhakisoon interviendra par téléphone. 🗳️ Les élections municipales - Un tour d’horizon des enjeux de ces élections locales, des candidats en lice et des questions qui font débat au niveau des communes. - Le Ministre Ranjiv Woochit nous parlera des changements. 🎧 Restez branchés pour une revue complète et passionnante de l'actualité !
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00:00:00Bon après-midi à tous, bienvenue dans l'émission 7 sur 7 en ce 14 mars 2025.
00:00:21Comme on a filmé hier, nous prenons une revue de l'actualité cet après-midi, nous prenons
00:00:27comme thème le 12 mars, célébration des indépendances aussi, mais l'anniversaire
00:00:32le 12 mars c'est aussi l'anniversaire de Top FM TV, nous prenons l'occasion et le
00:00:38plaisir d'accueillir le CEO de Top FM dans nos studios en live pour nous raconter un
00:00:44peu le pas-à-coup de Top FM TV dans cet espace 12 mois-là.
00:00:48Deuxième thème que nous prenons c'est la visite officielle bien sûr du Premier ministre
00:00:53indien Narendra Modi à Mauritius avec le protocole qui finit signé entre les deux
00:00:58pays.
00:00:59Et troisième thème ce sera les élections municipales qui sont derrière la porte alors
00:01:03comment on finit à prendre l'idée de nos journées de 17h cet après-midi.
00:01:07Les conseils municipaux pour 10 août, lundi et les re-surveillances sont attendus lundi.
00:01:14Nous pourrons tout de suite dans le vif du sujet, comment vous pouvez dire en ce 12 mars
00:01:192025 Top FM TV fête ce premier anniversaire et en direct avec nous dans le studio le
00:01:27CEO de Top FM, Monsieur Balkrishna Konari, bonsoir.
00:01:31Bonsoir Jasfin, bonsoir à tous les auditeurs.
00:01:35Et juste avant qu'il nous commence Monsieur Konari, nous pouvons faire bien l'auditeur
00:01:38vivre peut-être un petit APSU de Top FM TV, l'autre sorti vidéo qui nous propose un petit
00:01:45promo à l'occasion du premier anniversaire de Top FM TV.
00:01:49Pionnière de la télévision privée 24h sur 24, Top FM TV fête son premier anniversaire
00:01:56en ce 12 mars 2025.
00:01:57Depuis son lancement il y a 22 ans, Top FM s'est imposée comme une pionnière de l'innovation
00:02:04audiovisuelle.
00:02:05Le 12 mars 2024, Top FM avait lancé sa nouvelle chaîne Top FM TV offrant ainsi une immersion
00:02:13totale dans l'univers captivant de sa programmation 24h sur 24 en format télé.
00:02:19Information, débats passionnés et hits incontournables se déploient en format vidéo pour le plus
00:02:25grand plaisir de ses téléspectateurs.
00:02:28En seulement 12 mois, plus de 2 millions de connexions ont été enregistrées sur Top
00:02:33FM TV.
00:02:34La chaîne attire en moyenne 250 000 téléspectateurs par mois, preuve incontestable de sa popularité
00:02:42et de son impact innovateur dans le domaine du divertissement et de l'information.
00:02:46L'application Top FM Motion peut être téléchargée sur App Store et Play Store ainsi que sur
00:02:53notre site web topfm.mu.
00:02:55Top FM TV est aussi disponible sur Parabole Maurice, chaîne 10.
00:03:05Voilà, chers auditeurs, comment suffit-il de tenir 2 millions de connexions durant les
00:03:1012 derniers mois?
00:03:11C'est quand même beaucoup.
00:03:12M. Kikuna, es-tu capable, raconte-nous peut-être, en tant que CEO de Top FM, l'histoire d'ailleurs
00:03:19Top FM TV.
00:03:20Ça commence comment?
00:03:21Oui, donc, une aventure extraordinaire.
00:03:25Donc, comme d'habitude, Top FM n'a pas le reste que nous ne commençions, c'est-à-dire
00:03:33une radio privée.
00:03:34Nous filmes tout le temps, inventons des choses, que ce soit dans les émissions, que ce soit
00:03:40même au niveau de la manière dont nous prépons nos produits et donnent nos produits au public
00:03:48mauricien et à la diaspora.
00:03:50Au fait, tout commence avec Top TV en 2013-2014, OK?
00:03:59Et si nos auditeurs et téléspectateurs éventuellement rappellent, c'est Top FM à travers Top TV
00:04:09que nous commençons les streamings éventuellement de télévision en ligne et les premières
00:04:18informations, à part que la MBC, qui nous connaît, donc les premières informations
00:04:23télévisées étaient aussi apportées à Top TV.
00:04:28Donc, mais notre film passe les élections en 2014, après 2014, donc c'était une question
00:04:34de se dire, écoute, c'est plus possible de continuer avec sa même ancienne formule
00:04:41et la manière qui nous fait faire, parce que c'est énorme, la quantité de personnes
00:04:45qu'on utilise, la quantité de ressources que ça prend, le temps que ça prend, c'était
00:04:51impossible pour nous de soutenir.
00:04:53Donc, on a arrêté pendant que, je crois, beaucoup d'autres suivent nous.
00:04:57Beaucoup d'autres suivent nous, ils commencent à faire l'info, etc. le soir et tout.
00:05:02Donc, on a laissé ça tranquille.
00:05:04Donc, ce n'était plus notre plat parce que ce n'était plus possible de continuer
00:05:08avec une formule insoutenable.
00:05:10Donc, à partir de 2017, c'est là que l'on rentre dans une recherche de la technologie,
00:05:19de tout le système qu'on est capable éventuellement de trouver, pour qu'ils nous minimisent.
00:05:23Aujourd'hui, nous, dans le studio, il n'y a personne, et dans vous, et dans moi, et
00:05:28dans la technologie, personne d'autre, tout est en automatique.
00:05:32Donc, c'est là, justement, la clé de cette réussite.
00:05:38Ça a été un travail énorme, un coup énorme.
00:05:43Depuis 2017, Moffin est un globe-trotter.
00:05:48Moffin a besoin, cherche beaucoup de ressources.
00:05:52D'ailleurs, on fait un post au Facebook, 5 nationalités qui travaillent dessus parce
00:05:58qu'il n'y a pas que la technologie.
00:06:00Il y a l'informatique qui rentre dedans, il y a la technologie qui rentre dedans, il
00:06:04y a une interface qui rentre dedans, il y a beaucoup de choses qui rentrent dedans, et
00:06:09à partir de là aussi, la formation humaine, technique qui vient dessus.
00:06:14D'ailleurs, quand on commence à mettre en place ceci, je vous en rappelle bien une affaire,
00:06:19c'est qu'il n'y a pas de télé à Maurice, télé privée.
00:06:22C'est MBC, point à la ligne.
00:06:24La loi ne permet pas.
00:06:26Alors, il fallait trouver quelque chose.
00:06:29Alors, trouver quelque chose au moins un coup avec plus d'efficacité, c'était ça le challenge.
00:06:35Et là, on prend mon bâton de pèlerin, comment dire, on visite beaucoup, beaucoup de, plusieurs
00:06:46pays, beaucoup de suppliers, beaucoup de consultants.
00:06:50D'ailleurs, je suis tout étonné, je me dis « mais qu'est-ce que tu fais, tu as besoin
00:06:54de faire ça.
00:06:55Comment tu peux merger radio et télévision ? »
00:06:58Ben, écoute, dans toutes les, écoute, Maurice est spécifique, la télé c'est un monopole
00:07:06de l'État, on ne peut pas, alors il y a la radio, mais il y a quelque chose qui est extraordinairement
00:07:14libre, c'est l'internet.
00:07:16Donc, pour moi, il faut que moi arrive à mettre en place un produit de télé, aujourd'hui
00:07:23si on a une licence télé, on peut atteindre toutes les télévisions à Maurice, mais
00:07:30maintenant déjà là, Top FM TV est déjà sur Parabol, donc l'aventure avec Parabol
00:07:40me provient un petit peu dans un petit moment dessus.
00:07:43Donc, 2017, mon visite, les États-Unis, l'Angleterre, le Pays-Bas, Hong Kong, la France, plus de
00:07:53plusieurs semaines destinées à ce moment-là pour chercher justement mes collaborateurs.
00:07:58Qui c'est qui sont disposés de sortir en dehors de ce qu'ils peuvent faire et faire
00:08:04ce qu'ils peuvent faire ? Et ça aussi presque, donc pour eux qui peuvent traiter avec des
00:08:09grosses pointures, ils peuvent venir dire, comment dire, ils peuvent bouger un éléphant
00:08:15pour qu'ils fassent un petit travail.
00:08:17Donc, 2017-2018 a été justement ce travail et après 2019, malheureusement, nous ne gagnons
00:08:26l'accident de parcours, quand nous avons trouvé un gouvernement complètement acharné
00:08:33contre nous, et après les élections de 2019, donc à cela vient toutes les conséquences
00:08:40financières.
00:08:41C'était difficile ?
00:08:42C'était difficile.
00:08:43C'est extrêmement difficile quand on gagne un gouvernement qui coupe tout, coupe tout
00:08:47budget publicitaire et pire encore, coupe tout overdraft bancaire.
00:08:52À ce moment-là, c'était fait pour nous asphyxier, pour nous tuer, mais bon, on est
00:09:01là.
00:09:02On est toujours là.
00:09:03On est toujours là.
00:09:04Alors, ça nous a mis un frein, le frein de 2019, le frein d'à partir février 2019,
00:09:13ça nous a freiné le projet.
00:09:14Donc, nous avons été un petit peu au frigo et après nous, il y a la COVID de toute façon,
00:09:192020-2022, dormant.
00:09:22À partir de 2023, on ré-rattrape le dossier, recontacte tout, nous avons déjà fait une
00:09:30bonne partie de l'investissement avant et on reprend tout avec nos bonnes collaborateurs
00:09:36et nos bonnes partenaires et 18 mois de travail.
00:09:4018 mois de travail dont 8 mois à 9 mois avec Parabol.
00:09:45Parce que quand on avait fait Top TV, au fait, à ce moment-là, c'était le Top TV qui était
00:09:53en test.
00:09:54Personne ne l'avait vu, c'était en test.
00:09:58Donc, environ 8 mois de travail avec Parabol pour qu'ils nous disent comme ça, nous capables
00:10:02aussi d'aller sur Parabol parce que Parabol, il faut comprendre que Parabol est un décodeur
00:10:07qui prend des IPTV.
00:10:10Alors, il fallait avoir éventuellement l'agrément de l'IBA parce que Parabol est licencié d'IBA.
00:10:20Donc, il faut avoir IBA.
00:10:21Donc, on a dû faire un produit spécifique pour Parabol mais le contenu reste le contenu.
00:10:27Donc, ce qui fait qu'aujourd'hui, c'est que le public PGT, c'est un contenu de télévision
00:10:33carrément à partir de la radio.
00:10:35Mais ceci, Top FM TV, c'est le cobaye de ce qui va éventuellement être notre produit
00:10:43de demain.
00:10:44Demain, ce sera quelque chose de beaucoup plus grand, une télé 24 sur 24 avec une programmation
00:10:527 sur 7.
00:10:53Donc, c'est ce qui nous fait viser.
00:10:55Donc, ce sera Top TV.
00:10:56Top TV sera la deuxième chaîne éventuellement qui pourvient, complète un petit peu, nous
00:11:03booker.
00:11:04Cette fois-ci, ce sera une chaîne télé avec une programmation télé et non pas une
00:11:07programmation radio.
00:11:08Là aujourd'hui, ce qu'on voit, c'est la programmation radio mais en vidéo sur la
00:11:14télévision.
00:11:15Donc, les clips, toutes les chansons qui nous passaient, c'est en clip vidéo.
00:11:20Alors, une chose, c'est quand même extraordinaire.
00:11:24Bon, le coût, c'est énorme.
00:11:28Il est vrai que le 12 mars 2024, nous annoncent que tout est prêt, tout est fin prêt.
00:11:37On lance Top FM TV et d'ailleurs, si je ne me trompe pas, c'était midi même et donc,
00:11:45c'était un peu pour essayer de marquer l'heure éventuellement et donc, pour nous, c'est
00:11:55un accomplissement extraordinaire.
00:11:58Et ce qui m'a choqué à un moment donné dessus, c'est que dès que nous nous parlaions
00:12:02de ce parabole, au fait, tout le monde, beaucoup, nous, les compétiteurs, etc., qui regardent
00:12:09les choses, nous avons tellement cassé la tête avec ce qui peut arriver.
00:12:12Au fait, nous avons trouvé ce qui peut arriver.
00:12:17Mais dès qu'il nous arrive ce parabole, il y a eu une sorte de bouleversement, une
00:12:25mayonnaise est montée à un tel point qu'il y a un collaborateur, ici, local, qui dit
00:12:32qu'il y a un certain intérêt d'autres, apprendre d'un côté nous pour le faire
00:12:37d'un côté d'autres.
00:12:38On va dire comme ça, mais d'abord, M. Edzo, de bonne chance, parce qu'il faut d'abord
00:12:44cloner Chris Connally parce que tout est dedans, la vision, la conception, la technologie,
00:12:53tout.
00:12:54C'est ce qu'il faut faire pour arriver à faire ce merging.
00:12:57Mais par contre, il y a quand même une bonne équipe de collaborateurs sincères qui peut
00:13:02travailler dessus et le produit du futur, on ne l'a pas encore vu, mais ça va être
00:13:08pour bientôt.
00:13:09Au fin de cause, télévision privée, là, nous nous apprenons qu'il y a une radio privée,
00:13:12par guéridroit, il y a une télévision privée ou en tant que CEO de Top FM, est-ce que vous
00:13:17pensez que commercialement, ce n'est pas viable si le projet qu'il y a dans le futur,
00:13:23c'est une radio privée qui n'est pas capable d'arriver à une télévision privée ?
00:13:26Non, mais moi, je crois que nous avons besoin, vous connaissez, il nous arrive 22 ans, aujourd'hui
00:13:3223 ans cette année, que la radio privée existe.
00:13:37Mais je pense que les législateurs commencent avec un petit peu, je ne sais pas, nous faisons
00:13:47quand même un long chemin éventuellement par rapport à la radio parce que ça a bouleversé
00:13:53quand même tout ce qui se passait dans ce pays, parce qu'aujourd'hui, c'est grâce à la radio
00:13:58privée que l'information, comme dit Mounissipé, souhaitait, n'a pas gagné, qui n'a pas gagné dans
00:14:07le passé, c'est-à-dire sur la pointe des pieds, mais aujourd'hui, beaucoup de radios, ils risquaient,
00:14:13principalement de radios, ils prennent beaucoup de risques dans ce pays, avec bonnes conséquences,
00:14:19d'ailleurs nous-mêmes, nous, nous nous sommes suspendus à quatre reprises, donc ce n'est pas
00:14:25rien, au bout de pratiquement 17-18 ans sans aucune sanction, tout d'un coup commencer à être
00:14:32sanctionné par des suspensions, ça a été vraiment très dur. Mais par contre, ce que les législateurs
00:14:39ont besoin de regarder, c'est que le marché commercial à Maurice est tellement petit,
00:14:44donc on est en train de puiser dans les mêmes bassins, nous pas comme la MBC qui a une
00:14:52redevance télé, par exemple, là aujourd'hui, donc que l'ancien régime ou le nouveau régime a promis
00:14:59pour retirer les redevances, bon moi me crois que si se retire la redevance, pour la pluralité de
00:15:07tout ce qui se passe dans le média et pour le suivi même du média et de la démocratie, nous
00:15:12allons trouver une formule quelque part, parce que soutenir commercialement les chaînes de
00:15:20radio ou de télévision, c'est difficile. D'ailleurs, franchement, il n'y en a pas
00:15:24d'argent à gagner dans la télé, c'est pourquoi qui nous invente, c'est qui nous l'a inventé,
00:15:29nous invente quelque chose avec beaucoup d'argent au niveau technologique, pratiquement 40% de nos
00:15:38investissements de 2017 aujourd'hui est presque obsolète, je veux dire que sa vitesse qui tout
00:15:44ça a changé et que ce qui nous l'investit en 2017, pratiquement dans les 10-12 millions d'euros,
00:15:50puis nous faisons dire aujourd'hui, nous faisons plier, les pays n'ont pas d'utilité,
00:15:56les pays n'ont pas d'utilité, oui, c'est dans un certain milieu, mais les pays n'ont pas d'utilité
00:16:01qui nous pèsent aujourd'hui, parce que la technologie n'évoluait. Donc, moi je pensais
00:16:11que le législateur pouvait arriver à un moment donné pour dire que il pouvait revoir la loi,
00:16:19c'est-à-dire qu'il pouvait être capable, aujourd'hui on connaît la presse écrite par
00:16:24exemple qui ne paye pas 19% d'un radio, mais ça c'est la presse écrite. Mais
00:16:31rien n'est décrit pour la télé. Par exemple, aujourd'hui, la loi comme il est, Top FM ou
00:16:37n'importe qui d'autre ne peut pas détenir une licence de télévision. Mais par contre, il y en
00:16:44a un qui empêche une demande pour une télé privée. Donc, Top FM, elle, en termes d'entité,
00:16:56ne peut pas. Mais je pensais que nous pouvions espérer qu'il y ait une représentation avec le
00:17:01nouveau Bode, avec tout ça, et que le gouvernement pouvait venir avec ce formulaire. Nous pouvons
00:17:05bien évidemment faire une représentation, parce que qu'est-ce qu'on fait ? Nous ne payons seulement
00:17:09le coût d'investissement, nous ne payons seulement le marché commercial, nous payons la ressource
00:17:15humaine. La ressource humaine aujourd'hui est limitée dans ces choses, dans ces milieux. Quand
00:17:23nous disons limitée, limitée en qualité. Parce qu'aujourd'hui, pour pouvoir soutenir tout ceci,
00:17:30on est en train de prendre des personnes, entraîner, mais ces personnes-là ne se donnent
00:17:37pas assez de temps pour devenir bons. Allez voir le nombre d'erreurs que nous avons un peu partout,
00:17:44chez nous comme ailleurs. C'est un parcours de combattants énormes. Le pays est en train d'avoir
00:17:52un brain drain, un skill drain, et nous avons de moins en moins de personnes qui sont en train
00:18:00d'embrasser justement le média par passion. Donc, il y a toujours cette histoire de tremplin,
00:18:09right ? Il y en a combien qui sont aussi dans le média aujourd'hui, qui sont aussi dans les autres
00:18:14domaines. Mais le média est un tremplin. Vous connaissez, beaucoup de gens ne réalisent pas
00:18:20ça. C'est que le média a donné l'opportunité à beaucoup de personnes qui, autrement, n'auraient
00:18:29pas eu cette possibilité. On se rend compte aujourd'hui qu'il y a des gens qui sont rentrés
00:18:35se faire, qui ne finissent pas d'avoir un titre de journaliste. Donc, on se rend compte de ce qui
00:18:42est arrivé là. Que cette personne, l'individu, il travaille pour tel média, telle chaîne,
00:18:49tel TFM, ou quoi que ce soit. Dans la société, ça donne une certaine aura, une certaine valeur,
00:18:58right ? Mais la valeur qui l'accompagne dans ce métier, ce n'est pas comme ce qui était dans
00:19:11le temps. Je connais beaucoup de personnes dans la presse qui commençaient à un certain moment
00:19:15donné dans la presse écrite, qui étaient quand même très difficiles pour rentrer à une certaine
00:19:19époque, et qui étaient en travail quand même d'écrit, right ? Qui n'est pas pareil comme la
00:19:25radio. La radio aujourd'hui, on prend un texte, on rentre, on voit l'antenne, c'est complètement
00:19:31différent. Donc, pour dire que le challenge pour la télé privée, pour d'autres chaînes de radio,
00:19:37ou quoi que ce soit, d'ailleurs, tout avait démarré dessus, il n'y en a pas de marché pour
00:19:44qui nous capables, right ? Continuer à soutenir viablement, donner une carrière à des gens,
00:19:54ok ? Et faire éventuellement cette personne-là évoluer d'une certaine qualité. C'est-à-dire
00:20:00grandit ses valeurs à lui-même en tant que personne cultivée, et ainsi de suite, et être
00:20:06efficace dans ce qu'il peut faire. Donc, voilà un petit peu ce qu'ils m'ont pensé que c'était le
00:20:11challenge, et que nous espérons, moi, que quand Pévine, avec sa main de nouveau la loi, etc.,
00:20:17se revoit en la loi qu'il a imposée depuis 2021, right ? Le IBI, et revoit certaines choses dedans.
00:20:25On ne peut pas dire que tout n'est pas bon, mais une bonne partie dedans mérite à être revue. Et
00:20:31tout ce qui se passe ici, c'est que tout cet aspect de partenariat possible entre le public
00:20:41privé, la presse, entre la radio, entre la télévision, ben, on est un petit pays, 1,3 millions
00:20:50habitants. Demain, ce sera presque 300 000 personnes au-dessus de l'âge de 60 ans, n'ayant pratiquement
00:20:57une population active de 350 000, 400 000 personnes. Le reste en dehors. Donc, là, nous
00:21:03avons cet environnement-là, right ? L'avenir est très, très challenging. Je ne crois pas, moi,
00:21:14vous savez, aujourd'hui, quand vous avez une radio à La Réunion, par exemple, déjà, même les licences,
00:21:18les licences, aujourd'hui, à La Réunion, on ne paye pas de licences. La télé ne paye pas de licences,
00:21:23ok ? Mais ici, aujourd'hui, nous arrivons à tout cela. Vous savez que les licences même de la radio
00:21:29ont doublé, sorti de 400 000 à 800 000 par an. Tout ceci nécessite un remettre à plat. Un remettre à
00:21:37plat pourquoi ? Si les dirigeants politiques sont sincères qu'il nous faut une démocratie, une
00:21:47démocratie vivante, right ? Que la population participe. Ben, nous avons besoin de faciliter
00:21:55ça. Et ne pas craser. Et ne pas craser. Ne pas craser les médias, ne pas craser la presse,
00:22:00etc. Et donc, parce que pourquoi ? On paiera les conséquences plus devant. Maurice est un pays
00:22:08qui est dans un niveau d'éducation. La population est patiente. La population, dans l'ensemble,
00:22:17n'est pas violente. Mais la population ne permet pas et n'autorisera pas, right, de la dictature ou
00:22:24de l'autocratie. Donc, ce qui fait que si nous connaissons que ça c'est une donne, right,
00:22:32indissociable de la vie mauricienne, à ce moment-là, moi, je pensais que nous, les dirigeants
00:22:38politiques, nous devions nous composer avec les médias et être plus transparents, right ? Et là,
00:22:44je trouve que le docteur Amgoulam me dit que ça s'en joue, les pouvoir vers les médias, vers la
00:22:51presse, vers la population à travers les différents outils pour communiquer. D'ailleurs,
00:22:56souvent, on me pose la même question, pourquoi dans Maurice, tout le temps, nous, on a des
00:23:00difficultés pour gagner un premier ministre, pour qu'il vienne dire qui peut arriver, qui ne va pas
00:23:05arriver. Comme ça se passe en Amérique où il y a le presidential address, right, systématiquement.
00:23:11Donc, aujourd'hui, peut-être que le docteur Amgoulam peut ouvrir un chemin pour le futur
00:23:16à tous les dirigeants de demain, right, d'aujourd'hui et de demain, et m'espérer, moi,
00:23:22que dans sa mouvance-là, nous, conscients qu'il nous besoin un média vivant et nous, et non pas
00:23:35lié à une population qui ne peut pas permettre aucune sorte de, comment on dit, de harcèlement
00:23:44ou de fermer, restreindre la liberté d'expression à travers les médias. Donc, si ceci est fait,
00:23:54et à qui, moi, je pense qu'il nous pourra avancer énormément dessus. Mais malgré toutes ces mêmes
00:23:59contraintes-là, comme le dit M. Balakrishnan, il y a une chose qui est certaine, c'est que,
00:24:05si on regarde les statistiques, en 12 mois, comme on dit, il y a des millions de connexions
00:24:11à travers les applications, ou à travers Parabalmouris pour Top FM, TV, Mauritius, Allo.
00:24:17Raconte-nous un peu le parcours, l'évolution au niveau de l'émission, etc.
00:24:21On parle très vite là-dessus. Donc, les émissions, les talk-shows et tout, tout se passe dessus.
00:24:26Donc, donnez-nous une simple statistique. Pour nous, aujourd'hui, quand on dit qu'on
00:24:30est sur Facebook, on est toujours présent sur Facebook. On est obligé d'être présent sur
00:24:33Facebook. Quand on dit qu'on est sur YouTube, on est toujours présent sur YouTube en live,
00:24:38sur Facebook live. Mais pour nous, Facebook et YouTube n'ont plus de référence. D'ailleurs,
00:24:43si on regarde l'émission d'hier, quand le numéro 3 du gouvernement était l'invité de Top FM et Top
00:24:54FM TV, donc nous avons gagné pratiquement 113 820 personnes. L'ONU application. L'ONU application.
00:25:04Dedans, c'était 13 711 personnes qui suivent Parabalmouris sur la télé. Mais sur l'ONU
00:25:13application sur le téléphone, 112 449. Comment vous êtes capable de trouver l'EA à l'écran,
00:25:20effectivement ? Alors, pour moi, ça, c'est l'achievement. Aujourd'hui, 170 000 personnes
00:25:31ont fini de télécharger notre application, qui est disponible sur l'App Store, sur la
00:25:38Huawei App Gallery, sur notre site Web et sur le Play Store. Et on peut continuer de pousser. Donc,
00:25:44les gens qui sont dans Parabol, espérez qu'il y ait de plus en plus, ça va être nombreux aussi
00:25:50de connecter à travers Parabol. Ça, c'est la réalité. Parce que quand on peut trouver ces chiffres
00:25:56qui sont à l'écran, c'est carrément les chiffres démontrés par le serveur. Ça, on ne peut pas
00:26:03tricher dessus. Donc, voilà où on est parti. The game has changed since long for us. Donc,
00:26:13ce n'est plus le même. On n'est plus en train de jouer sur le même terrain que tous les autres
00:26:19sont en train de jouer. C'est l'innovation. On est pionniers. On a créé quelque chose d'extraordinaire.
00:26:24Pour le mot de la fin, si il y a des auditeurs, il n'y a pas de nous. Absolument, absolument. Moi,
00:26:33je pensais que les auditeurs, il y a des hauts et des bas dans toutes les choses. Il y a tout
00:26:37le temps des gens qui, à un moment ou à un autre, ont des opinions différentes. Mais nous,
00:26:47nous restons constants. Pourquoi nous restons constants ? Nous restons constants dans l'intérêt
00:26:51de la population. Ce qui est dans l'intérêt d'une partie de la population n'est pas nécessairement,
00:26:57à notre avis, dans l'intérêt du pays. C'est l'intérêt du pays qui compte. Ce n'est pas
00:27:05l'intérêt de quelques personnes qui comptent. Donc, pour nous, nous pèse ça beaucoup plus dans
00:27:10la balance. C'est-à-dire, d'abord, c'est l'intérêt du pays avant tout. Et des fois, nous capables,
00:27:17éventuellement, trouvent quelque chose que la majorité de la population peut croire autrement,
00:27:24mais ce n'est pas nécessairement quelque chose qui est vrai, qui nécessairement est vrai. Donc,
00:27:31il faut expliquer. C'est là que nous gagnons beaucoup plus de personnes, avec beaucoup plus
00:27:35d'idées et beaucoup plus d'opinions différentes. C'est le débat qui fait enrichir. En tout cas,
00:27:42merci beaucoup et félicitations, bon courage pour tous ces projets qu'on a annoncés dans l'avenir.
00:27:48Nous prenons un doute qui est au PFM pour ENA, malgré les contraintes qu'il y a une fin passée.
00:27:53C'est une fin passée en cyclone, comme on l'a raconté en 2019, dans l'intervalle 2022.
00:27:59Je ne crois pas qu'il y a d'autres affaires qui sont capables d'empêcher ou de faire ou de réaliser
00:28:04les projets qu'il y a à l'avenir. Écoute, pour nous, je remercie d'abord tous les auditeurs qui
00:28:10croient en nous et beaucoup sont sincères, beaucoup sont à côté de nous dans des moments les plus
00:28:17difficiles et surtout, des fois, dans des moments où on a été injustement critiqués. Et là,
00:28:25moi, je remercie tous ceux qui m'ont envoyé des messages, qui ont tout le temps été à côté de
00:28:29moi, que ce soit sur mon profil Facebook, que ce soit sur mon portable, etc. Et à ceux-là,
00:28:36je dis un grand merci. Merci, en tout cas, merci beaucoup, M. Chankonare. Bonne continuation,
00:28:42nous souhaitons bon courage et bonne chance dans les projets à venir. Merci.
00:28:45Du coup, Mock & Pause tout de suite, avant qu'il ne nous parle retrouve M. Arshok Radhakishun,
00:28:49qui vous lit pour qu'aujourd'hui nous, peut-être les cadres légals à Maurice
00:28:54pour une télévision privée. A tout de suite.
00:29:19Découvrez notre studio, nos animateurs, vos hits musiques préférés en clip et l'info complète,
00:29:28factuelle et crédible.
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00:31:36TOP FM Live TV, une grande première, vivez en temps réel, la première radio TV de Maurice.
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00:32:147 sur 7, l'actualité et les événements de la semaine décortiqués.
00:32:40Retour en studio dans l'émission 7 sur 7.
00:32:45C'est la venue de la télévision privée à Maurice.
00:32:50C'est aussi le premier anniversaire de TOP FM TV à Maurice.
00:32:55Ce premier anniversaire est célébré le 12 mars, le même jour de l'indépendance.
00:33:00Radio privée à Maurice, beaucoup de fois, nous finissons ici.
00:33:04Mais nous sommes toujours en attente.
00:33:06Est-ce que la radio privée est une bonne réalité à Maurice ?
00:33:09Nous avons en direct avec nous le maître Ashok Radhakrishnan.
00:33:13Maître Ashok Radhakrishnan, bonsoir.
00:33:15Bonsoir.
00:33:16Si vous pouvez accepter de répondre à nos questions concernant la télévision privée à Maurice.
00:33:21La première question que je vous pose, nous finissons avec la télévision privée.
00:33:25Il y a plusieurs années de cela.
00:33:27Est-ce que vous pensez que la télévision privée à Maurice pourrait être une réalité dans les années à venir ?
00:33:33Peut-être qu'on mettrait dans ce contexte les temps bien.
00:33:36C'est une cause qui nous peut causer depuis à peu près 20 ans.
00:33:40Depuis que finit la loi sur la création d'un billet, à l'époque-là.
00:33:46Cette cause libéralise les zones, c'est-à-dire la radio et la télévision.
00:33:54Donc, il n'y a pas eu une réalité jusqu'à maintenant.
00:33:57Pour plusieurs raisons.
00:33:59Je ne vais pas vous évoquer toutes les raisons d'aujourd'hui.
00:34:02Mais je reviens à la deuxième question.
00:34:04Est-ce qu'il n'y a pas eu une réalité ou bien non ?
00:34:07Pareil comment c'était en 2002-2003.
00:34:12Il n'y a pas eu une réalité.
00:34:14Malgré que ça allait très loin dans ma démarche pour développer une radio et une télévision privée.
00:34:20Finalement, c'est un facteur, c'est une raison.
00:34:23Qui à l'époque, managerisant, s'y pensait peut-être un peu trop tôt.
00:34:29Mais aujourd'hui, 20 ans finissent passés.
00:34:32Et non seulement les temps sont insensés.
00:34:35Mais l'environnement audiovisuel, audiovisuel technologique aussi est insensé.
00:34:40Donc, la question-là sur réponse que je vais vous donner 20 ans de cela.
00:34:45Peut-être qu'on n'a pas la même réponse aujourd'hui.
00:34:48À l'époque de 20 ans de cela, on a eu un problème de fréquences.
00:34:53Pourquoi pas allouer à la télévision privée ?
00:34:57Mais depuis qu'on est dans une ferme analogique, on n'a pas la même fréquence numérique.
00:35:05C'est possible de faire plusieurs fréquences avec une fréquence analogique.
00:35:11À peu près 5.
00:35:12Un nous donne 5.
00:35:14C'est un problème qui tient à l'époque.
00:35:17Ce qui a cité une bonne fréquence, ça ne l'est pas posé aujourd'hui.
00:35:21Mais ce qui est arrivé, c'est qu'il y a une bonne fréquence qui tient.
00:35:27Mais aujourd'hui, il y a une certaine diffusion qui peut faire toute cette bonne fréquence-là.
00:35:32Si on regarde la MBC, nous connaissons ce qu'il vient de dire, toute la vérité.
00:35:36Ils ont dit que la MBC diffuse à peu près 15 ou bien 16 chaînes numériques.
00:35:44Quand nous posons la question, ce sont des chaînes publiques.
00:35:49Alors s'il y a un désir de faire une télévision privée et qu'il n'y a pas de chaînes numériques,
00:35:56pas de chaînes, pas de fréquences numériques utilisables,
00:36:00là nous avons un grand problème parce que cette bonne fréquence-là, je l'ai déjà allouée.
00:36:05Je ne sais pas si il y a une autre fréquence qui n'a pas été allouée.
00:36:08Peut-être qu'elle ne sert pas à ça.
00:36:10C'est simplement technique.
00:36:11Je connais bien ce qui fait la gestion de la fréquence dans nos pays, c'est-à-dire la cité,
00:36:16qui n'a pas donné sa réponse.
00:36:17S'il y a encore une autre fréquence numérique, pourquoi faire la télévision privée ?
00:36:23Parce que, historiquement, la MBC a une bonne fréquence-là,
00:36:27pas sous son contrôle, mais elle est donnée pour être administrée, pour servir.
00:36:32Il faut mettre la bonne programmation dessus.
00:36:35Mais est-ce qu'aujourd'hui il peut y avoir une décision pour prendre ?
00:36:38Parce qu'il faut bien prendre une décision sérieuse à deux niveaux.
00:36:40D'abord, est-ce qu'une fréquence numérique là est restée ?
00:36:46C'est ça la réponse qui viendra de l'avenir.
00:36:49Et deuxièmement, est-ce qu'il y a une réflexion qu'on peut faire
00:36:54pour que quelqu'un soit capable d'utiliser cette bonne fréquence
00:36:58qui est déjà allouée et qui déjà peut servir pour se définir une bonne programmation ?
00:37:04C'est une grande décision.
00:37:05Mon frère vous a posé le policy, le policy, au niveau du frequency management.
00:37:10Parce que quand il y a une fréquence, quand il y a un demandeur de fréquence,
00:37:15et il y a plusieurs opérateurs d'un secteur comme l'audiovisuel,
00:37:19mais l'ITU n'a pas ce genre de recommandation quand il donne une fréquence.
00:37:22En fait, fréquence, c'est pour l'ITU.
00:37:24Fréquence, c'est pour l'ITU, c'est comme un état.
00:37:27Il n'y a pas d'administration, l'état-tique, qui s'occupe de cette fréquence-là.
00:37:31Mais d'après l'ITU, quand il y a une fréquence, il y a un demandeur,
00:37:34il faut que cette fréquence soit équitablement distribuée.
00:37:38Est-ce qu'elle est économiquement distribuée
00:37:42pour qu'il n'y ait pas de projet de télévision ou de radio dessus ?
00:37:47Est-ce qu'elle peut servir techniquement ?
00:37:50Nous savons qu'il faut un niveau d'interférence, tout ça là.
00:37:53Donc, il y a un autre problème, pas un problème, mais bien définitivement,
00:37:57c'est un coup d'œil sur cet aspect-là.
00:38:00Il y a, à mon avis, légalement, un devoir de l'État
00:38:04de s'assurer que la fréquence est utilisée selon les recommandations de l'ITU.
00:38:10On comprend qu'à l'époque, quand il y avait un demandeur,
00:38:13il y avait une instance, un service, une fréquence.
00:38:17Je vous dis, quand il y a un demandeur,
00:38:20est-ce qu'il ne peut pas avoir le même raisonnement ?
00:38:23Si nous avons les recommandations de l'ITU,
00:38:26peut-être qu'il y a, quelque part, un groupe de travail
00:38:29qui a son problème de fréquence là.
00:38:32Parce que s'il annonce une télévision là pour faire et pour arriver,
00:38:36quelque part, il n'y a pas de fréquence.
00:38:38Parce que comment on peut faire ?
00:38:39Il faut bien qu'il y ait des gens, des opérateurs, des investisseurs,
00:38:42qui ont envie de développer une télévision,
00:38:44préserver le risque, alors qu'il n'y a pas de fréquence disponible.
00:38:47Mais avant qu'il n'y ait pas de fréquence disponible,
00:38:49il faut qu'il y ait une fréquence.
00:38:51Donc l'ITU, qui n'est pas détenteur,
00:38:53mais c'est lui qui administre sa fréquence à Maurice,
00:38:56peut-être que c'est l'instance qui est capable,
00:38:59si elle n'a pas de décision,
00:39:01qu'elle prend la décision que l'autre prend,
00:39:03d'aller à un directeur pour faire un certain travail dans ce sens-là.
00:39:07C'est la première étape.
00:39:09Il faut avoir une fréquence claire.
00:39:11On a un deuxième élément, peut-être,
00:39:13qui me tient content dans ce débat,
00:39:15c'est qu'aujourd'hui, financièrement, peut-être,
00:39:18c'est moins cher pour faire une télévision privée
00:39:22que ce que tu pouvais faire avant.
00:39:24Il y a une fréquence, une seule fréquence, je ne sais pas quoi.
00:39:27Mais aujourd'hui, peut-être,
00:39:29si même le coût n'est pas sensiblement diminué,
00:39:32mais est-ce que quand on regarde le développement
00:39:36qui finit dans les réseaux sociaux,
00:39:38comme la radio, par exemple, aujourd'hui,
00:39:41ça peut développer un projet de télévision ?
00:39:44Et quand on regarde notre programme aujourd'hui,
00:39:46notre programme de grande écoute,
00:39:48toute notre radio porte sur notre programme,
00:39:51d'une façon visuelle aussi.
00:39:53Donc nous avons notre radio qui est télévisuelle un peu.
00:39:58Donc ça laisse pas ça,
00:40:00ce qui nous occupe, c'est trois radios qu'il y en a,
00:40:03qui sont dans notre chaîne télévisuelle,
00:40:07digitale, numérique.
00:40:09Donc est-ce que le besoin
00:40:11qui peut faire sentir 20 ans de cela,
00:40:14ce sont les mêmes besoins ?
00:40:16Moi, je crois, à mon avis personnel,
00:40:19qu'ils veulent faire une télévision privée.
00:40:22Quand on est dans une chaîne publique,
00:40:24ils veulent faire de l'autre côté du coin,
00:40:26comme ils veulent faire de la radio,
00:40:28ils trouvent qu'ils finissent par arriver.
00:40:30Les radios, ils viennent bonifier un petit peu
00:40:32l'espace démocratique et aussi nous montrer
00:40:34comment faire l'information d'un pays
00:40:36qui qualité l'information donnée,
00:40:38qui m'intéresse bien couvert.
00:40:40Quand on demande une télévision privée,
00:40:42nous prenons ce même réflexe-là.
00:40:44Et nous avons environ 350 000, peut-être,
00:40:47d'abonnés aujourd'hui avec MBC,
00:40:51qui guettent sur télévision, matin et soir,
00:40:54aux téléspectateurs traditionnels.
00:40:57Peut-être qu'il y a un marché à prendre
00:40:59pour n'importe qui,
00:41:01c'est là qu'ils viennent dans le secteur.
00:41:03Donc ce qu'on peut dire, c'est une grande réflexion.
00:41:05Il est très facile de dire,
00:41:07nous vivons un férié,
00:41:09parce que, par exemple,
00:41:11est-ce qu'il y a toujours de l'actualité ?
00:41:14Peut-être que le troisième élément
00:41:16le plus important, c'est le côté rentabilité.
00:41:18Est-ce qu'il est viable ?
00:41:20Est-ce que vous pensez qu'il est viable
00:41:22un projet de télévision privée à Maurice ?
00:41:24Pour moi, en général,
00:41:26si un promoteur vient avec un projet
00:41:30de télévision privée,
00:41:32il prend en considération le marché
00:41:34comme il l'était, l'espace audiovisuel
00:41:36comme il l'était,
00:41:38il prend en considération les goûts
00:41:40et les textes des téléspectateurs.
00:41:42Quand il prend ces trois éléments
00:41:44et les met ensemble,
00:41:46c'est là qu'il est capable d'avoir
00:41:48une télévision comme elle est coûtée,
00:41:50parce qu'il ne peut pas croire
00:41:52qu'il parle d'une instance
00:41:54payée, radio pas payée.
00:41:56Peut-être que vous payez aussi,
00:41:58ce n'est pas à moi de décider,
00:42:00mais peut-être qu'il n'est pas payé.
00:42:02Comment est-il financé ?
00:42:04La publicité ? Le parrainage ?
00:42:06Est-ce qu'il est capable de faire
00:42:08rentabiliser une boîte de télévision privée ?
00:42:10Quoi qu'avec la créativité,
00:42:12avec la création,
00:42:14ou bien avec la différence
00:42:16qu'il est capable d'amener,
00:42:18peut-être que ce sera
00:42:20la clé de son succès.
00:42:22Au niveau créatif,
00:42:24il est bien capable, par exemple,
00:42:26sans manière de faire
00:42:28un collecte de l'information.
00:42:30Comme une radio fait
00:42:32aujourd'hui,
00:42:34quand il a couvert
00:42:36un événement,
00:42:38il est capable d'amener
00:42:40le même software, le même
00:42:42recording, le même montage.
00:42:44Il n'a pas diffusé.
00:42:46Il est donc capable
00:42:48d'amener un emploi équipe polyvalent
00:42:50qui est capable d'amener un ou trois
00:42:52gens qui s'y sont fait faire avant.
00:42:54Il est créatif.
00:42:56Quand le secteur vient,
00:42:58je crois qu'il y a de l'espace pour ça.
00:43:00Mais en même temps,
00:43:02il n'y a pas besoin
00:43:04d'avoir une chaîne
00:43:06de télévision
00:43:08privée là.
00:43:10C'est un peu
00:43:12un maurice qui peut être représenté
00:43:14à travers sa nouvelle chaîne de télévision
00:43:16privée là.
00:43:18Quand il y a une bonne
00:43:20chaîne de télévision,
00:43:22il y a des gens qui viennent
00:43:24pour voir la télévision
00:43:26et montrer ce qu'il y a
00:43:28dans le pays qu'elle nous fait.
00:43:30C'est un plus
00:43:32dans ce niveau là.
00:43:34Il y a un
00:43:36progrès démocratique qui nous fait
00:43:38qu'on nous amène une télévision
00:43:40privée à côté d'une télévision publique
00:43:42avec les radios et tout ça.
00:43:44Le secteur audiovisuel, ce paysage audiovisuel,
00:43:46il est un paysage
00:43:48audiovisuel classique
00:43:50qui m'a existé
00:43:52avec tous les composants qu'il a
00:43:54et ça fait que notre démocratie
00:43:56est vivante.
00:43:58Notre démocratie, il y a environ 3-4 mois
00:44:00depuis l'élargissement de cet espace,
00:44:02mon corps, de quelque part,
00:44:04aide sa télévision
00:44:06privée là sur l'avènement.
00:44:08Comme on dit une fois dans la radio,
00:44:10il faut investir dans la démocratie.
00:44:12Donc je me demande de quelle manière
00:44:14je peux, si j'ai tout mon entrave,
00:44:16aider techniquement
00:44:18et je ne vais pas vous dire financièrement
00:44:20mais j'ai toute ma formule, afin qu'il
00:44:22puisse faire l'avènement
00:44:24de sa télévision privée là
00:44:26qui est un must à mon avis
00:44:28et peut-être qu'il faut un secteur
00:44:30très très créateur d'emplois
00:44:32avec tous les jeunes qui
00:44:34manifestent les outils
00:44:36électroniques et tout,
00:44:38c'est un secteur capable, surtout
00:44:40au niveau de la production locale.
00:44:42Aujourd'hui,
00:44:44longtemps, tu peux faire
00:44:46à une époque, tu as une petite parenthèse
00:44:48ouverte à une époque, tu peux faire
00:44:50certaines émissions.
00:44:52J'ai une émission qui s'appelle Simenef.
00:44:54Mais Simenef, tu peux monter
00:44:56beaucoup d'affaires que tu ne peux pas trouver avant.
00:44:58Donc il y a un travail
00:45:00à faire au niveau du
00:45:02financement, au niveau de la programmation,
00:45:04au niveau de son actualité,
00:45:06au niveau des disponibilités de fréquences.
00:45:08Si tout ça est réglé,
00:45:10et il y a l'apport
00:45:12de stratégies qui viennent
00:45:14de bonnes instances
00:45:16décidées, peut-être
00:45:18nous serons capables d'enlever sa télévision privée
00:45:20dans pas longtemps.
00:45:22Est-ce qu'il vous demande aussi
00:45:24la volonté politique de nous mettre dans cette vie politique ?
00:45:28J'ai fait une tendance pendant la campagne électorale.
00:45:30Tout le monde me dirait
00:45:32qu'il vit sa vie, etc.
00:45:34Après, j'ai trouvé des choses qui m'ont oublié.
00:45:36La loi que tu fais
00:45:38pour le gouvernement travaillé
00:45:40en 1980.
00:45:42En 1980,
00:45:44un peu plus tard, 2000.
00:45:46Mais tu prévois la création
00:45:48d'une télévision là-dedans.
00:45:50On libéralise les zones.
00:45:52C'est pas juste pour radio, c'est la loi là.
00:45:54La loi là,
00:45:56c'est pour radio et pour télévision.
00:45:58Il n'y a plus que pour les deux.
00:46:00Si les législateurs
00:46:02de cette époque-là pensaient
00:46:04qu'ils ne pouvaient pas le faire,
00:46:06nous ne serions pas dans ce débat-là.
00:46:08Mais le cadre légal, il est là simplement.
00:46:10Peut-être qu'il faut l'actualiser.
00:46:12C'est un grand travail qu'il faut finir
00:46:14depuis l'année 2000.
00:46:16Il ne peut pas avoir dans son sens.
00:46:18En tout cas, on remercie beaucoup pour ces précisions.
00:46:20Maître Ashok Radhakishun,
00:46:22où tous les temps répondent présents
00:46:24quand nous disons où le sermentis est là.
00:46:26Et nous remercions vous pour l'intervention.
00:46:28Tout de suite, le temps fait un défaut.
00:46:30Nous passons au deuxième thème de l'émission,
00:46:32c'est-à-dire la visite du Premier ministre indien
00:46:34à Mauritius. Vous avez suivi
00:46:36le 12 et le 13 mars
00:46:38le Côte-Tchénère Narendra Modi
00:46:40qui tire une nouvelle visite.
00:46:42C'est comme quête d'honneur pour les célébrations du 12 mars
00:46:44pour la fête nationale.
00:46:46Il participe à plusieurs fonctions.
00:46:48Il signe aussi plusieurs accords.
00:46:50Huit au total. Accords bilatéraux
00:46:52avec Mauritius sur plusieurs secteurs.
00:46:54Mais il fait une annonce
00:46:56qui fait retenir l'attention.
00:46:58C'est-à-dire la construction
00:47:00d'un nouveau Parlement par le gouvernement indien.
00:47:02Nous comprenons
00:47:04que ce sera un don
00:47:06offert par le gouvernement indien.
00:47:08Mais un don qui, bien sûr,
00:47:10en termes et en formes de loans.
00:47:12Justement, nous avons en direct
00:47:14avec nous BNR Saminaden.
00:47:16Le journaliste BNR Saminaden.
00:47:18Bon après-midi.
00:47:20Bon après-midi les auditeurs.
00:47:22Bon après-midi
00:47:24tout le monde de TFM.
00:47:26BNR Saminaden, d'abord,
00:47:28félicitations pour
00:47:30la décoration que vous finirez de recevoir
00:47:32en termes d'OSK
00:47:34avec le président de la République
00:47:36à l'occasion de la fête nationale.
00:47:38Et un petit
00:47:40parenthèse, un petit mot peut-être
00:47:42sur la décoration ?
00:47:44Bien sûr.
00:47:46Je suis très honoré que mon pays
00:47:48finisse en honneur à moi et me dédie
00:47:50sa décoration là.
00:47:52Je me disais bien avant de me dédier
00:47:54sa décoration là aux membres de ma famille
00:47:56mais surtout à toute la profession
00:47:58journalistique, les journalistes de la presse
00:48:00écrite et parlée qui travaillent
00:48:02dans des circonstances parfois très
00:48:04difficiles. Et c'est une reconnaissance aussi
00:48:06à travers ma décoration
00:48:08à la presse.
00:48:10Une presse libre, dynamique
00:48:12et ça touche moi beaucoup.
00:48:14Nous vous posons effectivement
00:48:16BNR Saminaden, la visite officielle
00:48:18du premier ministre indien à Maurice
00:48:20Narendra Modi. Nous finissons à peu
00:48:22près huit lacos bilatérales avec
00:48:24l'Inde. Est-ce qu'il vous finit pas un coup
00:48:26ces huit lacos-là et qui
00:48:28pour bénéficier de ces huit lacos-là ?
00:48:30Si vous pouvez commenter un peu cela.
00:48:32Non, non.
00:48:34Il y a huit lacos qui sont signés.
00:48:36C'est tous les lacos qui sont adressés
00:48:38à notre corps maritime,
00:48:40à notre sous-sol marin, à notre formation
00:48:42de notre technicien,
00:48:44notre ingénieur.
00:48:46Pourquoi pas, il y a beaucoup plus de skills
00:48:48pour développer le pays un peu plus.
00:48:50Et en général,
00:48:52ces huit lacos-là, ces huit lacos
00:48:54long terme, vous savez,
00:48:56beaucoup de monde à Maurice pensait
00:48:58qui me dit Bébine Maurice
00:49:00c'est le père Noël,
00:49:02ouvrir un grand sac pour tirer un cadeau à gauche et à droite.
00:49:04Et pourquoi ?
00:49:06Par exemple,
00:49:08il y a cent kilomètres de tuyaux
00:49:10qui nous faisaient changer
00:49:12de la chaîne de VVA.
00:49:14Là-même, là, nous faisions traverser, en gros,
00:49:16l'applique qui nous tombait.
00:49:18Et il y a un article dans mon magazine
00:49:20Discovery University
00:49:22sur Nile-d'Orcassing qui l'écrit.
00:49:24Il y a trois milliards de mètres cubes d'eau
00:49:26qui est perdue
00:49:28ici, qu'elle est dans la mer.
00:49:30Il n'y a pas qu'à la récupérer.
00:49:32C'est un problème qui nous faisait
00:49:34tout de suite
00:49:36prendre en compte.
00:49:38Et l'Inde,
00:49:40parce qu'à Maurice, dans le pays,
00:49:42nous pouvons faire face aux changements climatiques.
00:49:44Il y a des lacos qui nous font signer
00:49:46justement pour faire face aux problèmes des changements climatiques
00:49:48pour améliorer notre infrastructure.
00:49:50Et c'est ça qui est
00:49:52à Maurice.
00:49:54Il y a aussi des
00:49:56talons d'Achille,
00:49:58notamment au niveau du secteur de santé.
00:50:00Et nous pouvons arriver
00:50:02au niveau de l'inarrivée
00:50:04de la robotisation
00:50:10dans le secteur médical,
00:50:12chirurgie non-invasive.
00:50:14C'est ça que nous pouvons aider.
00:50:16Nous pouvons trouver des médecins,
00:50:18nous pouvons trouver des ingénieurs
00:50:20pour que nous puissions répondre
00:50:22à ce nouveau défi-là.
00:50:24Pour la visite de Maudit, à Maurice, il y a besoin d'un bouquet d'oxygène.
00:50:26En même temps,
00:50:28il y a aussi
00:50:30un coup de poquet politique
00:50:32de l'actuel Premier ministre
00:50:34David Ramoulam,
00:50:36qui vient nous démontrer
00:50:38qu'il y en a à cœur
00:50:40le pays,
00:50:42mais aussi une relation privilégiée
00:50:44avec M. David Ramoulam,
00:50:46qui a été fraîchement élu
00:50:48lors de ces élections qu'il a gagnées le 11 novembre.
00:50:50Un gouvernement
00:50:52préjudicié pour 62% de la population.
00:50:54Et Maudit, par contre,
00:50:56il n'est pas là
00:50:58et il prend tout ça au sérieux.
00:51:00Mais il y a aussi,
00:51:02à cause de l'arrivée de M. Ramoulam,
00:51:04de l'arrivée du Premier ministre Nadja,
00:51:06il y a aussi un certain objectif
00:51:08dans le contexte actuel géopolitique
00:51:10qui nous était avec des tensions
00:51:12au niveau de l'Ukraine,
00:51:14de la Russie et de l'Amérique, etc.
00:51:16Je dirais aussi
00:51:18qu'il y a des négociations
00:51:20entre l'Amérique et l'Angleterre
00:51:22en ce qui concerne les chargos pour Maurice.
00:51:24Est-ce que
00:51:26la venue de Narendra Maudit
00:51:28n'est pas ainsi
00:51:30pour montrer à l'Amérique
00:51:32qu'elle est plus en faveur de l'Inde que de la Chine,
00:51:34comme le Premier ministre l'a dit lui-même
00:51:36dans un discours,
00:51:38qu'il ne faudrait pas qu'elle nous croit
00:51:40qu'elle est bien plus proche
00:51:42de la Chine, mais bien plus proche
00:51:44de l'Inde.
00:51:46Est-ce que la visite de Maudit n'est pas
00:51:48une façon pour montrer
00:51:50qu'elle a plus d'affinité
00:51:52avec la Grande Péninsule ?
00:51:54Maudit, sur l'avenir,
00:51:56c'est un saut
00:51:58de garantie, c'est un fil
00:52:00de garantie qu'il lui donne l'Occident
00:52:02que Maurice se politique beaucoup plus
00:52:04verser
00:52:06vers la Grande Péninsule
00:52:08que vers la Chine.
00:52:10Et ça, ça nous rassure
00:52:12beaucoup les Etats-Unis.
00:52:14Surtout les Etats-Unis,
00:52:16pour l'Angleterre, c'est un mot
00:52:18qui les a les pieds dans les triers
00:52:20pour qu'ils donnent tout ce qu'ils peuvent demander
00:52:22parce que, comme on le connaît,
00:52:24l'Océan Indien est une zone
00:52:26très stratégique
00:52:28parce que
00:52:30presque 80%
00:52:32des bateaux
00:52:34qui transportent pétrole
00:52:36sont des pétroliers pour la Chine.
00:52:38Surtout, ils passent par l'Océan Indien
00:52:40et ils vont servir l'Océan Indien
00:52:42comme une zone
00:52:44de contrôle
00:52:46parce que
00:52:48la Chine, nous l'avons parlé,
00:52:50c'est la deuxième
00:52:52parce que sinon, on évolue
00:52:54de la première puissance économique mondiale
00:52:56dans pas mal de temps
00:52:58et ça inquiète
00:53:00l'Occident et ça inquiète la Chine
00:53:02ça inquiète les Etats-Unis
00:53:04parce que la Chine représente
00:53:06une menace
00:53:08contre l'économie et aussi la Chine
00:53:10paie en Mali militairement
00:53:12avec, bon, la Chine c'est une super puissance
00:53:14nucléaire, comme on connaît
00:53:16et c'est à cause de ça que se fait
00:53:18la montée en puissance de la Chine
00:53:20La Chine fait affaire peut-être aussi
00:53:22parce que la Chine, il y a un pays
00:53:24il y a un pays autocratique
00:53:26c'est-à-dire où il y a
00:53:28ce modèle politique qui n'est pas pareil
00:53:30comme à l'Occident et il peut y avoir
00:53:32une élection en Inde
00:53:34le président
00:53:36y est élu
00:53:38par le Congrès du Parti Communiste
00:53:40tandis que
00:53:42en Inde, le Premier ministre
00:53:44est élu au suffrage universel
00:53:46il y a une élection générale, libre
00:53:48mais la Chine, elle définit
00:53:50la définition de la démocratie
00:53:52pour un Chinois et la définition de la démocratie
00:53:54pour un Occident est différente
00:53:56un Chinois, il dit qu'il y a un pays démocrate
00:53:58parce que sa population, par exemple,
00:54:00j'ai la case, j'ai la télévision
00:54:02j'ai un appartement, tout ça
00:54:04j'ai de la vie décente
00:54:06l'Occident, il dit que pour lui, la démocratie
00:54:08c'est une élection libre, il y a une presse libre
00:54:10il y a un journaliste en prison
00:54:12il y a une classe
00:54:14de civilisation
00:54:16qui fait que
00:54:18sa clivage entre l'Occident
00:54:20et la Chine, depuis ce temps-ci,
00:54:22l'a élargie et l'Inde, lui
00:54:24les trompe un peu
00:54:26comme un orbite, il y a un peu aussi
00:54:28il rassure l'Occident
00:54:30quand Maudit Ville-Maurice, il montre
00:54:32les trêves, mais
00:54:34moi, je suis beaucoup plus proche
00:54:36avec les Etats-Unis qu'avec
00:54:38la Chine, c'est une chose
00:54:40de garantie qu'il y a mêlée et c'est ça qui fait
00:54:42qu'il trompe, et quand il a envoyé
00:54:44ce message de félicitations
00:54:46au premier ministre pour le 57ème
00:54:48anniversaire de l'indépendance
00:54:50et aussi au peuple
00:54:52mauricien, et il a envoyé un message
00:54:54bien chaleureux, et il y a
00:54:56aussi un message de Donald Trump
00:54:58Trump est un business man, c'est un
00:55:00qui compte dans l'appartement, lui compte
00:55:02dans le business, et d'ailleurs dans le magazine
00:55:04qui m'ont tiré, qui est déjà
00:55:06disponible, sur la couverture
00:55:08c'est écrit, est-ce que si
00:55:10il y a pétrole et gaz dans Chagos
00:55:12est-ce que les Américains
00:55:14pouvaient nous bénéficier
00:55:16du parti, ou est-ce que nous pouvaient
00:55:18Trump fouiller
00:55:20extraire pétrole et gaz, parce que
00:55:22maintenant que moi on connait, qui fait
00:55:24Trump être
00:55:26indocile avec nous au Chagos, qui fait
00:55:28Maudine Ville-Maurice, et qui fait
00:55:30Macron Ville-Maurice, et il y en a beaucoup
00:55:32dans l'aspect de la
00:55:34géopolitique, qui disent que cette région
00:55:36regorge de pétrole
00:55:38de gaz naturel
00:55:40depuis
00:55:42le canal de Mozambique, depuis
00:55:44Cécel, dans nos eaux
00:55:46depuis Chagos
00:55:48ou descendre même
00:55:50il y en a beaucoup de réserves
00:55:52de gaz et de pétrole
00:55:54peut-être c'est à cause de ça
00:55:56l'enjeu, l'enjeu c'est qu'il dépasse
00:55:58il dépasse même
00:56:00d'autres considérations
00:56:02et il est question maintenant
00:56:04de pétrole et de gaz, maintenant que
00:56:06le polymétallique
00:56:08il y a un article qui apparaît dans un
00:56:10journal japonais, ils disent comme ça
00:56:12que le Japon peut aller à l'explos
00:56:14sur le fin fond de l'océan
00:56:1614 000 pieds vous pensez
00:56:18pour l'exprès du polymétallique
00:56:20ils ont découvert qu'il y a un ciel bizarre
00:56:22où il y a une batterie de tout
00:56:24par exemple, et Maurice dans nos zones
00:56:26il y en a beaucoup sur le polymétallique
00:56:28et tout ça c'est
00:56:30nous ne comprenons pas suffisamment
00:56:32de
00:56:34de l'eau
00:56:36précontenue de poissons
00:56:38mais il nous recontre de bonne matière
00:56:40première qui va à un pays
00:56:42bien bizarre, un pays comme les Etats-Unis
00:56:44comme en l'Inde, comme en l'Occident
00:56:46et bizarre pour
00:56:48pour une nouvelle technologie
00:56:50c'est ça
00:56:52c'est ça Maurice
00:56:54c'est ça l'importance
00:56:56que vous trouvez dans le grand monde
00:56:58vous pouvez vous faire touriste
00:57:00vous pouvez vous bronzer sur la plage
00:57:02c'est ça l'importance
00:57:04avec le nouveau satellite qu'il y a aujourd'hui
00:57:06maintenant il y a un nouveau satellite
00:57:08et un nouveau bateau
00:57:10qui fait une cote maritime
00:57:12de trouver l'aménagement du pétrole
00:57:14je connais ça
00:57:16ça dépend de la profondeur
00:57:18vous connaissez quand vous faites l'exprès
00:57:20il y a 35 ans
00:57:22j'ai déjà fait un papier
00:57:24pour l'équipe de Texaco
00:57:26qui fait un forage
00:57:28effectivement
00:57:30je me rappelle
00:57:32il y a un monsieur
00:57:34je pensais qu'il était hollandais
00:57:36mais 15 ans après
00:57:38il s'est connu avec l'express
00:57:40il s'est découvert le pétrole
00:57:42mais seulement
00:57:44je ne préfère pas l'exploit
00:57:46parce que
00:57:48le baril du pétrole à l'époque
00:57:50ça coûtait à peu près
00:57:5225 à 30 dollars le baril
00:57:54aujourd'hui le baril du pétrole coûte 100 dollars
00:57:56peut-être plus même
00:57:58et peut-être
00:58:00maintenant quand on fait un forage
00:58:02il y a un équipement beaucoup plus moderne
00:58:04mais maintenant comme vous le connaissez
00:58:06il y a l'école des pensées
00:58:08qui compte le forage contre l'énergie fossile
00:58:10c'est-à-dire que vous détruisez
00:58:12l'environnement
00:58:14mais vous ne faites pas l'exploit
00:58:16et il y en a un qui compte l'écologie
00:58:18je ne vais pas croire là-dedans
00:58:20c'est-à-dire que vous exploitez au maximum
00:58:22le pétrole
00:58:24parce que
00:58:26c'est un stock stratégique
00:58:28en cas d'une guerre
00:58:30d'un conflit militaire
00:58:32avec un pays comme la Chine
00:58:34la Russie ou d'autres pays
00:58:36comme ça c'est un stock stratégique
00:58:38de pétrole
00:58:40qui est capable d'utiliser
00:58:42des bateaux, des guets, même l'air
00:58:44et l'air n'a jamais une rénonce
00:58:46à ce forage
00:58:48pétrolier, etc.
00:58:50L'écologie, on ne va pas connaître
00:58:52beaucoup sur l'écologie
00:58:54dans l'écologie fossile
00:59:24...
00:59:26...
00:59:28...
00:59:30...
00:59:32...
00:59:34...
00:59:36...
00:59:38...
00:59:40...
00:59:42...
00:59:44...
00:59:46...
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00:59:50...
00:59:52...
00:59:54...
00:59:56...
00:59:58...
01:00:00...
01:00:02...
01:00:04...
01:00:06...
01:00:08...
01:00:10...
01:00:12...
01:00:14...
01:00:16...
01:00:18...
01:00:20Après une longue course, vous vous réveillez pendant un jour hectique ou quand vous êtes
01:00:25dans les montagnes, loin de vous, le meilleur goût vert, les herbes et les goûts donnent
01:00:31un goût qui est deux fois plus agréable.
01:00:33Détoxiez-vous, maintenant fait facilement.
01:00:36Juste déposer et boire.
01:00:37Sans doute qu'ils disent Girnard, mon thé, mon temps.
01:00:50C'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
01:01:19c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti, c'est parti,
01:01:47On retrouve dans l'émission 7 sur 7, après la pause publ' nous pouvons aimer une pause
01:02:03cette fois pour l'iftar time parce que le ramadan oblige, fordonnez
01:02:10nous une chance pour ceux qui oulaient la route.
01:02:13sur le tour, qu'à part, qu'à Sud-Karim, on se paye le déjeuner pour le ramadan.
01:02:43On se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan
01:03:13on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le
01:03:43ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeun
01:04:13on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le
01:04:43ramadan, on se paye le déjeuner pour le ramadan, on se paye le déjeuner pour le rampas
01:04:55on se paye le déjeuner pour le ramas pour le car mu
01:05:02Au retour au restitue. Je vous souhaite un très bon courage à tous les frères de la communauté Islamique
01:05:08qu'il fait quasi carrément en ce moment après une journée de jeûne et nous vous souhaitons
01:05:15que le ramadan passe dans le plus bien qu'il est possible pour vous. Je vous passe tout de suite
01:05:21à notre troisième thème de l'émission c'est à dire les élections municipales comment motiver
01:05:25les autres. Les élections municipales sont attendues en mai comme annoncé par le Premier
01:05:29ministre nomination day pour faux probablement en avril mais cet après-midi nous finissons
01:05:33avec une confirmation que tous les conseils municipaux pour dix août lundi ça veut dire
01:05:39qu'il faut probablement les critères d'élection pour émettre le président de la république sous
01:05:44l'avis du premier ministre dans les jours qui finissent, soit samedi ou dimanche ou lundi mais
01:05:49nous prenons le plaisir et nous avons en direct avec nous le ministre de l'activité locale qui
01:05:56nous propose l'éventualité des élections municipales qui viennent à la porte et les enjeux
01:06:02de cette élection. Tout de suite nous parle, écoute Ranjiv Houtchit.
01:06:06Ranjiv Houtchit, au ministre des collectivités locales depuis quelques mois, si je suis capable,
01:06:12peut-être dans le cas de les élections municipales qui sont approchées, si je suis capable,
01:06:16premièrement fais-nous un constat de la municipalité parce qu'on connaît qu'il y a eu une élection
01:06:22municipale par fil fait pendant dix ans. Quel est le constat offert par l'état de la municipalité
01:06:26d'aujourd'hui ? D'abord nous devons dire qu'il y a eu une élection municipale qui a été envoyée
01:06:31par trois fonds. Trois reprises pour une renvoi d'élections municipales qui finissent
01:06:36directement au niveau des conseillers et au niveau même de la municipalité. Quel moyen
01:06:42est-ce qu'il nous caractérise à vous, à chaque municipalité qui a une élection d'appointement ?
01:06:46Quel ministère est-ce qu'il n'y a pas dans l'activité de l'élection que vous soignez ?
01:06:49Le ministère pour tous les conseillers, tous les personnels de travail à la hauteur,
01:06:54nous trouvons tout le monde dans l'activité de l'élection et nous en avons tout le monde mal
01:06:59donné. Je vous donne un exemple, il y a eu une élection de 3 000 municipalités. 3 000 c'est
01:07:09déjà trop. On a trouvé qu'il y en a d'autres d'environ 20 000 qui se désertaient. Là-haut,
01:07:1610 000, c'est un abus pour pas mal de petites raisons. Mais voilà, un abus financier. Là,
01:07:21le prochain mardi, il y aura une élection en cours de la peine de football qui va être dans
01:07:25un cadre qui est totalement dangereux pour les joueurs à tout moment. Vous devez même laisser
01:07:31aller totalement la loi de l'inconscient. Je vous dis que nous devons faire une élection
01:07:37municipale le plus vite possible. Et comment est-ce qu'on peut faire une élection municipale ?
01:07:42On est patienté. Et justement, est-ce que vous pensez où, en tant que ministre,
01:07:47l'innormale démocratie qui est l'élection municipale renvoyée trois fois, comment vous
01:07:51pouvez le dire, M. le ministre ? Je pense qu'on voit pour la première fois qu'elle est justifiée.
01:07:56Après, il y a une pandémie, les partis se justifient un peu. Après, il y a une pandémie qui
01:08:00n'est pas suffisamment appareillée. Ils sont renvoyés, ils se justifient. Deuxième fois,
01:08:04les partis se justifient. Ils n'en viennent pas aussi. Quand les partis se justifient,
01:08:07ils n'arrivent pas à se renvoyer. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas
01:08:11d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent
01:08:13qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi.
01:08:14Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas
01:08:15d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent
01:08:16qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas
01:08:17d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent
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01:09:10d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils
01:09:11disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il
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01:10:21n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi. Ils disent qu'il n'y a pas d'envoi.
01:10:24Il y a un message pour les citoyens qui perdent tant de temps dans les élections municipales
01:10:27depuis dix ans. Quels sont vos messages pour les citoyens?
01:10:55En tout cas, merci beaucoup. Nous souhaitons bon courage et bonne chance pour le nouveau poste qu'il nous prend.
01:11:04Et nous attendons que l'élection municipale déroule dans tout le respect possible. Merci monsieur le ministre.
01:11:10Merci au même.
01:11:55Quand il s'agit d'élections municipales, le gouvernement MSM et PMSD envoient les élections municipales
01:12:00en prétextant qu'ils ont fait une réforme au niveau des administrations régionales.
01:12:04Mais nous sommes tous au courant qu'ils n'ont pas fait de réforme et que les citoyens n'ont pas fait d'élection pendant dix ans.
01:12:14Il ne faut pas oublier aussi une chose que peut-être le ministre n'a pas dit à nous.
01:12:22C'est qu'en 2012, le parti travaille aussi au gouvernement qui envoie les élections municipales
01:12:27en prétextant qu'ils ont fait une réforme au niveau de la loi.
01:12:31Et par la suite, après les élections générales de 2014, il n'y a pas eu d'élection municipale.
01:12:36Comme vous le savez, le score était sans équivoque 120-0 en faveur de l'alliance LEPEP.
01:12:46Et là, nous attendons que peut-être les résultats seront les mêmes ou seront d'autres.
01:12:53Nous pourrons avoir la réponse le 4 mai prochain.
01:12:57Sur ce, nous vous souhaitons une bonne fin de soirée.
01:13:03Nous pouvons mettre fin à notre émission aujourd'hui.
01:13:05Nous vous rappelons qu'il ne finit pas son revue, l'actualité, avec certainement l'anniversaire de TOP TV
01:13:10et aussi TOP FM TV plus tôt.
01:13:12Nous avons aussi gagné en studio le CEO de TOP FM, M. Balakrishnan Konar,
01:13:16qui nous explique comment l'histoire a commencé avec TOP FM TV.
01:13:20Nous avons aussi vu l'arrivée du Premier ministre indien, Narendra Modi,
01:13:25avec sa bonne implication au niveau des accords bilatéraux qu'il a signés avec Maurice.
01:13:30Et en dernier lieu, nous avons fait entendre le ministre Sanjeev Rautit,
01:13:35ce qui signifie que nous pourrons avoir une élection municipale le 4 mai prochain à Maurice.
01:13:41Sur ce, nous vous souhaitons une bonne fin de soirée.
01:13:44Nous nous retrouvons mercredi ou jeudi prochain plutôt dans l'émission Zoom Extra
01:13:48avec comme invité le ministre du Commerce, le ministre du Tourisme,
01:13:56qui peut nous inviter jeudi dans Zoom Extra, c'est-à-dire Richard Duval,
01:14:01qui peut venir dans nos studios.
01:14:04Sur ce, nous vous souhaitons une bonne fin de soirée.
01:14:06Si vous passez à table, bon appétit.
01:14:08Nous nous retrouvons jeudi prochain.