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00:0016h40, merci d'être avec nous sur Europe 1, merci !
00:04Oui, Pénaïm, vous vous calmez, Pénaïm !
00:06Mais pardon ! Autant pour moi !
00:08C'est bon, hein ?
00:1180, 20, 39, 21...
00:13Et il y a Cyril, le réalisateur, qui nous a demandé de nous faire un petit auditeur.
00:16Il a parlé comme ça, il a dit c'est bien de se faire un petit auditeur.
00:18Alors, on va le prendre au téléphone, on ne va pas se faire un petit auditeur, hein, Cyril ?
00:22Parce que ça pourrait être mal, voilà, mal interprété.
00:25Donc on va prendre un auditeur en ligne dans un instant.
00:28Et il y a Philippe Ballard qui est avec nous, il y a Gartart Tigoll, il y a Lequeuve, il y a tout le monde.
00:32Jean-Christophe est là, bonjour Jean-Christophe de Marseille, bonjour Jean-Christophe.
00:35Oui, bonjour, vous m'entendez ?
00:37Bien sûr, Jean-Christophe, je vous entends très bien, merci d'être là.
00:39Entendu, merci bien.
00:41Voilà, donc pour dire que moi je fais partie de ces Français qui n'ont aucun lien avec aucun animateur.
00:48Je travaille dans le privé, en hôtellerie, et donc je suis soumis au devoir de réserve de par ma fonction.
00:54Et j'entends la montée du n'importe quoi, c'est même pas de LFI, LFI c'est une étiquette et tout.
01:03Et donc moi j'estime qu'il est devenu urgent à nous Français, de Français de souche, d'être actifs.
01:16Et non pas simplement de dire scandale ceci, scandale cela, mais savoir se trouver dans les votes.
01:22Et moi je vais vous dire une chose, monsieur Hanouna, comment on fait pour être solidaire de votre plainte ?
01:30Alors ça c'est intéressant.
01:32Il faudrait que je demande à mon avocat, mais déjà de vous avoir, déjà sur l'antenne d'Europe 1 que vous me disiez ça, déjà ça me touche beaucoup.
01:39Merci beaucoup Jean-Christophe, merci d'être là Jean-Christophe de Marseille.
01:43Et après, vous avez vu d'ailleurs en parlant de ça, SOS Racisme avait été intervenu sur l'affaire Bruno Bono, là c'est silence radio.
01:53Silence radio, donc c'est pas SOS Racisme, c'est SOS LFI alors.
01:59C'est SOS France Insoumis, c'est pas SOS Racisme.
02:02Là franchement, c'est inconcréhensible.
02:04La Ligra a réagi.
02:06Tout le monde a réagi sauf SOS Racisme.
02:08Je pense que ce silence est insupportable parce que normalement il devrait être en première ligne pour vous apporter du soutien.
02:16Il n'y a pas de bonne ou de mauvaise victime.
02:18Il y a une victime, voilà, il devrait être là présent pour tous les racistes.
02:24Non seulement il y a les bonnes et les mauvaises victimes, mais il y a les bons et les mauvais bourreaux.
02:26Donc le bourreau quand il est d'extrême gauche, ce n'est pas un bon bourreau.
02:30Le bourreau quand il est étranger, ce n'est pas un bon bourreau.
02:33Le bourreau quand il est sous OQTF, ce n'est pas un bon bourreau.
02:36Si la victime est juive, ce n'est pas la bonne victime.
02:38C'est toujours pareil.
02:40On est assez d'accord.
02:42Est-ce que je peux prendre la parole ?
02:44Bien sûr Jean-Christophe, avec plaisir.
02:46Vous voyez comment ça se passe au niveau de l'État d'Israël, pour ne citer qu'eux.
02:52C'est pareil à Monaco, il ne faut pas s'imaginer.
02:54Les micro-États, et nous, qu'est-ce qu'on est ?
02:58Nous, Français, à l'intérieur de la France, on est devenus un micro-État.
03:03Et on a à la tête de l'État, celui que les humoristes appellent le stagiaire de l'Élysée.
03:08Qu'est-ce qui s'est passé quand il a été élu la première fois ?
03:11Il y a tout simplement eu la guerre de l'Ukraine qui a fait diversion.
03:17Tout simplement.
03:19Donc l'orientation des Français qui étaient décidés d'admettre un vote,
03:24ça a été changé par un événement.
03:26Et qu'est-ce qu'il est en train de faire actuellement ?
03:28Il est en train de créer des circonstances pour qu'à la débutoire des élections, il y ait une diversion.
03:33Vous pensez à la même chose ?
03:35Vous pensez à ça ?
03:37On ne l'y pense pas.
03:39On ne l'y pense pas.
03:41Mais soyez bien attentifs au scénario qui est en train de se faire.
03:45Il est en train de polariser,
03:47de chercher à polariser comme il peut,
03:50parce qu'il sait très bien que d'ici deux ans, c'est fini.
03:53Et donc il est en train de polariser.
03:55Comment il a fait ?
03:57Qui l'a placé à la tête de...
04:01Conseil constitutionnel.
04:03Il y a une institution importante.
04:05Il a placé Ferrand.
04:07Ferrand au Conseil constitutionnel.
04:09Qu'est-ce que vous imaginez ? Il ne se gêne pas.
04:11Et quand il va arriver les élections,
04:13il aura déjà organisé,
04:15il va se retirer bien sûr,
04:17mais il aura déjà organisé pour ses copains.
04:19Alors justement,
04:21Philippe Ballard,
04:23imaginons que Marine Le Pen
04:25gagne les élections en 2027.
04:27Elle va faire quoi ?
04:29Comment elle va faire avec Richard Ferrand au Conseil constitutionnel ?
04:31Comment elle fait ?
04:33Donc elle a soutenu l'accès.
04:35J'aurais juste à répondre.
04:37C'est Jean-Christophe.
04:39Il ne faut pas perdre l'espoir.
04:41Marine Le Pen et Jordan Bardella le rappellent.
04:43La France, c'est un grand peuple.
04:45C'est un grand pays.
04:47Effectivement, on traverse des zones de turbulence.
04:49Mais il y a un avenir.
04:512027 peut-être avant,
04:53mais c'est programmé pour 2027.
04:55Alors après, pour répondre à la question de Cyril,
04:57effectivement,
04:59on sait très bien que
05:01quand on va arriver au pouvoir,
05:03il y aura au Conseil constitutionnel
05:05Monsieur Ferrand.
05:07On a expliqué notre position.
05:09Pourquoi vous avez laissé passer ?
05:11On lui a auditionné en commission.
05:13On lui a posé des questions extrêmement précises.
05:15Est-ce que le Conseil constitutionnel,
05:17d'après vous, Monsieur Ferrand,
05:19doit se transformer en une sorte d'Assemblée nationale bis
05:21pour passer des lois ?
05:23Le Conseil constitutionnel, par exemple,
05:25sur l'assistance juridictionnelle,
05:27a fait passer un texte de loi,
05:29mais sans en avoir les compétences juridiques.
05:31Et vous pensez que vous allez vous répondre ?
05:33Oui.
05:35Oui, mais d'accord.
05:37Après, effectivement, il y a les paroles et les actes.
05:39C'est moi qui ai monté le complexe.
05:41Il ne faut pas se bercer d'illusions.
05:43Si sa candidature avait été retoquée,
05:45il y avait Mme Taubira, par exemple.
05:47Et puis d'autres...
05:49M. Taubira n'a pas circulé.
05:51Marine Le Pen a même dit
05:53que ça aurait été peut-être
05:55Raya Nakamura.
05:57Il y avait quand même peu de chance.
05:59Marine Le Pen l'a redit ce matin.
06:01En politique, des fois, on prend le moins pire.
06:03Ah oui, c'est ça.
06:05C'est comme moi avec les chroniqueurs.
06:07Je crois que c'est la responsabilité de votre réponse.
06:09Donc oui, on a pris le moins pire.
06:11Mais on sait très bien qu'on va être confrontés.
06:13On parlait de la magistrature tout à l'heure.
06:15C'est pour ça qu'on pourrait ouvrir,
06:17par exemple, l'école de la magistrature,
06:19un tour extérieur qui serait différent
06:21de ce qui se passe actuellement.
06:23Mais oui, on va être confrontés.
06:25C'est pour ça qu'il faut réformer la Constitution.
06:27Après un référendum, notamment en ce qui concerne
06:29l'immigration pour nous mettre à l'abri des jurisprudences
06:31qui nous viennent de la Cour européenne des droits de l'homme
06:33ou de la Cour de justice de l'Union européenne.
06:35Justement, Philippe, on parlait de 2027
06:37à l'instant et on disait qu'il faut quelqu'un
06:39qui renverse la table.
06:41Si on veut que les choses bougent, il faut vraiment tout renverser.
06:43Il faut arrêter d'avoir...
06:45Il y a beaucoup de copinage aussi.
06:47Je te mets là, après je te remets là,
06:49je te remets ici, et puis toi tu m'as rendu service là,
06:51donc je vais te remettre là.
06:53C'est toujours un peu existé comme ça.
06:55Là, pour le coup...
06:57Philippe Balland !
06:59Philippe Ballard !
07:01C'est pour ça qu'on en est là aujourd'hui aussi.
07:03C'est pour ça qu'on en est là aujourd'hui aussi.
07:05Vous avez absolument raison.
07:07Ils sont interchangeables.
07:09C'est ce que je disais tout à l'heure.
07:11Que ce soit en politique ou que ce soit dans la façon de faire,
07:13ils sont interchangeables.
07:15C'est eux qui ont planté le pays depuis 45 ans.
07:17Ils font l'ENA et puis ils sortent, ils disent
07:19où il y a plus de place, où j'ai plus de chances de faire...
07:21Là en ce moment, il n'y a pas beaucoup de monde à gauche.
07:23Je vais aller à gauche, je vais dire que je suis de gauche ou bien...
07:25Mais c'est les mecs, je te le dis, ça se passe comme ça.
07:27Non mais juste, vous, est-ce que...
07:29Il y a pas mal de gens qui disent aussi
07:31oui, aujourd'hui, le Rassemblement National
07:33s'est normalisé.
07:35Il est rentré dans le rang.
07:37Est-ce que vous avez ce sentiment-là ?
07:39Est-ce que c'est...
07:41C'est bien pour aller au bout en 2027 ?
07:43Est-ce que cette stratégie est la bonne ?
07:45On s'apprête à gouverner le pays.
07:47On ne peut pas faire ça comme des fous furieux comme le fait LFI.
07:49Il faut prendre en compte
07:51certaines réalités. Après, il suffit de regarder
07:53le programme de la présidentielle de 2022
07:55ou celui des législatives de 2024.
07:57Oui, par rapport à ce qui a été fait
07:59jusqu'à présent, on va renverser la table
08:01en matière de sécurité, en matière de politique migratoire,
08:03en matière économique, en matière de relations
08:05internationales, en matière de relations
08:07avec l'Union Européenne qui se
08:09comporte de plus en plus comme une sorte
08:11de prédateur qui veut réduire la France
08:13à une région et
08:15Paris à une préfecture.
08:17Donc oui, mais on le fera évidemment
08:19en respectant toutes les règles
08:21édictées par la Constitution.
08:23Le droit, on sera...
08:25Bien sûr, on croit à l'état de droit
08:27à condition que le droit protège l'honnête citoyen.
08:29Comment définir aujourd'hui votre programme économique ?
08:31Ce n'est pas un programme libéral.
08:35Tout le monde dit
08:37que le programme du Rassemblement national
08:39c'est le même que l'AFI.
08:43Ceux qui disent ça, ils ne l'ont pas lu.
08:45Économiquement.
08:47Il y a une phrase de Marine Le Pen récemment qui a dit
08:49non, on ne va pas supprimer des postes de fonctionnaires,
08:51ça c'est un truc de droite. Donc ça veut bien dire
08:53qu'elle n'est pas de droite.
08:55Vous savez que dans notre programme, par exemple, il y a la suppression
08:57d'un tas de paquets d'agences.
08:59Vous avez vu le rapport de la Cour des Comptes
09:01sur les CESE, les Conseils Économiques, Sociaux
09:03et Environnementaux ? C'est un gouffre financier.
09:05On le supprime.
09:07Là on y va, on taille dedans.
09:09Vous dites tout ça, on va tailler dedans.
09:11On a reçu Laurent Wauquiez ici, il a dit on va tailler dedans aussi.
09:13En quoi ça serait différent ?
09:15La différence entre eux et nous, c'est que nous on n'a jamais été au pouvoir,
09:17eux ils y ont été. Vous parlez de renvoquer le groupe LR.
09:19Je vais vous donner un exemple très précis
09:21sur le droit du sol.
09:23C'était la niche LR
09:25d'ailleurs, sur Mayotte.
09:27Donc il y a un amendement
09:29qui est déposé par Éric Ciotti,
09:31notre allié UDR,
09:33qui propose de supprimer le droit du sol
09:35à Mayotte. Quand on entend
09:37M. Retailleau, on se dit qu'ils sont plutôt raccords.
09:39Qu'a fait le groupe LR ?
09:41Ils sont abstenus. Voilà.
09:43C'est ça LR, c'est pour ça que ces gens-là, ils ont perdu
09:45toute crédibilité.
09:47On peut au moins nous porter crédit que nous,
09:49nous n'avons jamais été au pouvoir. Et en matière économique,
09:51moi j'ai été journaliste économique, donc j'ai une appétence
09:53pour ça, il faut prendre des exemples
09:55concrets. Par exemple, on est pour la priorité nationale
09:57dans la commande publique. On est pour sortir
09:59l'agriculture des accords de libre-échange.
10:01C'est l'Union Européenne qui négocie tous les accords de libre-échange.
10:03On n'a plus la main.
10:05Sur le Mercosur, on vient de signer un accord
10:07avec la Nouvelle-Zélande pour importer des agneaux
10:09et du lait. Alors évidemment, on congelait
10:11et puis le lait en poudre, mais on n'a pas de lait en France.
10:13On n'a pas d'agneau, on n'a pas de mouton.
10:15Enfin, on marche sur la tête, pour reprendre
10:17l'expression.
10:19Mais sur l'économie, non non,
10:21on est patriote et souverainiste. Voilà.
10:23Merci Philippe Ballard d'avoir été avec nous
10:25sur Europe 1. Merci.
10:27Merci d'avoir réagi à cette affiche.
10:29Merci à vous en tout cas, merci beaucoup.
10:31Merci Jean-Christophe d'avoir été avec nous sur Europe 1 de Marseille.
10:33Merci Jean-Christophe.
10:35Tout à l'heure Jean-Christophe, parce qu'on fait une petite pause
10:37et on vous reprend juste après. Merci, à tout de suite sur Europe 1.
10:39J'ai plein de choses qui se bousculent dans ma tête
10:41à 17h03, en direct sur Europe 1.
10:43Déjà, on va prendre beaucoup d'auditeurs.
10:4501, 80, 20, 39, 21. Il y en a beaucoup qui veulent réagir
10:47à l'affiche encore, qui a fait énormément réagir.
10:49On va écouter les dernières réactions.
10:51Deux,
10:53je ne sais pas. Je ne sais pas si on va faire la...
10:55Je ne sais pas si j'ai envie d'entendre
10:57les infos de Fabien. Je suis très inquiété.
10:59Il a des cellulettes là en plus.
11:01Il nous les a tellement bien vendues que
11:03j'ai envie de dire pourquoi pas. Why not ?
11:05Darktigol est là. Bonjour Darktigol.
11:07Merci, excusez-moi de vous avoir réveillé pendant notre sieste.
11:09Je ne le referai plus.
11:11N'inquiétez pas. Merci.
11:13Hier, je l'ai eu au téléphone. Il m'a dit
11:15qu'il était en pleine forme, hier soir.
11:17A minuit et demi, je lui ai dit que c'est normal.
11:19T'es le seul qui fait une sieste entre 16h et 18h.
11:23Merci à lui.
11:25Merci Gauthier Lebray d'être avec nous.
11:27On est ensemble ce week-end ?
11:29Alors ce week-end, je ne suis pas...
11:31Déjà, je vous connais maintenant
11:33sur les promesses qui arrivent vers le jeu du vendredi.
11:35J'ai passé trois week-ends sur quatre avec vous ces derniers temps.
11:37C'est vrai.
11:39Et ce week-end, je ne suis pas parisien.
11:41Vous êtes où ?
11:43Je vais à Bruxelles.
11:45Je pars samedi matin.
11:47Merci.
11:49C'est à côté, c'est une heure Bruxelles.
11:51Excusez-moi Buzon.
11:53On peut se calmer là ?
11:55C'est bon là.
11:57Merci Valérie Benaym d'être là.
12:05C'est bon là, merci Buzon.
12:07Merci Valérie Benaym d'être là.
12:09Merci Philippe Ballard d'être là.
12:11Et j'ai un souvenir de lui.
12:13C'est vrai qu'on se regardait beaucoup pendant la commission.
12:15Troquette parlementaire.
12:17Troquette parlementaire.
12:19Et Philippe, qui connaît bien la télé,
12:21c'est vrai que c'est quelque chose.
12:23En tout cas, ça a été leur record d'audience.
12:25Donc ça fait plaisir.
12:27Si on peut rendre service.
12:29Entre la commission d'enquête,
12:31les compléments d'enquête,
12:33les articles de la presse sur vous
12:35qui doivent aussi, j'imagine, en termes de clics,
12:37produire un petit effet,
12:39chacun fait son beurre sur votre dos.
12:41Au bout d'un moment,
12:43vous êtes une véritable crémière.
12:45Calmez-vous.
12:47Vous êtes sûr de l'image ?
12:49Merci.
12:51On aura les infos de Fabien Lequeu.
12:53Philippe Ballard, reste avec nous.
12:55Je voudrais vraiment qu'on ait des auditeurs qui réagissent
12:57à cette affiche. Il y en a beaucoup qui veulent réagir.
12:59Vous avez vu, Bruno Rotaillou a réagi
13:01ce matin. Le ministre de l'Intérieur,
13:03le garde des Sceaux avait réagi hier.
13:05Gérard Darmanin. C'était sur CNews.
13:07Et on a d'abord
13:09Jean-Christophe qui voulait poser une dernière question.
13:11Allez-y, Olivier Lartigolle
13:13qui branche son chargeur tranquille.
13:15Alors oui, Jean-Christophe.
13:17J'y sais.
13:19Vous aviez une dernière question.
13:21En fait,
13:23vous avez dit, quand vous avez clôturé
13:25C8, qu'il y a
13:27une urgence à ne pas prendre
13:29les mêmes. Si on reprend les mêmes,
13:31on ne s'en sort pas. Et moi, je vous laisse
13:33là-dessus.
13:35Moi, je suis preneur. Je suis preneur,
13:37mais ne le laissez pas tomber.
13:39Merci d'avoir été avec nous.
13:41Merci beaucoup, Jean-Christophe.
13:43Merci, Jean-Christophe.
13:45Parce qu'on ne vous oubliera pas.
13:47Je rappelle que je suis français,
13:49que je n'ai aucun lien avec les juifs.
13:51Mais pour le coup, au SAV, là-haut,
13:53il s'est trompé. Je suis un vrai juif.
13:55J'en suis pas un, mais j'en suis un vrai.
13:57Merci, Jean-Christophe. On vous embrasse fort,
13:59Jean-Christophe. Merci. Et vous avez le bonjour
14:01de toute l'équipe.
14:03On vous embrasse, Jean-Christophe. Merci, Jean-Christophe
14:05de Marseille, qui était avec nous.
14:07Merci.
14:09Alors, voilà.
14:11Il y a d'autres auditeurs qui vont arriver.
14:1330, 20, 30, 9, 21 sur en repas.
14:15Pour rester avec nous, Benaïm est bien dissipé aujourd'hui.