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Transcription
00:00Vous êtes ici lycéens, c'est pour aller au cours du lycée.
00:05Donc, bien entendu, on applique les règles de l'internat.
00:09Les garçons chez les garçons, les filles chez les filles.
00:11On est tous d'accord.
00:16On sortait et on voyait cette grande montagne en face de nous.
00:21Je ne sais pas, il y a un univers avec les copains, la nature.
00:25Maintenant, c'est fini.
00:26Ouais, c'est fini.
00:27Je suis en liste d'attente pour Madrid.
00:30Wow, c'est génial.
00:32Non mais Jeanne, tu as vu la licence dans laquelle tu vas, tu peux mettre des cervelles.
00:36Mais c'est un dérivé de science pour.
00:38Non mais science humaine appliquée, Jeanne, tu crois moins que c'est Babosland aussi.
00:42Ah, ça me rassure.
00:45En plus de tout ça, il faut que je fasse.
00:46Genre le deuil des meilleures personnes que j'ai rencontrées de toute ma vie.
00:50Je préviens un peu mal, mais tranquille.
00:52Moi, j'essaie juste de dire que ce n'est pas une fatalité de perte de contact, c'est tout.
00:56Mais c'est une fatalité.
01:00Moi, je trouve que c'est des dégâts minimes par rapport à l'impact qu'aura cette méga bassine.
01:05Quel effet ça fait d'être face à des gens qui se mobilisent pour la défense du vivant ?
01:09Tout le monde se met droit dans le mur, tout le monde ferme les yeux.
01:12C'est le désespoir, le cauchemar.
01:14Il est remort.
01:15On ferait un domino de matelas.
01:171, 2, 3 !
01:20Merci à votre jeunesse, votre entrain.
01:25L'écosystème.
01:26Toutes vos erreurs qui ne sont pas des erreurs, qui sont que des tentatives.
01:32Je leur embarque, quoi.
01:37Ça reviendra jamais.
01:39Ah non, on ne peut pas dire ça.
01:40Non, mais d'accord, on est malade.
01:42Là, on va tous pleurer.
01:44Ah non, on ne peut pas dire ça.
01:45Non, mais d'accord, on est malade.
01:47Là, on va tous pleurer.