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00:00Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre de Lovac.
00:03Soyez les bienvenus dans C'est votre avenir. Je suis ravi de vous retrouver pour une nouvelle semaine.
00:09Merci à vous de votre fidélité et d'être de plus en plus nombreux à l'écoute de Sud Radio.
00:15Alors si vous êtes en voiture, au bureau ou à la maison, faites une pause tout simplement
00:21pour charger l'application Sud Radio et puis retrouver toutes nos émissions en podcast.
00:28Dans dix jours, c'est le printemps et pourtant vous vous sentez trop souvent épuisé, démotivé,
00:33même dépassé par les événements. Vous perdez en capacité et en efficacité dans votre vie.
00:40Autant professionnel que personnel, ne seriez-vous pas en train de vivre tout simplement un burn-out ?
00:47C'est notre sujet du jour. Vous avez envie de témoigner sur le sujet, de partager aussi vos techniques
00:54pour en sortir ou comment l'avez-vous vécu si vous avez été victime ou si vous avez subi un burn-out ?
01:00Un seul numéro 0 826 300 300 et pour passer bien sûr à l'antenne de Sud Radio et dans C'est votre avenir
01:07car durant cette heure, cette émission répond aussi à toutes vos interrogations, vos préoccupations du moment.
01:14Je suis avec vous quotidiennement pour vous accompagner, vous guider et vous orienter vers un chemin le vôtre.
01:21Sud Radio, C'est votre avenir, le sujet du jour.
01:24Et depuis cette dernière décennie, le burn-out est devenu un phénomène de plus en plus fréquent.
01:30Le burn-out est un état de fatigue émotionnelle, physique et mentale causé par un stress prolongé et excessif.
01:38Et aujourd'hui, on parle de ses préventions. La prévention du burn-out permet de protéger votre bien-être global,
01:46d'améliorer votre qualité de vie et de maintenir aussi une performance optimale dans vos activités quotidiennes.
01:54Alors il existe de nombreuses techniques énergétiques qui peuvent vous aider à prévenir ce syndrome d'épuisement
02:01et à retrouver aussi un équilibre sain dans votre vie.
02:05Les activités telles que la méditation, le yoga, la pleine conscience, les techniques aussi de respiration
02:12ainsi que les soins énergétiques comme le Reiki sont des techniques qui vont vous aider à surpasser toute épreuve et toute difficulté.
02:22Et puis vous avez aussi le tai-chi, les séances de magnétisme sont des pratiques de prévention face à un burn-out.
02:29Et à présent, je vais peut-être accueillir ma première auditrice.
02:33Sud Radio, C'est votre avenir, Alexandre Delaval.
02:37Et j'accueille Sylvia. Bonjour Sylvia.
02:39Bonjour, merci beaucoup de m'accueillir à l'antenne.
02:43Merci à vous Sylvia, vous nous appelez du puits de Dôme.
02:47Oui, tout à fait.
02:49J'ai ma réalisatrice Marie qui est en train de lever les bras parce que justement elle vient du puits de Dôme aussi.
02:57Et elle est heureuse, je peux vous garantir.
03:00Alors Sylvia, vous avez quel âge ?
03:03Alors j'ai 43 ans.
03:06Est-ce que, j'espère pas pour vous, mais est-ce que vous avez vécu déjà un burn-out ? J'espère pas en tous les cas.
03:14Alors burn-out au travail, on va dire non.
03:18Après, il peut y avoir différentes, on va dire, façons de faire un burn-out.
03:23Il n'y a pas forcément que le travail.
03:25Non, complètement.
03:26Voilà, mais je peux dire que j'ai fait un burn-out au niveau, on va dire au niveau familial avec beaucoup de charges, beaucoup de choses à faire.
03:34Et comment vous l'avez gérée ?
03:37Alors en faisant les choses qui me faisaient plaisir, en prenant du temps pour moi.
03:42Je suis quelqu'un qui adore aller en forêt, retrouver du calme, juste écouter les oiseaux.
03:47Voilà, des petits moments comme ça pour moi.
03:51La respiration aussi, ça m'a toujours fait beaucoup de bien.
03:54Dans ces moments-là de stress et de surcharge qu'on peut se donner et qu'on peut avoir,
04:00il est important effectivement de se reconnecter à son moment présent, à l'ici et maintenant.
04:05Et effectivement, cette méthode ou cette technique d'aller dans la nature,
04:11de pouvoir se connecter avec la nature, ça nous permet de nous recharger, de nous ressourcer.
04:16Et puis aussi de se déconnecter avec toutes ces pensées qui parfois deviennent trop obsessionnelles, nous parasites.
04:24Et puis les personnes qui sont victimes ou qui subissent un burnout sont souvent dans cette obsession du temps
04:32où il faut toujours faire, faire, faire et n'ont jamais assez de temps.
04:36Et vous avez su peut-être bien le gérer et vous avez évité le pire.
04:40C'est ça, enfin on va dire que j'ai essayé, j'ai fait de mon mieux du moins.
04:44Bon, très bien.
04:45Alors Sylvie, vous êtes en couple depuis 17 ans.
04:48Oui.
04:49Vous êtes mariée en 2013 exactement.
04:52C'est ça.
04:53Vous avez trois enfants.
04:54C'est ça, exactement.
04:55Des grands enfants, enfin des ados.
04:57D'accord.
04:58Et aujourd'hui votre couple vit des fragilités, des difficultés, c'est bien ça ?
05:02Oui, je ne veux plus du tout malheureusement être avec mon mari.
05:07Pour des raisons, c'est assez difficile.
05:13Il a un caractère très très dur.
05:16Oui.
05:17Et j'en peux juste plus.
05:19Et mes enfants n'en peuvent plus non plus.
05:21Donc je voudrais me séparer.
05:23Sauf qu'on a des soucis on va dire immobiliers.
05:27Et ma question aurait été de savoir si cette fois-ci j'allais vraiment réussir à partir.
05:34Et si j'essaie bien de partir en fait.
05:36Parce que j'ai quand même cette peur qui fait que je suis partie il y a déjà deux semaines.
05:42Je suis partie, j'ai bien remarqué que c'était terminé.
05:47Mais je ne veux pas retourner vers lui.
05:49Et cette peur, j'ai peur qu'elle m'y fasse retourner.
05:53Quand vous parlez de violence, est-ce que c'est de la violence physique ?
05:59Non, verbale.
06:00C'est verbale, d'accord.
06:01Mais parfois la violence verbale peut être aussi traumatisante qu'une violence physique évidemment.
06:07C'est ça.
06:08Ça fait combien de temps que vous êtes dans cet état émotionnel et dans cette dureté de couple ?
06:15Ça fait déjà longtemps.
06:17Également depuis le début, j'ai vu qu'elle était comme ça.
06:21Mais mon erreur a été de croire que j'allais pouvoir le changer.
06:24Grosse erreur.
06:27Et puis ça s'est fortement accentué au mois de mai dernier.
06:34Et entre temps j'ai eu un cancer.
06:36Donc ça s'est enchaîné.
06:38Tout s'est enchaîné.
06:41Et là, dernièrement, il a été trop loin.
06:45Il m'a dit des choses.
06:47Bien sûr, je ne me permettrais pas de dire que c'est à cause de votre mari.
06:51Parce que dans un couple, on est deux.
06:53Mais effectivement, avec les problèmes que vous avez vécu, que vous avez subis,
06:58malheureusement et contre vous, mais que vous avez aussi accepté,
07:06je pense que le corps, lui, il enregistre l'information.
07:10Et forcément, ça a déclenché chez vous des fragilités au niveau santé.
07:14Aujourd'hui, vous êtes en phase de séparation.
07:17Mais pour moi, retenez et souvenez-vous de qui est votre futur ex-mari.
07:24Donc, j'imagine que votre question se pose à savoir si ça va bien se passer cette procédure.
07:32Je pense qu'il y a des difficultés qui sont à venir.
07:34Et de par l'attitude qu'il a pu avoir auparavant, je crois qu'il n'accepte pas aussi.
07:40Je se ressentis qu'il vous en veut.
07:43Et notamment par rapport aux enfants, ça peut être un peu plus compliqué.
07:47Sur les trois enfants, il y en a deux sur lesquels il essaiera d'avoir une influence.
07:52Et puis un autre qui semble vouloir ne pas prendre parti et se détacher de tout ça.
07:57Donc, vous avez face à vous un homme qui aujourd'hui est dans cette notion de résistance.
08:06Et à vous, et vous l'avez fait jusqu'à présent, de travailler sur cette résilience-là.
08:11Et à vous de continuer comme ça.
08:13Mais c'est pour le bien de tous.
08:15C'est pour le bien de votre famille, de vos enfants, pour vous et aussi pour votre futur ex-mari.
08:21Parce que vous ne pouvez pas rester dans une ambiance anxiogène, dans une fragilité, dans une difficulté.
08:26Donc pour moi, vous n'allez pas renoncer.
08:29Vous allez aller jusqu'au bout des choses.
08:31Ça va être compliqué, ça va être difficile.
08:33Mais vous allez en sortir heureuse d'avoir affronté, d'avoir été jusqu'au bout des étapes.
08:40Et de pouvoir aujourd'hui vous libérer de quelque chose qui a été trop pesant pour vous et trop difficile.
08:47Et puis aussi, ce qui est important, ce n'est pas seulement vous, ce sont vos enfants.
08:51Et vos enfants vont pouvoir retrouver un équilibre parce qu'il y a une pression familiale qui a été trop importante,
08:57trop imposée par le côté parental.
09:02Et je pense que vous en avez un sur le plan de la scolarité où il y a eu quelque chose, il y a eu des blocages.
09:07Disons, quel âge ont vos enfants aujourd'hui ?
09:09Alors mes jumeaux vont avoir 15 ans au mois de juin et ma dernière a 13 ans.
09:14D'accord. Mais il y en a un où sur le plan de la scolarité, ça a eu des conséquences, des fragilités, des difficultés.
09:20Et ça va permettre justement de se rééquilibrer et de repartir.
09:23Donc pour moi, n'ayez pas peur d'affronter, n'ayez pas peur d'assumer, n'ayez pas peur de vous faire aider,
09:30de vous faire accompagner, de parler autour de vous.
09:32Mais je sens que vous allez pouvoir atteindre l'objectif que vous souhaitez.
09:37D'accord. Très bien. D'accord. Partez.
09:40Merci à vous Sylvie. Et puis surtout, prenez soin de vous.
09:44Merci, c'est très gentil.
09:46Merci.
09:48Et j'ai le plaisir d'accueillir Andréa. Bonjour Andréa.
09:52Oui, bonjour Alexandre.
09:54Andréa, vous venez d'être sélectionnée par ZAC, du standard.
09:58Vous nous appelez de quelle ville ?
10:00De Dax.
10:02De Dax. Et pour vous, c'est le côté professionnel.
10:06Mais avant toute chose, concernant le sujet du jour, on parle du burnout.
10:12Est-ce que vous avez vécu un burnout ?
10:15Oui.
10:16Il y a combien de temps ?
10:17Il y a 8 ans.
10:18Il y a 8 ans, et c'est pour ça que je suis encore dans cette situation professionnelle compliquée.
10:23Parce que ce burnout a duré…
10:26En fait, les effets négatifs ont duré très longtemps.
10:29On n'en sort pas comme ça.
10:32Non, parce qu'en fait, ça a débloqué une dépression.
10:38C'était comme la précédente personne.
10:41C'est émotionnel, c'est familial, etc.
10:44Effectivement, tout a été en cascade.
10:46Après, ça a été le travail.
10:47Et donc, il y a eu une grosse remise en question qui a été faite.
10:50Un divorce, bref, très compliqué.
10:53Je rappelle à nos auditeurs quand même que si vous vivez un burnout,
10:57et souvent, on est dans le déni quand on est dans cette phase de burnout.
11:01On est dans le déni parce qu'on ne veut pas lâcher.
11:03Mais faites-vous accompagner.
11:05Et faites-vous accompagner par des professionnels de la santé avant toute chose.
11:10Et puis ensuite, il y a, au travers des médecines alternatives,
11:14ça peut être complémentaire, ça peut aider.
11:16Et puis, des activités, des disciplines dont c'est possible d'améliorer,
11:20d'alléger notre quotidien et de nous aider justement à surmonter.
11:25Mais il ne faut pas hésiter à consulter des personnes compétentes
11:29et des professionnels de la santé pour se faire aider aussi.
11:33C'est ce que vous avez fait ?
11:34Oui, alors moi j'ai fait des psys, j'ai fait de la méditation,
11:40j'ai fait de la psychogénéalogie,
11:44je suis allée chercher très très loin, l'éthiomédecine.
11:48J'ai vraiment testé plein de choses.
11:50Je vais à fond.
11:52Maintenant, j'ai bien compris, je vais très très loin.
11:55C'est intéressant sur le fait que vous avez été dans la psychogénéalogie,
12:00parce que justement, ça permet de comprendre son histoire,
12:03de savoir d'où on vient, de quelles ont été les erreurs
12:06et peut-être de faire aussi un pardon sur des choses.
12:10Donc, c'est intéressant.
12:12Alors, Andréa, quelle est votre question ?
12:16C'est par rapport à ma situation professionnelle,
12:18puisque là, depuis un an et demi, un peu plus d'un an et demi,
12:23je ne travaille plus.
12:25Dans mon dernier travail, j'ai subi des violences verbales,
12:30j'ai dû porter plainte.
12:32Comme j'étais toujours dans ma phase de divorce, de burn-out, etc.,
12:36ça a été très compliqué à gérer.
12:38J'ai perdu pied.
12:40J'ai fait un bilan de compétences,
12:42mais qui ne m'a pas apporté grand-chose.
12:44Là, je commence à aller mieux
12:46et j'ai répondu à une offre d'emploi il y a un mois.
12:48Et là, j'attends la réponse.
12:50Je voulais savoir ce que ça allait donner.
12:52C'est un débouché.
12:53Oui, c'est un débouché.
12:55Et donc, si je dois continuer dans le domaine dans lequel...
12:58Si ça ne marche pas de continuer dans le domaine dans lequel j'étais,
13:01où est-ce qu'il faut que je change complètement ?
13:03Et là, changer complètement, je ne sais pas dans quoi.
13:05En fait, je n'arrive pas à me projeter.
13:07Alors, effectivement, c'est peut-être encore un peu trop prématuré pour vous.
13:10Pensez à votre futur professionnel.
13:13Donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
13:15Vert.
13:16Le vert plutôt foncé, clair ?
13:20Bien pétant, on va dire.
13:22D'accord.
13:23Un vert qui s'exprime, tout simplement.
13:25Oui, c'est ça.
13:27Pour moi, il y a une évolution.
13:29Il y a une évolution qui est amenée à se faire.
13:31Et je crois qu'effectivement, vous avez besoin d'un changement.
13:34Vous avez besoin d'aller vers autre chose.
13:36Dans tous les cas, intellectuellement, vous avez besoin d'apprendre.
13:39Vous avez besoin de vous former à autre chose.
13:41Mais aujourd'hui, il y a malgré tout des traumatismes qui sont encore là,
13:45qui sont encore présents.
13:47Il y a une fragilité émotionnelle qui est encore là,
13:49pour laquelle vous devez avoir un peu plus de confiance, d'assise, d'ancrage
13:56par rapport à tout ça, pour redémarrer sur quelque chose de consistant,
14:01de bon et de durable dans le temps.
14:03Donc, pour moi, il y a cette volonté d'arrêter avec le passé.
14:07Et ça, il faut absolument le faire.
14:09C'est-à-dire qu'à la limite, j'aurais tendance à vous dire que ça doit être négociable
14:14juste pour dire stop et d'arrêter.
14:17Et non négociable pour revenir à des choses du passé.
14:22Et puis, il y a une proposition.
14:26Alors, je ne sais pas exactement si c'est lié à cette offre d'emploi,
14:30mais pour moi, oui, il y a une opportunité qui va se présenter à vous
14:34et d'ici maximum deux mois, vous serez dans cette opportunité-là.
14:38Et on dirait qu'il y a un réseau, il y a un contact autour de vous
14:41qui peut vous amener à vous introduire
14:44ou en tous les cas faire parler de vous pour arriver à avoir une ouverture
14:48ou une opportunité professionnelle.
14:50Et puis ensuite, vous aurez un changement d'activité, de secteur d'activité,
14:54mais pas tout de suite.
14:56Il faudra peut-être patienter une période d'un an, un an et demi,
14:59voire peut-être deux ans grand maximum.
15:01D'accord ?
15:02D'accord.
15:03Merci à vous, Andrea. J'espère que ça a du sens, ce que je vous dis.
15:07Oui, oui, je pense, oui.
15:11Le temps le dira.
15:15Prenez soin de vous. Merci.
15:17Merci beaucoup. Au revoir.
15:19Et vous, est-ce que vous vivez un burn-out ?
15:21Ou vous êtes sortis d'un burn-out ?
15:24Mais de quelle manière ?
15:25Et bien, venez tout simplement témoigner à l'antenne de Sud Radio
15:29ou aussi poser toutes vos questions,
15:32quel que soit le domaine sentimental, professionnel.
15:36Je suis là pour répondre à toutes vos interrogations.
15:39Un seul numéro, 0826 300 300.
15:42On va se retrouver dans quelques instants avec Marco.
15:45Marco a monté un projet professionnel avec son compagnon,
15:48sauf qu'aujourd'hui, il se pose des questions sur son futur professionnel.
15:53Appelez maintenant Sud Radio au 0826 300 300
15:57et participez à C'est Votre Avenir.
16:0116h-17h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Delevoye.
16:05Et de retour dans votre émission C'est Votre Avenir.
16:08Aujourd'hui, on parle du burn-out et de ses conséquences.
16:11Alors, bien sûr que ça a des conséquences sur la santé, la vie quotidienne.
16:16Ça peut même jouer gravement sur votre santé.
16:20Certaines personnes peuvent souffrir de troubles du sommeil,
16:23de problèmes digestifs et aussi de dépression.
16:26Ce qui différencie le burn-out de la dépression,
16:29eh bien, le burn-out, tant qu'à lui, vient de la sensation de vous prendre un mur,
16:35de vous effondrer ou d'exploser.
16:38Et puis, votre corps et votre tête, elles, disent stop, on n'en peut plus.
16:43Alors que la dépression est bien différente,
16:45les choses s'installent progressivement.
16:47Elle se déclare en raison d'un traumatisme ou d'un cumul de certaines situations.
16:53Et la tristesse s'installe peu à peu et elle empire et elle dure.
16:58En outre, le burn-out peut entraîner une baisse de la productivité au travail
17:03et des difficultés aussi relationnelles.
17:06Et vous devenez irritable, vous ne supportez plus les autres,
17:10que ce soit votre entourage professionnel ou familial.
17:14Et vous n'arrivez plus à trouver le repos.
17:16Alors, si vous avez envie de témoigner et aussi d'exposer votre problématique face au burn-out,
17:23n'hésitez pas, nous sommes là, en direct, jusqu'à 17h.
17:27Et j'ai le plaisir d'accueillir Marco.
17:30Bonjour Marco.
17:31Bonjour Alexandre, merci de me recevoir.
17:34Merci à vous Marco.
17:36Vous nous appelez de quelle ville ?
17:38Alors, j'habite à côté de Dax, en Allemagne.
17:42D'accord.
17:43Marco, vous êtes avec votre compagnon aujourd'hui.
17:47Vous avez décidé, depuis combien d'années vous êtes ensemble ?
17:52Alors, 5 années.
17:54Et vous avez décidé ensemble de racheter un petit café.
17:59Oui, c'est exact.
18:01Depuis combien de temps ?
18:03Alors, nous l'avons acheté cet été parce que ça a été un peu compliqué
18:08et on l'a ouvert le 3 septembre.
18:10D'accord.
18:12Le 3 septembre, c'est tout récent.
18:15Oui.
18:16Et aujourd'hui, vous vous posez des questions sur l'avenir de ce commerce ?
18:20Oui.
18:21Est-ce qu'il n'est pas un peu trop tôt pour se poser ce genre de questions ?
18:24Ce n'est pas un jugement, c'est juste une réflexion.
18:28Non, votre question est intéressante.
18:30Alors, il est que, par rapport à nous deux, mon ami, lui, n'est pas de ce métier-là.
18:38Il est des arts plastiques.
18:41Il fait beaucoup d'efforts et il ne se voit pas à long terme,
18:47et surtout après l'été, de continuer.
18:50Il le fait, il le fait, il le fait en toute honnêteté, mais...
18:56Ce n'est pas son job.
18:59C'est ça.
19:00Et moi, j'ai eu un accident il y a quelques années sur une jambe, la jambe droite,
19:06et j'ai tellement utilisé le côté gauche que je souffre énormément du genou en plus,
19:12et donc on fait 16-17 heures par jour à peu près.
19:16C'est à peu près notre temps de travail.
19:19C'est un métier où ça demande beaucoup de disponibilité.
19:22Oui, très sûr.
19:23Et très ingrat.
19:24On se rend, et on se rend...
19:26Bon, les gens sont sympathiques et charmants, attention.
19:29Ça n'enlève pas, bien sûr.
19:31Voilà.
19:32Et donc, honnêtement, s'il veut arrêter, il a fait un burn-out avant que je le rencontre.
19:39Il a fait un burn-out et il ne s'est jamais pu remis à son métier, à son travail.
19:43Et lui, il voudrait recommencer, repartir dans son travail.
19:47D'accord.
19:48Alors, de ce que je ressens, et bien entendu, je comprends que vous êtes inquiet pour votre compagnon
19:54et surtout pour son épanouissement.
19:56Je crois qu'il faut accepter, il faut accueillir cette information-là
20:01et tout simplement faire en sorte qu'il s'épanouisse dans ce qui lui plaît.
20:05Parce que sinon, votre commerce va vivre certaines difficultés
20:11et ça pourra se ressentir sur son humeur.
20:13Et puis, peut-être aussi, on parle aujourd'hui de burn-out,
20:17peut-être aussi, à un moment donné, pour lui, un excès de choses qui l'amènent à exploser.
20:23Donc, attention à ce que ça n'agisse pas sur sa santé mentale et psychologique.
20:29Mais, de ce que je ressens, Marco, c'est que ce projet-là vous tient à cœur.
20:36Et aujourd'hui, si on vous enlève ce projet, il y a une partie de vous, de vos désirs,
20:43peut-être, je ne veux pas dire de rêves, mais il y a quelque chose qui s'effondre un petit peu.
20:48Est-ce que c'est le cas ?
20:50Oui.
20:51Oui.
20:52Donc...
20:53Je fais ça depuis tout le temps.
20:55Oui, c'est ça.
20:56C'est ça.
20:57Donc, je peux comprendre que vous voulez faire plaisir à votre compagnon et c'est légitime
21:01et c'est tout à votre honneur aussi, c'est bien.
21:03Mais, ne vous oubliez pas, ne vous abandonnez pas totalement à l'autre.
21:10Et quand je dis à l'autre, je le dis avec beaucoup de sympathie et de respect envers votre compagnon.
21:17Mais, pour moi, vous devez maintenir ce commerce.
21:20Vous devez aller jusqu'au bout des choses et vous devez continuer.
21:23Et votre compagnon n'est pas le sauveur de ce commerce et n'est pas la cause de la continuité
21:30ou de la réussite ou de la faillite de ce commerce.
21:33Vous voyez ce que je veux dire ?
21:35Oui.
21:36Donc, si aujourd'hui, votre intention est de continuer, allez-y, faites-le, parce que c'est ce que je ressens.
21:46Il y a du moyen, il y a des moyens, il y a du potentiel et il y a des possibilités.
21:50Mais comment faire ?
21:51Eh bien, pour moi, je crois qu'il faut développer un peu plus l'activité.
21:55Alors, même si je comprends, vous avez une douleur au genou, votre compagnon, lui, ce n'est pas son truc,
22:02il n'est pas investi totalement, mais essayez de vous faire aider.
22:07Je ne sais pas pourquoi, mais je sens soit quelqu'un qui peut très bien rentrer dans votre commerce
22:13ou en tout cas que vous pouvez très bien recruter sous forme d'alternance
22:16ou peut-être est-ce qu'il y a un stagiaire ou une stagiaire qui pourrait éventuellement vous soulager un petit peu
22:22et créer un peu plus de flux.
22:24En plus, on arrive en période estivale, donc vous êtes dans un endroit où il y a un peu de fréquentation de tourisme.
22:32Oui, c'est ça.
22:33Donc, je sens que ça peut être possible et je dirais, à la limite, faites un bilan de tout ça à la fin de l'été, septembre, octobre.
22:41Faites un bilan et de se dire, est-ce que je continue autrement et différemment ou est-ce qu'on arrête tout ?
22:46Moi, je ne sens pas le commerce pour autant s'arrêter définitivement,
22:51mais je crois qu'effectivement, il faut que votre compagnon, lui, trouve sa voie
22:57et reprenne son indépendance et son autonomie pour se réaliser et s'épanouir.
23:04Peut-être qu'un jour, il reviendra à vouloir travailler dans le commerce
23:10parce qu'il y perd des avantages en étant ailleurs et en travaillant ailleurs.
23:18Oui, il a eu une opportunité.
23:20Une dame qui a une galerie qui a demandé de se remettre au travail,
23:25mais cet hiver, il n'a pas eu la force, il n'a pas eu le courage de le faire.
23:30Il est fragile.
23:36Je pense qu'il est peut-être dans un petit état de dépression ou de burn-out,
23:43je ne sais pas, mais il y a une fragilité.
23:45Donc, il faut qu'il se fasse peut-être aider, accompagner
23:48et qu'il aille chercher toute sa ressource pour travailler sur sa nouvelle motivation
23:54et celle de son épanouissement et de sa réalisation qui lui correspond.
23:59D'accord ?
24:00Oui.
24:01Merci à vous, Marco. Prenez soin de vous.
24:03Merci.
24:04Je vous remercie.
24:05Merci.
24:06Allez, vous savez que les personnes qui vivent un burn-out
24:09sont généralement dans le déni d'un trouble
24:12et ont besoin de se réfugier dans une surcharge de travail ou de responsabilité.
24:16Elles focalisent sur l'obsession du temps,
24:19c'est ce que je disais auparavant avec notre précédente auditrice.
24:22Et vous, comment évaluez-vous votre charge professionnelle ou personnelle ?
24:27Vous avez besoin d'avoir des réponses à vos questions
24:30et connaître votre futur sur les mois à venir ?
24:33Eh bien, je peux vous donner toutes les réponses au 0826 300 300.
24:38On va se retrouver dans quelques instants avec Cathy.
24:41Cathy aimerait savoir si son activité en tant que sophrologue va pouvoir prospérer.
24:47Ne bougez pas.
24:52Vous êtes un million d'abonnés sur la chaîne YouTube de Sud Radio.
24:57Merci pour ce succès.
24:58Et votre fidélité, bien sûr, continue à nous écouter,
25:01notamment grâce à l'appli Sud Radio sur vos téléphones.
25:04Sud Radio, parlons vrai.
25:05Ça, c'est le filtre.
25:06Sud Radio, c'est votre avenir.
25:08Alexandre Delaval.
25:09Et de retour sur Sud Radio.
25:11Bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent
25:13pour cette deuxième partie d'émission de C'est votre avenir.
25:16Alors, revenons sur notre sujet du jour
25:19concernant le burn-out.
25:21Plusieurs facteurs peuvent contribuer au développement du burn-out.
25:25Selon une étude récente, près de 50% des travailleurs en France
25:29disent stressés par leur travail,
25:31ce qui peut augmenter le risque du burn-out.
25:33Alors, des études montrent aussi que la pratique de la méditation régulière
25:37peut diminuer le niveau de cortisol, l'hormone du stress
25:41et augmenter la résilience émotionnelle.
25:44La respiration consciente est importante.
25:47Elle permet de calmer le système nerveux et de réduire le stress.
25:51Donc, que ce soit burn-out ou pas,
25:53je vous recommande de faire régulièrement de la méditation.
25:56La visualisation aussi.
25:58La visualisation, elle aide à apaiser l'esprit et à se détendre.
26:02Il ne faut pas hésiter à se visualiser.
26:05Le scan corporel.
26:07Essayez de voir toutes les parties de votre corps,
26:10de faire un peu de l'introspection de votre corps intérieur.
26:14Ça permet de relâcher les tensions physiques et mentales.
26:18Si vous explorez ce genre de technique,
26:22faites-le dans un endroit plutôt calme,
26:24dans un endroit détendu, dans un endroit choisi
26:27et dans un endroit qui vous appartient.
26:29Vous verrez que vous allez pouvoir augmenter le potentiel
26:32et les capacités de bien-être, d'équilibre
26:35et apaiser un peu tout le stress que vous pouvez avoir.
26:38Et à présent, j'accueille Cathy.
26:41Bonjour Cathy.
26:42Bonjour.
26:43Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Cathy.
26:46Vous nous appelez d'où ?
26:48J'appelle de Limoges.
26:50De Limoges.
26:51Cathy, vous avez quel âge ?
26:53J'ai 62 ans.
26:5562 ans.
26:56Aujourd'hui, vous avez démarré une activité en tant que sophrologue.
27:01C'est ça, j'étais infirmière et maintenant je suis sophrologue.
27:06Alors, on va venir sur votre sujet.
27:09On va en parler, bien entendu,
27:11puisque c'est quand même le sujet qui vous préoccupe.
27:14Mais est-ce que vous avez vécu un burn-out ou votre entourage ?
27:19Peut-être que dans le secteur médical,
27:21c'est peut-être pas évident non plus.
27:23Il y a peut-être beaucoup de gens qui souffrent
27:25de ce genre de troubles ou de problèmes, non ?
27:28Oui, complètement.
27:29Le secteur infirmier, le secteur médical est en grande souffrance.
27:33Depuis, ce n'est pas nouveau,
27:35mais bon, ça s'aggrave quand même en ce moment.
27:38Et effectivement, il y a beaucoup de nos métiers qui se retrouvent en burn-out
27:43parce qu'on est quand même confronté à des horreurs particulières,
27:47à la mort, à la souffrance, à la douleur.
27:50Et ça aggrave aussi...
27:52Il y a des manques de moyens.
27:54Il y a des manques de moyens.
27:55Oui, absolument.
27:56Parce que parfois, je ne veux pas prendre partie de quoi que ce soit,
28:00mais je le vois bien.
28:02Dans des services médicaux,
28:04parfois, il y a des personnes soignantes
28:07qui sont pleines de bonne volonté,
28:09mais qui n'ont pas ces moyens pour pouvoir apporter.
28:13Et donc, il y a de la négligence et il y a des erreurs aussi.
28:17Oui, absolument.
28:18Et puis, le soutien, c'est surtout le soutien.
28:21Bien sûr.
28:22On manque énormément de soutien.
28:24On aurait besoin, je pense, dans cette situation-là,
28:27d'avoir un soutien psychologique,
28:30même sophrologique,
28:32pour nous aider en tant que soignants à se supporter,
28:35à vivre le quotidien
28:37sans forcément être en burn-out,
28:40déjà dans la vie régulière.
28:42Mais le burn-out, c'est un gros souci.
28:44Moi, j'ai vécu ça en tant que personne infirmière
28:48lorsque je travaillais dans les horaires de nuit.
28:51Puisque le travail de nuit, c'est quand même particulier.
28:54On est assez seul.
28:56On dort ou on ne dort pas.
28:58La journée, on est en décalé.
29:01Donc, c'est très difficile de s'adapter à un sommeil.
29:04Déjà, on n'est pas dans les horaires qu'il faudrait pour dormir.
29:07Bien sûr.
29:08L'horloge biologique est modifiée.
29:10Voilà.
29:11Et on a vécu des choses.
29:13Et les hormones du sommeil ne sont plus là
29:15puisqu'on est en décalé.
29:17Donc, il y a beaucoup de difficultés par rapport à ça.
29:20La difficulté de sommeil en prenant la fatigue,
29:23le manque de sommeil entraînant beaucoup de perturbations à l'intérieur de nous,
29:28notamment hormonales,
29:29font que petit à petit s'installe
29:32une dette importante de sommeil.
29:36Et nous allons effectivement vers un burn-out.
29:41C'est quelque chose d'assez douloureux à vivre.
29:44Bien sûr.
29:45Et puis, on s'en sort du burn-out.
29:48Mais ça prend beaucoup de temps.
29:50Absolument.
29:51Ça prend beaucoup de temps.
29:53Alors, Cathy, aujourd'hui, vous avez décidé d'aller vers une reconversion.
29:58Et enfin, ce n'est pas une reconversion totale
30:01puisque c'est quand même la continuité.
30:03Vous êtes dans un besoin d'apporter aux autres du bien-être
30:09et notamment avec la sophrologie.
30:11Alors là, à ce niveau-là, j'adhère complètement.
30:14Merci.
30:15C'est super.
30:16Oui, oui.
30:17Pour avoir justement pratiqué la sophrologie,
30:20je trouve que ça devrait être enseigné.
30:23C'est comme la méditation, le yoga.
30:25Ça devrait être enseigné dans toutes les entreprises et même les écoles.
30:28Je trouve que ça fait partie des choses
30:30qui nous permettraient d'être beaucoup plus en paix
30:32et moins en réaction émotionnelle.
30:35Et malheureusement, ça grave d'année en année, je trouve.
30:39Oui, et ça nous permet de nous découvrir nous aussi, beaucoup.
30:42Exactement.
30:43Et aujourd'hui, votre activité a du mal à prospérer.
30:47Il y a beaucoup, beaucoup de concurrence, je dirais.
30:52Donc la formation en elle-même...
30:55Bon déjà, c'est une formation qui n'est pas reconnue essentiellement par l'État.
31:00Donc si vous voulez, il n'y a pas de diplôme d'État.
31:04On a un diplôme de sophrologue, mais ce n'est pas un diplôme d'État.
31:08Donc ça veut dire que tout le monde peut, à la limite,
31:12se déclarer sophrologue, se mettre une plaque.
31:15Bien sûr.
31:17Donc il y a des formations multiples.
31:20Ça laisse libre cours à tout le monde.
31:22On peut se former en trois mois par Internet.
31:25Comment on peut se former ?
31:27Moi, je me suis formée en deux ans.
31:30Et donc avec plus de 400 heures de formation.
31:33D'accord.
31:34Cathy, votre question, c'est de savoir si vous allez pouvoir en vivre de ce métier-là, c'est ça ?
31:38Oui, voilà, c'est ça.
31:40Pensez à ça et donnez-moi une couleur, s'il vous plaît.
31:43Une couleur...
31:45Qui vous vient, allez-y, ne réfléchissez pas et donnez une couleur, s'il vous plaît.
31:48Blanc.
31:49D'accord.
31:50Pour moi, il faut patienter un petit peu, dans le sens où il faut persévérer.
31:54Il ne faut pas avoir peur.
31:56Il faut persévérer.
31:57Et j'aurais tendance à dire, même si vous connaissez bien le corps humain
32:00et que vous connaissez bien comment fonctionne l'individu,
32:04mais j'ai l'impression que vous avez peur de décevoir.
32:06J'ai l'impression que vous avez peur de faire mal ou de ne pas être à la hauteur.
32:10Et vous avez un petit souci de confiance en vous.
32:14Et même si j'entends ce que vous me dites, qu'il y a la concurrence ou autre,
32:19mais j'ai le sentiment que vous, vous jugez un peu trop sévèrement,
32:24vous vous condamnez un petit peu à ne pas exister comme vous devriez exister dans votre métier.
32:30Donc il faut oser.
32:32Il faut avancer.
32:34Il faut tenter de nouvelles choses, peut-être même des ateliers,
32:38de faire des choses, des petits groupes, des choses comme ça,
32:41pour dynamiser et pour qu'on entende parler de vous partout
32:44et qu'on soit saoulé de vous entendre parler de vous.
32:47Merci beaucoup.
32:49Vous allez y arriver. Vraiment.
32:51Ça va prendre un petit peu de temps, mais vous allez y arriver.
32:53Je vous remercie.
32:55Ne lâchez pas.
32:57D'accord ?
32:58D'accord.
32:59Non mais je ne suis pas de nature à lâcher.
33:01Vous êtes issue du médical, donc vous avez la formation,
33:04et en plus vous êtes formée en tant que professionnelle sophrologue,
33:08et donc vous êtes légitime.
33:10D'accord.
33:12Bon, très bien.
33:13Je vous remercie beaucoup pour cette écoute et cette transmission.
33:17Merci à vous. Prenez soin de vous.
33:19Merci beaucoup.
33:21Bonne journée.
33:25Marie, voilà, elle a dit au revoir.
33:30Allez, j'ai le plaisir d'accueillir Coralie.
33:32Bonjour Coralie.
33:33Bonjour Alexandre.
33:35Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
33:37Merci.
33:38J'ai ma réalisatrice qui a le doigt qui part trop vite.
33:43Alors, vous nous appelez d'où ?
33:45De Toulouse.
33:47De Toulouse, la ville rose.
33:49Oui.
33:50Et vous avez quel âge ?
33:52J'ai 52 ans.
33:54Bon, le jeune âge encore.
33:56Oui, voilà.
33:57Alors, vous, on parle aujourd'hui de burnout. Est-ce que ça vous parle ?
34:03Oui, ça me parle.
34:04Oui. Vous avez été concernée ?
34:06Oui. Comme l'auditrice précédente, je suis aide-soignante moi.
34:10Donc, je suis aussi dans le soin et effectivement, c'est un phénomène qui touche pas mal la profession.
34:17Oui, c'est sûr.
34:20Et vous, est-ce que vous avez été marquée ou est-ce que vous avez échappé à ce genre de choses ?
34:27Non, je suis en train d'essayer de ne pas tomber dedans.
34:32Donc, vous avez conscience du stress dans lequel vous êtes aujourd'hui et vous essayez de le gérer autrement et différemment.
34:40Alors, comment vous faites ?
34:43Alors, je marche, je vais consulter une psychologue et je m'en cours de beaucoup d'années.
34:50Très bien. Parfait. Et vous sentez que ça vous apporte du bien-être, ça vous donne de la ressource ?
34:56Exactement.
34:57Bon, mais continuez comme ça. Et puis, faites-vous plaisir.
35:02Parce que je pense que les petits plaisirs sont les plaisirs essentiels pour pouvoir booster son hormone du bonheur et aussi augmenter sa joie.
35:17Aujourd'hui, vous posez des questions concernant votre vie personnelle, sentimentale ou à quel niveau ?
35:28Alors, plutôt personnelle voire professionnelle parce que finalement c'est toujours plus ou moins lié.
35:35Mais oui, je me dis que l'année 2025 peut être porteuse de nouvelles choses.
35:41Oui.
35:42Voilà, il faut peut-être oser davantage et c'est pour ça que je me permettais de vous appeler pour que vous m'aiguillez un peu plus.
35:48D'accord. Vous avez des projets futurs ?
35:51Oui.
35:52Oui. Alors, c'est pour ça que je vous pose cette question parce que pour moi, je pense que vous allez aller vers un projet.
35:57Ce projet, en fait, il englobe autant la vie personnelle que la vie professionnelle.
36:04Tout à fait.
36:05Et j'ai l'impression qu'il y a des choses sur lesquelles vous avez, je ne veux pas dire hâté, mais que vous avez en tous les cas pris comme décision de ne plus faire et de ne plus renoncer tout simplement pour pouvoir changer les choses.
36:23Et d'un point de vue personnel, alors il y a peut-être un lieu, un changement de lieu sur lequel vous pouvez très bien décider de faire ou de vivre pour développer autre chose et déplacer.
36:35Vous avez des enfants, c'est ça ?
36:37Oui, j'ai trois enfants.
36:39D'accord. Et est-ce qu'aujourd'hui vous avez pour intention de vouloir changer d'endroit, de lieu ?
36:45Oui, tout à fait.
36:47D'accord. Eh bien, ça va se faire. Pour moi, je pense que ça va se faire. Il y a un changement de lieu, il y a un changement d'endroit.
36:53Et dans ce lieu, dans cet endroit, on dirait qu'on peut développer peut-être une activité. Est-ce que c'est dans vos projets ?
37:01C'est tout à fait ça, en fait.
37:03Oui. Est-ce que je peux en savoir un peu plus ?
37:06Eh bien, disons que, comme je vous disais, je suis aide-soignante et je prévoirais de diversifier un petit peu mon activité,
37:15laisser un petit peu ce métier-là et me tourner vers autre chose, quelque chose qui soit plus en accord avec moi,
37:22des valeurs et puis des besoins, justement, pour éviter de tomber dans des burn-out et d'être toujours insatisfait,
37:31être un peu plus personnelle, un peu plus individuelle et penser plus à moi dans ces projets-là, me faire plaisir avant tout.
37:38Eh bien, ça va se faire. Ça va se faire, ça va demander un petit peu de temps, mais vous avez cette conviction de vouloir le faire
37:45et c'est déjà très important. Le fait d'avoir cette conviction, cette détermination et cette ambition,
37:52eh bien, les choses sont faites à plus de 50 %. Il faut un petit peu de temps, mais je crois que d'ici cette fin d'année,
38:00vous serez dans une nouvelle réalisation et gardez et restez sur vos propres valeurs, sur ce que vous, vous pensez,
38:08ce qui est bon pour les autres et de le faire avec autant de sérieux, avec autant d'intégrité et de dévouement
38:17et vous verrez que les choses vont fonctionner, vont marcher dans ce sens-là.
38:22Voilà, je suis ravie, merci.
38:25Moi, je n'ai rien fait. Je ne fais que souffler ce que je capte dans votre inconscient.
38:32D'accord, très bien.
38:34Maintenant, c'est à vous. Les clés sont chez vous et la balle est dans votre camp, ma chère Joko Rallye.
38:42Excusez-moi, j'ai perdu le prénom.
38:46Allez, passez une bonne fin de journée et n'hésitez pas à revenir vers nous.
38:50Très bien, merci, au revoir.
38:51Merci. Et vous, vous souhaitez peut-être avoir des réponses à vos questions,
38:56quel que soit le sujet de préoccupation, quels que soient aussi vos projets, n'hésitez pas.
39:01Un seul numéro 0 826 300 300. Nous allons vous retrouver dans quelques minutes.
39:07Laure se pose des questions sur le couple de sa fille et notamment par rapport à son beau-fils
39:14où il vit quelques fragilités professionnelles. On en parle juste après. Ne bougez pas.
39:20Retour de C'est Votre Avenir dans un instant sur Sud Radio.
39:24Bonjour, c'est Filzer 17h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Delaval.
39:29Et de retour dans C'est Votre Avenir pour cette dernière partie avant de retrouver les vrais voix
39:35présentées par Cécile Dominibus, Philippe David et son équipe.
39:38Et si jamais vous souhaitez participer à l'émission de demain, on parlera du syndrome du survivant.
39:46Et à présent, j'accueille Laure. Bonjour, Laure.
39:50Bonjour, Alexandre.
39:52Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Laure.
39:54Je vous en prie, c'est la première fois.
39:57Il faut toujours une première.
39:59Je vous écoute tout le temps, mais c'est la première fois que je vous téléphone.
40:01Je suis ravi et merci de votre fidélité.
40:04Vous savez qu'il y a peu de temps, on a atteint les 1 million d'abonnés sur YouTube.
40:10Ce qui veut dire que Sud Radio est de plus en plus d'auditeurs et de fidèles.
40:17Oui, je sais.
40:19Alors, Laure, vous vous inquiétez pour votre beau-fils.
40:23Oui, je m'inquiète pour mon beau-fils qui vit en Suède avec ma fille.
40:27Bien sûr, ils ont deux petits garçons.
40:29Et en ce moment, il y a des problèmes, pas dans le couple en fait,
40:32il y a des problèmes pour mon beau-fils qui est, je pense, en train de perdre son travail.
40:37Je n'en suis pas sûre encore, mais il est très inquiet car il est designer dans une société d'accessoires.
40:43Il y a eu bruit d'étancillement.
40:46Et là, vendredi, le reste des employés doivent avoir une réunion.
40:52Et il a un peu peur, il est très stressé.
40:55J'ai eu ma fille dimanche là, de savoir ce qu'il en est.
41:00Donc voilà, je demandais un peu votre aide.
41:04Alors, j'imagine que les conditions en Suède sont différentes qu'en France sur les principes de réglementation.
41:11En ce moment, les conditions, ça va, ils ont une belle qualité de vie.
41:14Mais on leur a demandé, malheureusement, de faire des provisions d'eau et de conserves.
41:19Alors, ils ne sont pas loin de la Russie, mais c'est quand même un peu bizarre.
41:24Mais bon, ils sont un peu inquiets, mais pas plus que ça.
41:26Est-ce que ça concerne juste un lieu géographique ou est-ce que c'est toute la Suède
41:32où justement ils demandent à faire de la provision d'eau ?
41:35Je ne sais pas. Eux, ils habitent au Stockholm.
41:37Et c'est à Stockholm qu'on leur a demandé.
41:39Et depuis combien de temps ils ont demandé ça ?
41:41Ça fait une semaine.
41:43Donc, ils ont peur de certaines représailles, peut-être ?
41:48Ils ont un peu peur.
41:49Moi, je me dis, maman, s'il y a quelque chose, je prends la voiture et les enfants et on arrive en France.
41:54C'est pas tout près.
41:56Alors, j'imagine qu'avec un climat politique, ça rend forcément les pays avoisinants frileux.
42:04Et forcément, ça joue sur l'activité professionnelle, sur les entreprises et tout ça.
42:10Donc, si votre beau-fils, lui, jusqu'à présent, a été un peu fragilisé,
42:15ça n'arrange pas et ça ne solutionne pas les choses.
42:18Oui, il est sensible. C'est un homme angoissé, disons.
42:25Pour moi, je crois qu'il a, malgré tout, de l'ambition.
42:29Alors, même si aujourd'hui, vous l'avez cité, vous l'avez dit, je pense que ça va s'arrêter pour lui.
42:37Peut-être que ça se décale un petit peu au niveau de la date.
42:40C'est-à-dire qu'il peut avoir une crainte ou une peur que ça s'arrête très rapidement.
42:45Je pense que ça se prolonge un petit peu.
42:48Il peut négocier avec eux un départ un peu plus lointain ou prolongé.
42:54Mais il y a un changement, il y a quelque chose qui va s'annoncer pour lui, effectivement.
42:59Par contre, je sens que votre beau-fils, lui, n'a pas envie de baisser les bras.
43:06Et bien au contraire, je le sens très motivé, ambitieux.
43:11J'ai même l'impression que ça peut être une période, pour lui, de réflexion
43:15pour, non pas se réorienter vers un autre métier, mais enrichir son potentiel et ses capacités.
43:20Et peut-être au niveau familial aussi, de repositionner des choses
43:24et de revoir ce qui a besoin d'être revu ou de modifier, de changer.
43:29Donc, je comprends en tant qu'un moment d'être inquiète, d'être soucieuse pour l'avenir de votre petite famille.
43:38Mais ne vous inquiétez pas, pour moi, il y a un rebondissement.
43:42Et à partir du mois de septembre-octobre, le climat sera beaucoup plus serein et beaucoup plus optimiste.
43:49D'accord ?
43:50Merci Alexandre.
43:52Bien.
43:53Mais peut-être pas bientôt.
43:54Mais certainement.
43:56N'hésitez pas à appeler l'antenne 0800 26 300 300 et puis nous tenir au courant aussi.
44:01Merci.
44:02Merci à vous.
44:04Allez, l'émission se termine et nous on se retrouve demain.
44:07On parlera du syndrome du survivant.
44:10Et je vous souhaite une bonne fin de journée.
44:13La parole est au Vrai Voix.
44:14Bonsoir Philippe David.
44:15Bonsoir Alexandre Delovane.
44:16Au menu des Vrai Voix à 17h30, Zelensky en Arabie Saoudite pour des négociations avec les Américains.
44:24En attendant, Moscou a été frappée par des drones ukrainiens ces dernières heures.
44:28On vous pose cette question.
44:29Zelensky en Arabie Saoudite, peut-on espérer une résolution du conflit ?
44:33Vous pensez qu'avec les Américains et les Ukrainiens, on va trouver une solution ou pas ?
44:38Venez nous donner votre avis au 0800 26 300 300.
44:41A 18h40, le coup de préjecteur des Vrai Voix.
44:44Fusillades à Albi, le narcotrafic gagne les vies des moyennes.
44:48On vous pose cette question.
44:49Fusillades, drogues, règlements de comptes, les mères des petites et moyennes villes,
44:52sont-ils suffisamment soutenus par l'État ?
44:54Vous pensez qu'ils sont suffisamment soutenus en termes de moyens de police, de justice ou pas ?
44:59Venez nous donner votre avis au 0800 26 300 300.
45:02Nos trois Vrais Voix du jour, Philippe Bilger, Sébastien Ménard et Bruno Pommard.
45:06Une bonne émission.
45:08Sud Radio, votre avis fait la différence.
45:11Merci à Sud Radio de pouvoir m'exprimer et pour la qualité de vos informations.
45:15Sud Radio, parlons vrai.