Dans son édito du 09/03/2025, Eliot Deval revient sur la marche du 8 mars.
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00:00Il aura fallu des dizaines de policiers à Paris pour protéger un collectif venu marcher en hommage aux femmes violées et tuées lors de l'attaque du 7 octobre.
00:08Il aura fallu les tenir à l'écart pendant plusieurs heures d'une place de la République, épicentre de l'islamo-wokisme,
00:14monopolisé samedi après-midi par ce féminisme hémiplégique, intolérant et radicalisé.
00:20Le député Jérôme Guedj en a fait les frais, a eu le malheur de ne pas emprunter le bon chemin pour retrouver ces femmes du collectif Nous Vivrons
00:27ou encore celles qui portent la voix des femmes en Iran, accueillies au son de Guedj, sale sioniste dégage.
00:33Je note ce matin le silence d'une grande partie de la gauche pour lui apporter son soutien et condamner ses attaques.
00:38Personne ne sera surpris de ce silence.
00:41L'autre cible pour la bobosphère était le collectif Nemesis, lui aussi placé sous haute surveillance par les forces de l'ordre.
00:47Une rafale pour Cordier, plantée Alice Cordier, la présidente du mouvement, taguée dans la rue.
00:53Les héros féminicides à la marche pour le droit des femmes, rien de plus normal dans ce monde qui ne tourne pas rond.
00:59Je comprends alors mieux pourquoi moins de 50 000 personnes ont marché hier dans la capitale.
01:04Le combat pour le droit des femmes est un combat existentiel, mais peu ont envie d'être associés à cette extrême gauche intolérante
01:11qui impose les bonnes et les mauvaises victimes, les bons et les mauvais combats, qui n'a plus aucune limite,
01:16mais jouit d'une complaisance médiatique encore très grande.
01:20Je parlais hier de ces tartuffes françaises, j'aurais souhaité que les faits ne me donnent pas raison ce matin.