TPMP : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.
Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00C8 est la première chaîne de la TNT, C8 est la cinquième chaîne de télévision en France,
00:03C8 réunit chaque jour 9 millions de téléspectateurs.
00:05En France, une démocratie occidentale avancée,
00:07dans une démocratie, il est illégal de fermer une chaîne de télévision.
00:11Alors ensuite il raconte plein de choses et il dit
00:14« Cyril Aounar rassemble tous les soirs près de 3 millions de téléspectateurs.
00:17Autant dire qu'il touche tous les publics, les jeunes comme les anciens,
00:19les ouvriers comme les cadres, les femmes comme les hommes.
00:21La télévision populaire n'est pas le collège de France.
00:23TPMP divertit, questionne, éclaire. »
00:25Merci Pascal.
00:26TPMP est un forum, une vitrine des années 2020.
00:29On y parle des sujets qui sont débattus dans les dîners en famille
00:31ou à la machine à café.
00:32On y parle comme on y cause, en direct et sans fil.
00:34Et tant pis, c'est le temps monde.
00:37Cyril a été sanctionné parce qu'il a répondu vertement
00:40à un de ces « traînes patins » que l'époque fabrique.
00:42Énergumène que chacun croise un jour dans sa vie.
00:45L'homme portait la bêtise en sautoir,
00:47il avançait l'arrogance en bandoulière, le genre morveux.
00:50Cyril a répondu avec l'énergie d'un cadet de Gascogne.
00:53L'arc-homme n'aime pas l'esprit Gascon.
00:56TPMP est devenu un phénomène de société.
00:59Comme « Droit de réponse » le fut dans les années 80
01:01ou comme « Ciel mon mardi » a marqué les années 90,
01:03il n'est pas si fréquent qu'une émission et son animateur
01:05installent dans les mémoires un souvenir qui ne s'effacera pas.
01:08Ils sont une petite douzaine, depuis 50 ans, à partager ce statut.
01:13Cyril est riche.
01:18Attention.
01:19Quand même, Cyril est célèbre.
01:20Cyril est photographié l'été au large de Saint-Tropez
01:23au bras d'une jolie femme.
01:24Ça lui fera plaisir.
01:28Oui, ça lui fera plaisir, c'était vous Isabelle.
01:31Merci.
01:32Cyril aime les belles automobiles.
01:33Non, pas toutes.
01:36Sa réussite est insupportable pour le journaliste de Libération
01:39qui a un master de je ne sais quoi,
01:40possède des œuvres complètes de Pierre Bourdieu dans sa bibliothèque
01:43et prend le métro quand on ne vient pas à vélo
01:44pour rentrer le soir après le travail dans une banlieue lointaine de la capitale.
01:47La jalousie et autres passions tristes
01:49inspirent les éditorialistes commentateurs intellectuels
01:51que la vie professionnelle condamne à la frustration.
01:54Franchement, il a parlé de jalousie, il n'a pas tort, bien sûr, bien entendu.
01:58Mathieu Vallée, tiens, qui vient de réagir.
02:00Cyril Hanouna sur C8 va avoir sa chaîne fermée.
02:02Energie loose, pareil.
02:03Par une agence qui n'est élue par personne,
02:05qui n'en rend au compte à personne,
02:06qui nous coûte 46 millions d'euros par an.
02:08Je trouve qu'il a bien résumé.
02:09Oui, c'est bien résumé.
02:11Je trouve qu'il a bien...
02:12Rachida Dati, elle a parlé dans le JDD.
02:14L'ARCOMM est une autorité indépendante
02:16qui a été créée par un vote du Parlement.
02:18Les missions et les procédures ont été fixées dans la loi.
02:20Bon, elle a été tiède, Rachida.
02:22On l'aime bien, mais elle ne s'est pas trop mouillée.
02:24On ne va pas se raconter d'histoire.
02:26Voilà, elle n'a pas...
02:27Voilà, ce n'est pas fou.
02:28Ce n'est pas la Rachida qu'on connaît.
02:29Non, non, ce n'est pas fou.
02:30Ce n'est pas fou.
02:31Voilà, ce n'est pas foufou.
02:33Je la préfère quand les pots gougent.
02:34Elle dit juste, j'ai également une pensée
02:35pour tous ces téléspectateurs
02:36qui considèrent qu'on les prive injustement d'un média,
02:37qui considèrent qu'on les prive injustement.
02:39Voilà, mais ce n'est pas foufou.
02:41Voilà, c'est très tiède.
02:43Voilà, sans rigoler, ce n'est pas ouf.
02:46Jordan Bardella, qui était au salon de l'agriculture,
02:48lui s'est exprimé.
02:49Par contre, il y a le génie Jean-Noël Barraud,
02:52ministre des Affaires étrangères.
02:54Lui, bon, dès qu'il parle, il le met toujours à côté.
02:57C'est un truc de fou, lui.
02:58Vraiment, c'est un attaquant.
02:59Tu as acheté 100 millions d'euros,
03:00il ne te met pas un but dans l'année.
03:02C'est un truc de fou.
03:03Lui, c'est un jour une connerie.
03:04D'ailleurs, ce week-end, il a dit une autre connerie.
03:07Vous avez vu qu'il y a eu un article dans le JDD,
03:09suite à ce qu'avait dit Sarah Knafo,
03:10sur tout l'argent qu'on donne ici et là,
03:12et qui coûte beaucoup d'argent aux Français.
03:14Et Jean-Noël Barraud, qu'est-ce qu'il a dit ?
03:16Il a dit, le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères,
03:19tandis que, comme personne ne nous parle,
03:21il ne fait pas grand-chose.
03:22Jean-Noël Barraud, il a dit,
03:24oui, pour savoir si on dépense trop d'argent,
03:26il faut qu'on fasse une commission,
03:28il faut qu'on paye une commission
03:29pour savoir si on dépense trop d'argent.
03:31Donc, il va encore dépenser de l'argent
03:32pour savoir si on dépense trop d'argent.
03:34Quand je vous dis qu'on a des génies,
03:35Jean-Noël Barraud, lui, il les met toutes dedans.
03:37Lui, c'est un truc de fou.
03:38C'est tout en lucard.
03:39C'est Mbappé en ce moment.
03:40C'est un truc de fou.
03:41Quand je vous dis, quand vous avez un génie pareil,
03:43et là, alors, il vient de dire une énorme connerie.
03:45L'Arcom a retiré la fréquence,
03:47mais pas fermé la chaîne.
03:48Donc, comme on vit avec la pub,
03:50on va aller faire l'émission chez ma mère.
03:52Non, mais lui, on va le voir.
03:55Si vous voulez, on peut le voir.
03:56Mais c'est imbitable.
03:57Mais ce n'est pas possible.
03:58Non, mais lui, ce n'est pas possible.
04:00– C'est insupportable.
04:02– Non, mais lui, il en tient une couche.
04:04Lui, c'est un génie.
04:05Lui, quand je vous dis qu'on a un génie,
04:06lui, on a un génie aux affaires étrangères.
04:08Vous imaginez quand il va parler aux autres pays,
04:09comment on nous prend pour des guignols.
04:11– Il est ministre de l'Europe.
04:12– Il est ministre de l'Europe.
04:13Ministre de l'Europe, c'est rien.
04:14Tu comptes les étoiles.
04:15– Je te le dis.
04:17– Non, mais regardez ce qu'il dit.
04:19C'est extraordinaire.
04:20Il dit, non, on va garder 400 mecs,
04:21mais on n'a plus de pub,
04:22on n'a plus de rentrée d'argent.
04:23Donc, comment on peut dire des conneries pareilles ?
04:26– Les conneries sur les mots, c'est insupportable.
04:28On n'a pas viré quelqu'un,
04:29on lui a juste retiré son salaire.
04:31– Oui, c'est une petite musique qu'on entend depuis ce week-end.
04:34Elle renvoie la responsabilité de l'arrêt de la chaîne au groupe.
04:37En fait, je vous étrangle, mais ce n'est pas de ma faute.
04:40C'est absolument aberrant.
04:42Quand il n'y a plus d'oxygène,
04:43quand il n'y a plus de publicité,
04:44quand il n'y a plus de revenus,
04:46tout, tout, tout, tout, tout, tout.
04:50Oui, oxygène ?
04:52Oui, merci.
04:55– Une chaîne, elle ne peut pas vivre.
04:57Une chaîne, elle ne peut pas vivre.
04:58Donc, c'est absurde.
04:59Après, ils ont beau renvoyer ça, mais ils essayent de se dépétrer.
05:03– Je vais vous dire, ou ils nous prennent pour des cons,
05:04mais ça, on le sait,
05:05ou ils t'en tiennent une couche.
05:07Moi, je pense maintenant que c'est les deux.
05:09Au début, je pensais que c'était qu'un truc.
05:10Maintenant, je peux vous dire que je pense que c'est les deux.
05:12Jean-Noël Barraud.
05:13Moi, je croyais qu'il vendait des lits bébés.
05:15Non, mais sans déconner.
05:17Jean-Noël Barraud, on dirait le nom d'un gars
05:19qui savait qu'il était en classe avec toi,
05:20mais tu ne sais pas grand-quel.
05:21Mais si, Jean-Noël Barraud, quatrième de B.
05:24– Sans déconner, les gars, je ne sais même pas à quoi il sert.
05:27Ah, il y a Philippe de Villiers.
05:29Merci, merci, franchement, merci, Philippe de Villiers,
05:31qui est un ami que j'aime et merci pour son hommage.
05:35C'est vrai qu'il a raison.
05:37C'est vrai que c'est Vincent Bolloré et moi qui veulent attaquer, les mecs.
05:39Il faut arrêter.
05:40– Et juste, moi, sur les réactions du gouvernement,
05:42je préfère encore les réactions de LFI qui, au moins, sont honnêtes.
05:45– Moi aussi.
05:46– Je te jure que pour une fois, on s'en réjouit.
05:48– Je te jure que c'est vrai.
05:49– Vraiment.
05:50– Je préfère les réactions de LFI, je te jure que c'est vrai.
05:52Parce que les autres qui nous disent, ils nous font des conneries.
05:55– C'est indépendant d'un ami.
05:57– Mais Cyril, vous savez pourquoi ?
05:58Parce que ce sont des éléments de langage qui se sont mis au point.
06:00– Bien sûr.
06:01– Parce qu'ils ont senti…
06:02– Oui, mais ils ne voient pas que les gens…
06:04– Ils sentent que les gens commencent…
06:06Enfin, ils n'avaient pas mesuré ce que ça allait créer comme émoi.
06:08Et maintenant, ils se disent, il ne faut pas que ce soit de notre faute.
06:11– Moi, je vais vous dire, vous savez, les Français,
06:13ils sont bien plus intelligents qu'ils ne le croient.
06:15Parce que je pense qu'ils nous prennent pour des cons.
06:17Ils nous prennent pour des cons.
06:18Mais vous verrez, les Français, ils retiennent tout.
06:20Et vous verrez ça, c'est quelque chose qu'ils retiendront.
06:22– Bien sûr.
06:23– C'est quelque chose qu'ils retiendront en 2027.
06:25– C'est pour ça que, cyniquement, le crime profite à qui en fait ?
06:27Certainement pas à eux, c'est catastrophique en fait.
06:29– Bien sûr, catastrophique.
06:30Si, parce que je pense qu'ils se disent, pour 2027, on veut quand même tenir les choses.
06:33Regardez ce que dit Philippe de Villiers d'ailleurs.
06:35Parce qu'il dit que ce qui est arrivé à C8 pourrait arriver à C12.
06:37Ah si, si, mais c'est ce qu'ils se disent.
06:38Vous savez, ce n'est pas des génies.
06:39Si c'était des génies, la France, on ne serait pas dans cet état.
06:42On voit bien que quand même, c'est des bananes flambées.
06:44– Moi, ce que j'ai entendu dire le plus samedi par les gens,
06:47c'est qu'ils s'attaquent, mais tu te demandes d'où ils le sortent, les gens.
06:50Mais n'empêche, ils pensent qu'on s'est attaqué à C8
06:52parce qu'ils n'osaient pas s'attaquer directement, frontalement à Cnews.
06:55C'est régulièrement ce que j'ai entendu dire durant ce week-end.
06:59– Merci d'être là.
07:01– Je vous en prie, Jean.
07:04– Merci d'être là.
07:05– Merci.
07:06– Oui.
07:07– Non mais ce n'est pas innocent que le président de la République,
07:09depuis le salon de l'agriculture, Hirashida Dati,
07:11réponde à ça avec des mots millémaîtrés.
07:13– Avec les mots, exactement.
07:14Mais des mots qu'on ne comprend pas.
07:15Ils n'ont pas compris que les Français ne comprennent pas ce qu'ils disent.
07:17Je ne sais pas pourquoi ils n'ont pas dit.
07:18La seule chose que j'ai comprise, c'est qu'ils tournaient autour du pot.
07:21– Voilà, ils tentent de circonscrire l'incendie.
07:23C'est-à-dire que ça monte en affaire d'État.
07:25– Circonscrire l'incendie ?
07:27– Ils veulent un rabat ?
07:29En fait, ils voient que ça devient un scandale d'État,
07:31que les gens commencent à se mobiliser,
07:33et ils tentent de dire, par tous les mots qu'ils trouvent,
07:35qui sont très tièdes et très compliqués,
07:37ce n'est pas une décision politique, ce n'est pas une décision politique.
07:40Et plus ils disent ça, plus on comprend que c'est une décision politique.
07:42Donc ça se retourne contre eux, voilà.
07:44Et que le président de la République n'ait pas le courage de dire que c'est politique,
07:49moi ça me choque, parce que c'est politique.
07:51– C'est politique.
07:52– Oui, vous l'avez démontré, c'est politique.
07:54– Ils n'avaient pas mesuré l'ampleur.
07:56– Pardon ?
07:57– Ils n'avaient pas mesuré l'ampleur.
07:58– Alors, il y a Quinzéro qui a réagi également.
08:01Il était chez notre ami, qui fait des…
08:06regardez, qui est sur une chaîne YouTube, qui est cartonne.
08:09Il a dit qu'il était un peu le père de Yann Barthez et de moi, regardez.
08:15– Ce qui est amusant, c'est que j'ai eu deux enfants.
08:17Yann Barthez, d'un côté.
08:19Si tu regardes bien ce qu'il fait, c'est un succès d'année du vrai journal.
08:22Il y a le côté citoyen, défense des minorités.
08:26Il y a également ce côté un peu gauche caviar.
08:28Et en revanche, il manque tout ce qu'il y avait chez mon deuxième fils,
08:32naturel et indigne, Cyril Hanouna.
08:35C'est-à-dire le côté provocateur, punk, un peu anarchiste de droite,
08:40fouteur de merde en tout cas.
08:41Je me reconnais dans ces deux parties-là.
08:43En fait, c'est comme un microbe qui donne deux microbes,
08:46c'est eux les deux microbes.
08:48Parce que là, le pouvoir, le pouvoir de droit divin
08:51a décidé de la mort cérébrale de l'hémisphère droit.
08:56– Voilà, c'était chez Éric Moriot.
08:58C'est drôle qu'il ait dit ça.
09:00Alors, il y a Charlotte Dornéas qui était sur Europe 1.
09:03Vous avez vu, Jules Torres nous avait dit qu'il avait assisté à un déjeuner
09:06où des mecs de l'ARCOM disaient, on nous a demandé de virer Hanouna.
09:11Et elle était à ce déjeuner.
09:14Donc elle a entendu également Charlotte Dornéas.
09:17– Oui, il n'y a vraiment que la France
09:19où la preuve comme ça que des gens de l'ARCOM,
09:22quel que soit leur niveau au sein de l'ARCOM, disent,
09:25on nous a demandé de se payer Cyril Hanouna, on l'a fait.
09:28Il n'y a que la France où il n'y a aucune enquête qui est déclenchée,
09:31aucune suspension de la décision, aucun référé.
09:34C'est incroyable, vous imaginez ça aux États-Unis
09:37ou dans les démocraties scandinaves,
09:38mais la décision est retoquée immédiatement,
09:40on repart à zéro, il y a une enquête.
09:42Et là, rien.
09:43Donc en fait, l'ARCOM est totalement puissante en toute impunité.
09:46– Ils ont juste fait un communiqué en démontant,
09:48en disant, on n'habite plus dans le 15e, on habite dans le 12e.
09:51– Maintenant, tu es dans le 12e, mais tu n'as plus le droit de déjeuner dans le 15e.
09:54Les mecs qui travaillent dans le 12e, ils déjeunent tous dans le 12e.
09:57Il faut la faire cette réponse.
09:59Ils ont dit, ouais, mais maintenant, on a déménagé,
10:00on ne va plus déjeuner dans le 15e, on est dans le 12e maintenant.
10:03Donc les gars, franchement, on ne va pas déjeuner dans le 15e, c'est une trottinette.
10:07– Non, et puis en plus, ils répondent à côté,
10:09parce qu'ils disent, aucun membre du collège, ça veut dire aucun sage.
10:12– À aucun moment, on a dit que c'étaient les membres du collège.
10:14On a dit que c'étaient des cadres, des gens qui travaillaient à l'arcone.
10:17– Bien sûr, ils se foutent de la gueule.
10:19Alors, on va voir les images.
10:20Sachez qu'on va voir les images des caméras.
10:22– Ah !
10:23– Ouais, normalement, on les aura peut-être demain.
10:25Eh oui, les chiens, eh oui, ça va secouer.
10:28Tiens, vous avez vu ce qu'a dit Jean-Noël Barreau ?
10:30En fait, il y a quelqu'un qui me le fait remarquer, une amie, une animatrice,
10:33qu'on adore tous ici.
10:35Je ne peux pas dire son nom, parce que la peau…
10:37Empêcher l'accès au domaine public herdien de l'État.
10:40Dixie Jean-Noël Barreau, elle a raison.
10:42Ça veut dire que nous avons une télé d'État.
10:43Non, mais c'est vrai qu'il a dit ça.
10:44En fait, ça appartient à l'État.
10:45Même les chaînes privées, ça appartient à l'État.
10:48Les mecs, je crois qu'ils sont vraiment devenus fous.
10:51– Ils s'enterrent, parce que si ça appartient à l'État,
10:53donc la décision est politique, c'est QFD, quoi.
10:55C'est absurde, c'est même pas intelligent.
10:57Il se tire une balle dans le pied, lui.
10:59– Calme-toi, mon gilet, calme-toi.
11:02Calme-toi, calme-toi, t'es en train de devenir fou.
11:04– Je pourrais voter pour vous, Gilles.
11:06– Ça y est, il est en train.