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Une vidéo atypique évoque avec poésie la fascination pour les intelligences artificielles. Entre le cauchemar et le reve.
Transcription
00:00Les larmes de lumière roncent, les gouttes rosent, les sacrons roncent, les rires rosent,
00:24les balais roses débordent et tous deviennent ronds, l'hexagone rose, la grimace rose, le fantôme rose, les flinges rondes, les linges rondes, le fleurusse rose, la bourron.
00:43Au balcon du théâtre, la biche se fait occulte, avec son oeuf de biche, la biche, la biche, la biche.
00:57L'âme des actrices vacrices fascine à feu virtuel, la machine couronne, la machine à poème nous dit qu'elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime, elle nous aime.
01:21La machine, la machine, une merde elle est calée, le velours, le velours comme sur du velours.
01:39Au ralbi d'un bleu clair, et par l'histoire bleu clair, se gérait des mensonges. Au ralbi d'un bleu clair, et par l'histoire bleu clair, se gérait des mensonges.
02:09Se gérait des mensonges, se gérait des mensonges, se gérait des mensonges.
02:19Les larmes de lumière rose, les gouttes roses, les sacs roses, les grilles roses, les pâles roses, débordent et tout devient rose.
02:33La vie absente, la vie transparente, la vie absente, la vie transparente, transparente, transparente.