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00:00contre ce que nous n'excluons pas, mais dans un cadre planifié avec nos alliés,
00:06c'est de pouvoir avoir des forces qui, une fois la paix négociée,
00:10pourraient contribuer à garantir la sécurité de l'Ukraine.
00:14Et ce sont des forces qui seraient là, comme on a pu le connaître par le passé,
00:17dans d'autres territoires après des guerres, qui sont là pour signer une présence,
00:21et en quelque sorte dire des puissances qui sont membres de l'OTAN,
00:26sont là et garantissent la sécurité dans un territoire qui n'est plus une zone de conflit.
00:30Et donc, ce n'est pas nous mettre à risque, mais c'est signer une solidarité.
00:34C'est encore trop tôt ici pour donner des détails.
00:36On en a beaucoup parlé avec les Britanniques, avec d'autres pays.
00:40C'est une partie des discussions qu'on a entre Européens,
00:43parce qu'évidemment, pour garantir la sécurité ensuite des Ukrainiens,
00:47il faudra que l'ensemble des alliés soient là pour éviter, comme je vous l'ai dit,
00:50que la Russie, sinon, ne recommence, parce qu'elle recommencera.
00:53C'est ce qu'elle a toujours fait ces dernières années.
00:55Donc, pas de chèque en blanc.
00:56Mais il y a plusieurs modalités, on pourra y revenir s'il y a des questions là-dessus.
01:00Mais on n'est pas aujourd'hui, en tout cas dans la situation,
01:04je n'ai pas décidé demain d'envoyer des troupes en Ukraine, non.
01:07Et ce qu'on envisage plutôt, c'est d'envoyer des forces
01:10pour garantir la paix une fois qu'elle sera négociée et signée.