Walter Bignon, adjoint et marathonien : Le défi sportif d’un élu au service de sa ville
Marseillan, le 15 février 2024
A 36 ans, l’adjoint Marseillanais Walter Bignon est un homme de défi. Ce responsable développement d’un grand groupe d’énergie renouvelable et de services publics a choisi de résider dans la ville qui l’a vu grandir et pour laquelle il se consacre avec passion au conseil citoyen, à écologie et à la jeunesse. L’homme a du tempérament et ne se contente pas de sièger dans les réunions municipales. Le 16 mars prochain, il enfilera ses baskets pour relever un défi de taille : Le Marathon de Barcelone. Et pas n'importe quel marathon : Son tout premier ! Entre les réunions tardives, les déplacements professionnels et les aléas météorologiques, Walter s'est lancé dans une aventure sportive qui promet d'être aussi épique qu'épuisante.
Un défi lancé par des amis… un peu trop sportifs
Tout a commencé il y a six mois, lorsque des amis, visiblement plus adeptes des défis sportifs que de la sieste, ont proposé à Walter de les rejoindre pour le marathon de Barcelone. "Ils m'ont dit : 'Tu viens avec nous ?' Et moi, sans trop réfléchir, j'ai dit oui", raconte-t-il avec un sourire. Pourtant, Walter n'est pas exactement ce qu'on pourrait appeler un athlète de haut niveau. "Je ne suis pas un grand sportif à la base, mais j'aime bouger, faire des activités", avoue-t-il modestement.
Mais voilà, courir 42,195 kilomètres, ce n'est pas exactement une "activité" comme les autres. Alors, depuis décembre, Walter s'est mis sérieusement à l'entraînement. Deux à trois sorties par semaine, parfois sous la pluie, parfois dans le froid, et même de nuit avec une frontale.
Entre réunions et running : le quotidien d'un adjoint marathonien
Entre ses responsabilités professionnelles au sein de son entreprise et son rôle d'adjoint au maire, Walter jongle avec un emploi du temps chargé. "Quand on a beaucoup de déplacements ou de réunions tardives, c'est parfois difficile de caler des séances d'entraînement", reconnaît-il. Mais la motivation est là, et Walter a trouvé le temps de s'entraîner sur les bords de l'étang de Thau, à Marseillan, où il profite des paysages magnifiques pour se donner du courage. "Courir ici, c'est un vrai privilège. On a un cadre incroyable pour s'entraîner", confie-t-il.
Quant à l'ambition, Walter reste réaliste : "L'objectif principal, c'est de finir sans blessure et de profiter de l'ambiance". Mais il ne cache pas son envie de tenter un chrono honorable. "Pourquoi pas viser 3h30 ou 3h40 ? Ce serait un beau résultat pour un premier marathon", avoue-t-il. Et si jamais il ne parvient pas à atteindre ce temps, Walter a déjà une solution de secours : "La défaite, ce serait juste de finir. La grosse tuile : Ne pas finir du tout ! " Ambitieux pour un premier marathon, mais Walter a décidé de viser haut !
Un marathon pour promouvoir le sport et Marseillan
Au-delà de la performance sportive, Walter voit dans ce marathon une occasion de promo
Marseillan, le 15 février 2024
A 36 ans, l’adjoint Marseillanais Walter Bignon est un homme de défi. Ce responsable développement d’un grand groupe d’énergie renouvelable et de services publics a choisi de résider dans la ville qui l’a vu grandir et pour laquelle il se consacre avec passion au conseil citoyen, à écologie et à la jeunesse. L’homme a du tempérament et ne se contente pas de sièger dans les réunions municipales. Le 16 mars prochain, il enfilera ses baskets pour relever un défi de taille : Le Marathon de Barcelone. Et pas n'importe quel marathon : Son tout premier ! Entre les réunions tardives, les déplacements professionnels et les aléas météorologiques, Walter s'est lancé dans une aventure sportive qui promet d'être aussi épique qu'épuisante.
Un défi lancé par des amis… un peu trop sportifs
Tout a commencé il y a six mois, lorsque des amis, visiblement plus adeptes des défis sportifs que de la sieste, ont proposé à Walter de les rejoindre pour le marathon de Barcelone. "Ils m'ont dit : 'Tu viens avec nous ?' Et moi, sans trop réfléchir, j'ai dit oui", raconte-t-il avec un sourire. Pourtant, Walter n'est pas exactement ce qu'on pourrait appeler un athlète de haut niveau. "Je ne suis pas un grand sportif à la base, mais j'aime bouger, faire des activités", avoue-t-il modestement.
Mais voilà, courir 42,195 kilomètres, ce n'est pas exactement une "activité" comme les autres. Alors, depuis décembre, Walter s'est mis sérieusement à l'entraînement. Deux à trois sorties par semaine, parfois sous la pluie, parfois dans le froid, et même de nuit avec une frontale.
Entre réunions et running : le quotidien d'un adjoint marathonien
Entre ses responsabilités professionnelles au sein de son entreprise et son rôle d'adjoint au maire, Walter jongle avec un emploi du temps chargé. "Quand on a beaucoup de déplacements ou de réunions tardives, c'est parfois difficile de caler des séances d'entraînement", reconnaît-il. Mais la motivation est là, et Walter a trouvé le temps de s'entraîner sur les bords de l'étang de Thau, à Marseillan, où il profite des paysages magnifiques pour se donner du courage. "Courir ici, c'est un vrai privilège. On a un cadre incroyable pour s'entraîner", confie-t-il.
Quant à l'ambition, Walter reste réaliste : "L'objectif principal, c'est de finir sans blessure et de profiter de l'ambiance". Mais il ne cache pas son envie de tenter un chrono honorable. "Pourquoi pas viser 3h30 ou 3h40 ? Ce serait un beau résultat pour un premier marathon", avoue-t-il. Et si jamais il ne parvient pas à atteindre ce temps, Walter a déjà une solution de secours : "La défaite, ce serait juste de finir. La grosse tuile : Ne pas finir du tout ! " Ambitieux pour un premier marathon, mais Walter a décidé de viser haut !
Un marathon pour promouvoir le sport et Marseillan
Au-delà de la performance sportive, Walter voit dans ce marathon une occasion de promo
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