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Castaignède GLC https://www.youtube.com/watch?v=YDPUtPKqQNs
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Pour Carole Pateman, pourquoi la démocratie participative doit se jouer à échelle locale ?
Participer à échelle locale est facile, on voit facilement les enjeux et les conséquences de ses décisions.
Les citoyens y acquièrent un goût pour la participation, qui pourra leur permettre de passer à une échelle plus importante.
Combien coûte la voiture à une personne qui n'a pas de voiture en Europe?
1600€ par an.
Pourquoi les constructeurs préfèrent-ils vendre de gros véhicules ?
La marge est plus importante.
#jancovici #écologie #SUV #votation #viktorovitch #castaignède #greenletterclub #rtl #universitépopulaire #démocratie #RIC #ilnousfautunplan #janco #interview #conférence #extrait #ethiqueettac
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Pour Carole Pateman, pourquoi la démocratie participative doit se jouer à échelle locale ?
Participer à échelle locale est facile, on voit facilement les enjeux et les conséquences de ses décisions.
Les citoyens y acquièrent un goût pour la participation, qui pourra leur permettre de passer à une échelle plus importante.
Combien coûte la voiture à une personne qui n'a pas de voiture en Europe?
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Pourquoi les constructeurs préfèrent-ils vendre de gros véhicules ?
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Catégorie
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ÉducationTranscription
00:00 (musique)
00:07 Cette votation citoyenne qui a été organisée hier à Paris
00:11 et qui vise à faire payer plus cher le stationnement des SUV, trois fois plus cher,
00:15 est-ce que c'est vraiment ça qui va sauver la planète ?
00:17 Qui va sauver la planète, sûrement pas.
00:19 Mais ça va dans le sens d'une... comment dire... d'une pression mise
00:24 sur des choses qu'il faudrait effectivement modifier.
00:27 Le SUV, je rappelle que ça veut dire "Sport Utility Vehicle",
00:30 alors le sport me paraît un peu discutable dans cette histoire.
00:33 Et en fait, comme il n'y a pas de catégorie précise définissant les SUV,
00:37 ce que la mairie de Paris a fait, c'est de pénaliser le stationnement
00:40 des véhicules qui dépassent un certain poids.
00:42 Alors pourquoi est-ce que quand on dépasse un certain poids,
00:44 eh bien on a une pression sur l'environnement supérieur ?
00:47 Parce que d'abord, ça demande plus de matériaux pour être construit,
00:49 ça veut dire plus d'acier, plus de verre, plus de plastique,
00:51 plus de chimie organique, etc.
00:53 Et par ailleurs, certains et certaines qui nous écoutent
00:56 se rappelleront peut-être de leur vieille formule de physique
00:58 disant que l'énergie cinétique est proportionnelle à la masse déplacée.
01:01 Et donc, plus un véhicule est lourd, et plus il demande de carburant
01:04 pour être déplacé, donc plus il consomme, donc plus il émette CO2.
01:07 - Sauf que là, à la mesure, elle va concerner les véhicules
01:10 de plus d'une tonne 6, y compris les voitures hybrides,
01:12 de plus de 2 tonnes pour les voitures électriques.
01:16 Ça fait des années qu'on dit aux gens "il faut passer à la voiture électrique",
01:21 là, finalement, ils vont être pénalisés.
01:22 - Alors, quand vous écoutez les gens qui sont dans la mouvance environnementale,
01:26 on va dire, je crois pas qu'ils aient jamais dit
01:28 "acheter une grosse voiture électrique".
01:30 C'est pas partie des choses qu'ils ont dites.
01:32 Ils ont dit "acheter une petite voiture électrique".
01:34 Donc, qu'on pénalise les grosses voitures électriques,
01:36 moi, ça me choque pas du tout.
01:38 Il faut voir que, par exemple, on parlait de notre ami Tesla juste avant,
01:41 la Tesla Model S, c'est une voiture qui possède une batterie de 100 kWh.
01:45 Avec une batterie de 100 kWh, vous faites 3 petites voitures pour gilets jaunes.
01:49 Donc, il faut... si on propose... enfin, comment dire...
01:52 si on favorise les grosses voitures électriques,
01:54 qui sont celles, en général, que les constructeurs aiment pousser
01:56 parce que c'est là-dessus qu'ils font leur marge.
01:57 C'est pas juste une raison économique.
02:00 Eh bien, du coup, avec la même quantité de batterie qu'on produit,
02:04 on peut faire moins de voitures.
02:05 - Mais sauf que ces SUV, c'est l'ancien monospace, en fait.
02:08 Ce sont des voitures familiales pour beaucoup.
02:10 Je pense à des Franciliens qui habitent hors de Paris, qui ont des enfants...
02:13 - A chaque fois que j'explique de pénaliser les grosses voitures,
02:16 on me jette à la figure les familles avec 25 enfants et une mère handicapée...
02:19 - Non, mais pas 25, mais même vous en avez deux, Jean-Marc.
02:21 - Mais, Attendez, deux enfants en bas âge dans le métro, aujourd'hui, à Paris, c'est pas facile.
02:24 - Bah, écoutez... - Vous l'avez déjà fait ?
02:26 - Écoutez, le changement sans changement, ça va être compliqué.
02:28 - Donc, il faut assumer, en fait...
02:30 - Oui, il y a un métro, vous mettez les enfants dans le métro,
02:32 dans le ramassage scolaire ou vous les emmenez à pied, enfin, j'en sais rien.
02:34 Mais, de toute façon, si on n'arrive pas à déplacer des enfants dans une ville
02:38 dans laquelle il y a des bus, des vélos et des métros,
02:40 je ne vois pas comment on va faire ailleurs.
02:41 Et, de toute façon, il va falloir faire ailleurs.
02:43 [musique]
02:50 Pour Carole Patman, la démocratie participative
02:54 est centrée sur l'objectif d'empowerment des citoyens.
02:58 Cette notion d'empowerment, elle est très compliquée à traduire en français,
03:02 on n'a pas un mot qui nous permet de la résumer.
03:04 L'idée, c'est de construire une citoyenneté critique, active, éclairée.
03:10 C'est de travailler pour faire en sorte que les citoyens soient maîtres d'eux-mêmes,
03:15 politisés, aptes à participer pleinement à la vie politique de leur nation.
03:21 Pour Carole Patman, la participation politique a un intérêt en elle-même.
03:26 Elle se justifie pour elle-même et par elle-même,
03:28 car elle a une dimension émancipatrice.
03:31 Elle travaille à l'émancipation des citoyens.
03:34 En ce sens, la démocratie participative, au sens de Patman,
03:38 a des applications et des traductions très larges,
03:41 qui ne passent pas nécessairement par des processus de décision.
03:44 On peut par exemple tout à fait soutenir qu'une université populaire,
03:48 de ce point de vue-là, s'inscrit tout à fait dans l'objectif,
03:51 le projet de démocratie participative.
03:54 Mais ce projet serait bien limité
03:59 s'il se réduisait simplement à l'éducation du peuple, des citoyens.
04:04 Il y a une seconde dimension essentielle,
04:07 qui est la participation à la prise de décision démocratique.
04:11 Pour Carole Patman, l'éducation des citoyens,
04:15 l'éducation au sens large, au sens fort,
04:17 la construction d'une citoyenneté critique,
04:19 l'éducation des citoyens ne se fait pas en théorie.
04:22 Elle se fait en actes.
04:24 Les citoyens se forment à la vie publique en participant à la vie publique.
04:28 C'est en participant, en prenant les décisions,
04:33 que les citoyens acquièrent des compétences,
04:36 des compétences démocratiques,
04:37 et qu'ils deviennent de plus en plus capables de participer
04:39 efficacement, activement, de manière éclairée.
04:42 Alors bien sûr, on ne peut pas demander,
04:45 pour Carole Patman en tout cas,
04:46 on ne peut pas demander à n'importe quel citoyen
04:48 de venir prendre une question extrêmement complexe
04:50 sur le retraitement des eaux usées
04:52 ou un point de droit particulièrement aiguisé.
04:56 C'est pourquoi pour Patman, la participation doit se faire avant tout
04:59 à l'échelle locale et à l'échelle professionnelle.
05:02 Pour Carole Patman, la démocratie participative,
05:05 ce n'est pas qu'un projet politique.
05:06 C'est un projet plutôt politique au sens large
05:08 qui pénètre dans la sphère professionnelle.
05:11 Et Carole Patman milite,
05:13 on est dans le contexte intellectuel des années 70,
05:15 miline pour des usines autogérées, collectivisées,
05:18 dans lesquelles les citoyens, les ouvriers,
05:22 prendraient les décisions collectivement.
05:24 Ce faisant, pour Patman,
05:26 on active le cercle vertueux de la participation.
05:29 Participer à l'échelle locale, c'est facile,
05:31 les décisions concernent tout le monde.
05:33 Ce faisant, les citoyens acquièrent des compétences
05:35 et acquièrent un goût pour la participation
05:37 qui peuvent leur permettre peut-être,
05:39 dans un deuxième temps,
05:40 de participer à une échelle un peu plus large,
05:42 régionale.
05:45 Et puis, un jour, pourquoi pas,
05:47 si la vertu de l'éducation et de la participation
05:49 s'infiltrent par capillarité dans toute la société,
05:51 alors, aller vers une participation à l'échelle nationale.
05:55 Mais c'est dans un temps lointain.
05:58 En ce sens, le projet de Patman
06:01 se pense dans la perspective d'une transformation de la société.
06:06 Dans un premier temps,
06:07 la démocratie participative est tout à fait cohérente,
06:09 elle peut coexister avec la représentation politique.
06:12 Mais, à terme, l'objectif,
06:15 c'est bien, d'une part,
06:17 la redistribution du pouvoir au sein de la société,
06:19 et d'autre part,
06:21 la redistribution des richesses entre les citoyens.
06:24 Voilà ce projet tel qu'il est pensé,
06:31 ce projet participatif.
06:34 [Musique]
06:40 Ce dont on parle assez peu, c'est du coût de la voiture
06:44 et des transports motorisés individuels
06:46 pour la société en général.
06:48 On a l'impression, parce que l'essence est très taxée,
06:51 que ça couvre largement
06:53 tous les coûts de la voiture, d'infrastructure.
06:56 Mais en fait, on ne se rend pas compte,
06:58 mais les maladies, l'obésité,
07:01 les maladies cardiovasculaires,
07:03 les accidents, le bruit,
07:06 tout ça coûte des centaines de milliards par an à la société.
07:10 En fait, la conclusion à laquelle je voulais arriver,
07:13 c'est que la voiture individuelle coûte extrêmement cher à la société.
07:16 C'est vrai que, pour dire simplement,
07:19 on n'arrête pas de parler, par exemple,
07:21 du déficit chronique de la SNCF,
07:23 mais il faut bien voir que si
07:25 la charge des infrastructures
07:30 on la mettait sur le dos des constructeurs automobiles,
07:36 en gros, ils seraient tous faillites.
07:38 Du coup, aujourd'hui, quand on achète un véhicule,
07:43 on ne paie que la construction d'un véhicule.
07:46 Un petit peu comme si vous achetiez, par exemple, une maison,
07:49 et puis c'est la collectivité qui achète le terrain,
07:52 qui fait construire la dalle du rez-de-chaussée en béton, etc.
07:56 Et puis vous, vous achetez juste une maison préfabriquée,
07:59 qu'on va poser dessus.
08:00 Aujourd'hui, quand vous achetez une voiture, c'est ça qui se passe.
08:02 Vous ne payez que le produit industriel qui va se poser sur la route.
08:06 La route, elle est payée par la collectivité.
08:08 C'est l'ensemble des contribuables qui va payer la route.
08:11 Et donc, déjà, le coût marginal d'achat est distordu.
08:15 Cette question que vous avez dite, là,
08:18 qui était de se dire, comme j'ai dit dans l'entre-deux-guerres, par exemple,
08:22 que l'essence était taxée à plus de 80%,
08:24 et donc, déjà, les associations d'automobilistes, à l'époque,
08:27 dénonçaient en disant que l'essence était trop chère.
08:30 Et puis, même la voiture, il y avait une myriade de taxes.
08:33 Aujourd'hui, on n'a plus qu'une taxe sur l'essence,
08:35 on n'a même plus la vignette, etc.
08:37 Mais à l'époque, il y avait vraiment, je ne sais plus,
08:38 mais une dizaine de taxes différentes.
08:40 Donc, les associations d'automobilistes pestaient dans l'entre-deux-guerres
08:43 en disant, non, mais l'automobiliste, c'est la vache à lait de l'État et du contribuable.
08:48 Et à l'époque, on a du coup commencé à faire des calculs,
08:51 par exemple, notamment Alfred Sauvi,
08:54 pour voir qu'est-ce qui se passe entre les recettes fiscales de l'État
08:58 de toutes ces taxes liées au transport,
09:00 et les dépenses de l'État et des collectivités locales sur les infrastructures.
09:04 Donc, à l'époque, le calcul n'a été fait qu'avec les infrastructures à étendre, à entretenir.
09:09 Et à l'époque, dans les années 30, on se rend compte,
09:11 malgré toutes les taxes perçues, qui étaient très nombreuses, très importantes,
09:17 ça ne couvrait pas les dépenses en infrastructures.
09:19 C'est-à-dire que les associations d'automobilistes qui se plaignaient
09:22 que l'automobiliste était la vache à lait du contribuable,
09:24 mais l'arrivée du calcul, c'était que c'était en fait l'inverse.
09:27 C'est-à-dire que, en fait, c'est le contribuable qui finançait l'automobiliste
09:31 dans un équilibre financier qui ne prenait en compte que les infrastructures.
09:34 Dans les années 60, il y a eu de nouveaux débats,
09:36 parce que l'essence était toujours très taxée,
09:38 des calculs ont été refaits aboutissant exactement à la même conclusion,
09:41 c'est-à-dire les taxes toujours très importantes sur les carburants
09:44 ne couvraient pas, ainsi que la vignette,
09:47 ne couvraient pas les dépenses d'infrastructures.
09:49 Aujourd'hui, la situation serait clairement encore pire.
09:52 Alors certes, par rapport à l'époque, on est un peu moins dans l'extension,
09:55 je parle de la France, on est un peu moins dans l'extension des infrastructures,
09:58 par contre on a encore toujours beaucoup d'entretiens,
10:00 mais comme vous l'avez souvenir, il y a tout à fait d'autres dépenses aujourd'hui
10:03 qui ne sont pas couvertes du point de vue marginal
10:05 par celui qui prend la décision d'acheter un véhicule et de rouler avec.
10:09 Et en fait, effectivement, vous avez dit, toutes les histoires de la pollution,
10:12 toutes les maladies, la sécurité sociale qui finance les gens
10:15 qui sont malades de la pollution de l'air,
10:17 ce n'est pas du tout les automobiles qui les financent,
10:20 c'est la collectivité.
10:22 Sur les accidents, même s'il y a les assurances payées par le conducteur,
10:25 elles ne couvrent pas la totalité des dépenses des accidents.
10:27 Le changement climatique, pareil, lié au CO2,
10:30 vous parlez, après, qu'est-ce qu'on va provisionner ?
10:33 Il faudrait provisionner vis-à-vis de la future adaptation
10:36 au changement climatique, cette provision c'est le contribuable.
10:39 Donc aujourd'hui, il est très clair que si on voulait équilibrer les comptes,
10:43 mon sentiment, c'est que grosso modo,
10:45 le prix d'achat des véhicules, il faudrait le doubler, tranquillement,
10:48 pour au moins, au moins, et puis l'essence,
10:51 c'est au moins, clairement, à 3 euros tranquille qu'il faudrait la mettre.
10:55 C'est tranquillement à 3 euros le litre.
10:57 Donc vous imaginez l'explosion derrière.
11:00 Mais par contre, automatiquement, l'État aurait beaucoup moins de dépenses
11:03 puisque les recettes augmenteraient.
11:05 Et il faudrait voir comment ensuite redispatcher
11:08 vers l'ensemble de la population,
11:10 pour plutôt avoir une logique de désensibilisation,
11:14 des usages addictifs des transports motorisés.
11:17 Pas tous, il ne s'agit pas de...
11:19 Je ne suis pas en train de dire qu'il faut supprimer, etc.
11:22 Mais avoir la partie bougeotte qu'on pourrait parler
11:25 d'hypermobilité, de surdéplacement.
11:28 Il ne s'agit pas d'avoir plus d'avions, d'avoir plus de voitures.
11:31 Ce n'est pas du tout ce que je suis en train de revenir au cheval.
11:33 J'ai fait des petits calculs quanta, je vous montre que si on revenait au cheval,
11:36 même en effondrant les puissances, l'écurie à gérer, c'est complètement ingérable.
11:39 Donc voilà, mais d'avoir, d'essayer de sortir du caractère addictif
11:43 des déplacements.
11:45 Oui, alors là, c'est une étude qui date d'enfin 2012, je crois,
11:49 de l'université de Dresde, qui avait fait le calcul sur l'ensemble de l'Europe,
11:52 qui disait que ça coûtait 1 600 euros par an, par personne,
11:56 de posséder une voiture, y compris aux gens qui n'en possèdent pas.
12:00 Et ça, du coup...
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