• il y a 2 ans
Transcription
00:00 Je suis en contact avec vous, j'ai vu des photos de la police de Qaïsar.
00:06 D'accord.
00:07 L'homme que vous avez envoyé me voit un peu plus haut que moi.
00:14 Je suis César.
00:17 Je travaillais dans le champ de la police en tant que photographe.
00:24 Toutes les photos que nous avons sorties de l'enquête sur le Qaïsar,
00:30 sont de personnes qui ont été tuées dans ces endroits qui sont liés au système syrien.
00:35 Ils m'ont mis ici.
00:37 Ils ont tué plusieurs personnes.
00:40 Qui est en charge ? Qui donne les ordres ?
00:43 Nous alléchons le terrorisme du pays.
00:47 La résolution de l'élection n'a pas été adoptée
00:51 en raison du vote négatif des membres permanents du conseil.
00:55 Libérez le prisonnier !
00:57 Non, c'est une bête !
00:59 Libérez le prisonnier !
01:00 Non, c'est une bête !
01:01 Où sont-ils ? Ils ont disparu ?
01:03 Soit ils sont morts sur la torture, on veut le savoir.
01:05 On veut savoir s'ils sont en vie.
01:06 C'est quand même mon frère.
01:07 Demain, par représailles, s'ils ont été exécutés, je me sentirai responsable.
01:12 Il y a beaucoup de pression des Syriens, parce qu'ils veulent le cas de Yad.
01:17 La preuve dans ce cas est bien plus forte que celle que nous avons contre les nazis à Nuremberg.
01:23 C'est pourquoi ces données de César sont si importantes pour nous.
01:26 Parce que nous pouvons les faire la base des procédures contre les personnes.
01:31 Ce n'est pas une preuve de la dégoutte du peuple syrien,
01:33 mais une preuve de la dégoutte de tous les membres de la famille d'Aqqiq,
01:36 qui ont un avenir de justice dans le monde.
01:38 As-tu vu les photos ?
01:43 C'est juste de la propagande, des nouvelles fausses.
01:45 Ils veulent démonéter le gouvernement syrien.
01:47 en gouvernement.
01:49 Merci.