L'impatience, accompagnante la rupture de l'anneau de protection vitale et celui de protection de l’âme presque provoque l'idiotie complète, possédante mon caractère, surtout dans des tels moments décisifs, résultant en ce qui est au point d'une "course folle" à travers la salle remplie d'ennemis mais la substance de raisonnement (toujours diminuant aux profondeurs de ma conscience) réussit à me guider le chemin vers un forgeron, seulement pour me rendre compte que je n'ai pas de manière d'obtenir des âmes directement de l'inventaire, de là - chez Gavlan pour lui vendre des versions non-renforcées des bagues que le jambon a sur lui...et après tout ça, j'amasse à peine assez d'unités pour le paiement de la réparation de l'anneau le moins cher parmi les deux brisés...puis, je laisse ma colère librement exploiter mes actions, en retournant à Eleum Loyce...
Ma fierté illusoire semblablement n'a point l'intention de me permettre de courir à travers les couloirs infestés d'adversaires du "sous-sol" de la Grande Cathédrale - passant par la première salle avec un golem sur chaque coté, la culpabilité auto-imposée m'oblige de m’arrêter sur l'escalier, tourner vers la horde de guerriers de glace qui montent sur les marches en courant et les affronter d'une manière qui se décrit le plus précisément - à mon avis - avec l'expression "Je me suis mis à faire la fête!" Les attaques lourdes de la gaufrette - en effet - paraissent très utiles pour renverser ceux qui sont immunes aux coups critiques dans le dos...ou - plutôt - elles seraient drôlement utiles si je les utilisait raisonnablement au lieu de faire le jambon tourner et frapper derrière soi à cause de mon désir de commettre à un coup en reculant - quelque chose clairement pas soutenue avec des ultra espadons et des grands marteaux par ce jeu - un fait que je refuse à accepter pour quelque raison incompréhensible...en court, beaucoup de morts ont lieu...
Enfin, j'atteins la porte, prêt de laquelle je suis passé la fois dernière et en l'ouvrant cette fois, je trouve encore un chevalier de Loyce que j'envoie vers l'entrée du Chaos, ensuite je déverrouille la porte entre l'arène de bataille contre Aava et la Cathédrale...seulement pour retourner vers la place où je suis mort dans le dernier segment de cet enregistrement, échouer à atterrir sur de la surface solide, tombant dans les profondeurs sombres de la cave (en mourant, évidemment) et entièrement oubliant que je peux me servir d'un chemin court en voyageant au feu à l'entrée du rassemblement religieux par la suite...
Mes tentatives d'y retourner après cet échec rendent le jambon mort autant de fois de plus que je remplace la gaufrette avec l'épée du chevalier noir à nouveau pour l'essayer avec Arme Raisonnante pour la n-ème fois, comme si m'attendant à un meilleur résultat. Après tous les efforts du jambon, je me fais le chemin à deux boites de métal - l'un d'eux contient la bague-serre du feu et l'autre - un grand arc avec deux crânes de chèvre...
Ma fierté illusoire semblablement n'a point l'intention de me permettre de courir à travers les couloirs infestés d'adversaires du "sous-sol" de la Grande Cathédrale - passant par la première salle avec un golem sur chaque coté, la culpabilité auto-imposée m'oblige de m’arrêter sur l'escalier, tourner vers la horde de guerriers de glace qui montent sur les marches en courant et les affronter d'une manière qui se décrit le plus précisément - à mon avis - avec l'expression "Je me suis mis à faire la fête!" Les attaques lourdes de la gaufrette - en effet - paraissent très utiles pour renverser ceux qui sont immunes aux coups critiques dans le dos...ou - plutôt - elles seraient drôlement utiles si je les utilisait raisonnablement au lieu de faire le jambon tourner et frapper derrière soi à cause de mon désir de commettre à un coup en reculant - quelque chose clairement pas soutenue avec des ultra espadons et des grands marteaux par ce jeu - un fait que je refuse à accepter pour quelque raison incompréhensible...en court, beaucoup de morts ont lieu...
Enfin, j'atteins la porte, prêt de laquelle je suis passé la fois dernière et en l'ouvrant cette fois, je trouve encore un chevalier de Loyce que j'envoie vers l'entrée du Chaos, ensuite je déverrouille la porte entre l'arène de bataille contre Aava et la Cathédrale...seulement pour retourner vers la place où je suis mort dans le dernier segment de cet enregistrement, échouer à atterrir sur de la surface solide, tombant dans les profondeurs sombres de la cave (en mourant, évidemment) et entièrement oubliant que je peux me servir d'un chemin court en voyageant au feu à l'entrée du rassemblement religieux par la suite...
Mes tentatives d'y retourner après cet échec rendent le jambon mort autant de fois de plus que je remplace la gaufrette avec l'épée du chevalier noir à nouveau pour l'essayer avec Arme Raisonnante pour la n-ème fois, comme si m'attendant à un meilleur résultat. Après tous les efforts du jambon, je me fais le chemin à deux boites de métal - l'un d'eux contient la bague-serre du feu et l'autre - un grand arc avec deux crânes de chèvre...
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